首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
   检索      


A ROOTED SENSE OF PLACE IN CROSS-CULTURAL PERSPECTIVE
Authors:ROBERT HAY
Abstract:Sense of place was investigated in an interpretive approach to examine how it develops; how it varies cross-culturally among modern and indigenous peoples; and how it develops among various contexts (home and environs, family, community, and culture). Individual and group interviews were conducted using questionnaires on Banks Peninsula, New Zealand (a rural, farm-based setting) with 270 residents from 1987 to 1989, with 80 out-migrants interviewed around New Zealand in 1989. The methodology was based on phenomenology, ethnography, and social surveys. Statistical analyses indicated the significance of residential status and social belonging toward the development of a sense of place. Contextual influences were found to be important from qualitative data, with traditional culture of primary importance to Maori. Both Maori and European-descent respondents with long-term residence expressed a rooted sense of place for Peninsula environs. These respondents were less residentially mobile and were often tied to the land through ancestry and/or family farms. Newcomers to the region were usually treated as outsiders (for decades). The Maori community was partially sustained by a social network that extended beyond the Peninsula. Maori sense of place was based more on their cosmology and culture, which rooted them to their tribal territory spiritually and emotionally. To counter an amoral, modernist hegemony and to move toward community sustainability, postmodernists need to consider the significance of developing a place-based ideology that links people to place through a rooted sense of place. À l'aide d'une méthode interprétative, le sentiment d'appartenance à un milieu a été étudié pour examiner la manière dont il se développe, ses variations interculturelles parmi les populations modernes et autochtones, de même que l'incidence de divers éléments, tels la résidence et son voisinage, la famille, la collectivité et la culture, sur son développement. Entre 1987 et 1989, des entretiens individuels et de groupes ont été menés, en utilisant des questionnaires, auprès de 270 résidants demeurant dans la péninsule de Banks, en Nouvelle-Zélande, et appartenant à un milieu rural essentiellement agricole. De plus, en 1989, 80 émigrants répartis sur le territoire de la Nouvelle-Zélande ont été également intervieés. Les études phénoménologiques, ethnographiques et sociales ont servi de méthode fondamentale. L'analyse statistique a révélé l'importance de la qualité de résidant et l'importance de l'appartenance sociale sur le développement du sentiment d'appartenance à un milieu. D'après les données qualitatives, l'influence environnementale est significative, et la culture traditionnelle est capitale chez les Maoris. Les répondants établis depuis longtemps, qu'ils soient de descendance européenne ou maorie, ont manifesté un sentiment profond d'appartenance à leur milieu, que représente la péninsule. Ces répondants étaient relativement stables du point de vue résidentiel et possédaient souvent une terre ancestrale ou une ferme familiale. Les nouveaux arrivants ont été habituellement traités comme des étrangers (pendant des décennies). La communauté maorie a été soutenue en partie par un réseau social qui s'est étendu au-delà de la péninsule. Chez ce peuple, le sentiment d'appartenance au milieu s'appuie davantage sur la cosmologie et la culture, ce qui crée des liens spirituels et affectifs entre ces gens et leur territoire tribal. Pour s'opposer à l'hégémonie amorale et moderniste, et pour s'orienter vers la viabilité des collectivités, les post-modernistes doivent se rendre compte de l'importance d'élaborer une idéologie axée sur le milieu qui lie les gens par un sentiment profond d'appartenance.
Keywords:sense of place  New Zealand  Maori  sentiment d'appartenance à  un milieu  Nouvelle-Zé  lande  Maoris
设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号