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1.
Subsistence practices of the Kintampo cultural complex of sub-Saharan West Africa are now known to have included pearl millet cultivation, in addition to the utilization of tropical forest margin species such as oil palm. Charred plant remains recovered from the Birimi site, northern Ghana, suggest that the growing of pearl millet, possibly in uniform stands, was occurring amongst northerly Kintampo groups during the fourth millennium bp. The cultivation of this drought-tolerant crop facilitated the establishment of sedentary villages by providing a storable food resource enabling Kintampo people to survive the protracted dry season of the West African savanna.Nous savons maintenant que les pratiques de subsistance du complexe culturel Kintampo de l'Afrique de l'Ouest sub-saharien comprenaient la culture du mil à chandelle ainsi que l'utilisation d'espèces végétales qui poussaient en bordure de la forêt tropicale, comme le palmier à huile. Des restes de plantes carbonisé ont été récupérées du site du Birimi dans le Nord du Ghana; elles suggèrent que la pratique de la culture du mil à chandelle dont les plantations étaient peut-être déjà uniformes, se soit produite parmi les groupes Kintampo du Nord pendant le quatrième millénaire bp. La culture du mil à chandelle tolérait la sécheresse et avait ainsi facilité l'établissement de villages sédentaires car elle fournissait des ressources alimentaires entreposables. Cela permettait aux groupes Kintampo de survivre pendant la longue saison sèche de la savane de l'Afrique de l'Ouest.  相似文献   

2.
Recent research in the easternmost area of the Maadi village-site near Cairo has yielded new data concerning both the nature of the occupation and the economy of the predynastic communities in Lower Egypt. Imported objects and raw materials, together with specialized crafts, have already suggested the existence of well organized village life, enriched by trading activities and foreign contacts, somehow related to expanding spheres of prestige. These conclusions are now amplified by evidence for a wide range of fully domesticated animal and plant species, including the remarkable occurrence of the domestic ass.Evaluation of both the artefacts and their distribution leads us to distinguish different areas in the site and to relate them to a long development through time. It is now necessary that more detailed typological comparisons be undertaken.
Résumé Des recherches récentes dans la partie orientale du site de l'ancien village de Maadi près du Caire ont fourni de nouvelles données concernant la nature de l'occupation et l'économie des communautés pré-dynastiques en Basse Egypte. Des objets et des matières premières importés, ainsi que les artisanats spécialisés, avaient déjà suggéré que la vie au village était bien organisée, et enrichie par le commerce et par des contacts avec l'étranger, et que ceci était lié d'une manière quelconque à des sphères de prestige en expansion. Ces conclusions sont maintenant amplifiées par les évidences de toute une série d'espèces d'animaux et de plantes tout à fait domestiquées, y compris l'occurrence remarquable de l'âne domestiqué. L'évaluation des trouvailles et de leur répartition nous amène à distinguer de différentes zones d'activité dans le gisement, et les rattache à un long développement à travers le temps. Des comparaisons typologiques plus détaillées devraient maintenant être entreprises.
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3.
Archaeological investigations in the Lunsemfwa Drainage Basin of Zambia have yielded evidence that necessitates modification of current views about the nature of culture contact between hunter-gatherers and agriculturalists. Hypotheses of barter, theft or some kind of exchange network between the two communities are not supported. It is suggested that stone-tool-using foragers collected pottery from abandoned village sites and transported these back to their base camps. This hypothesis recognizes the significance of resource availability and of patterns of exploitation and settlement. Lack of regular contact during the period of co-existence was largely due to the environmental diversity of the region: the two populations occupied and utilized different areas and did not compete for the same resources.
Résumé Des recherches archéologiques dans le bassin du Lunsemfwa en Zambie ont fourni des indices qui nous obligent à modifier nos idées actuelles au sujet de la nature du contact culturel entre les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs. Les hypothèses de troc, de vol ou d'un réseau quelconque d'échanges entre les deux communautés ne sont pas soutenues. L'auteur suggère que les chasseurs-ceuilleurs qui utilisaient des outils lithiques ont ramassé de la céramique dans des villages abandonnés et l'ont rapportée à leurs camps de base. Cette hypothèse reconnaît l'importance de la disponibilité des ressources, et celle des systèmes d'exploitation et d'habitation. L'absence de contacts réguliers pendant la période de co-existence était due surtout à la diversité de l'environnement de la région; les deux populations ont occupé et utilisé des zones différentes et ne se sont pas fait concurrence pour les mêmes ressources.
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4.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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5.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

6.
This paper reports the combined preliminary results of the Italian Mission to Kassala and the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project. Both groups have been carrying out extensive survey and test excavations in the Southern Atbai of the East Central Sudan, between the Atbara and Gash Rivers. This work has led to the recognition of a previously unknown culture area and ceramic tradition which spans about 5000 years and, at its peak, probably covered about 100,000 sq. km east of the Nile. This ceramic tradition, the Atbai Tradition, is associated with the development of large villages (over 10 ha) during the 4th millennium bc.
Résumé Le présent article rapporte les résultats préliminaires combinés de la Mission italienne à Kassala et du projet Butana entrepris en commun par les universités de Khartoum et Southern Methodist. Ces deux groupes ont réalisé des reconnaissances archéologiques extensives et des sondages dans le sud de l'Atbai, dans la partie centrale orientale du Soudan, entre les rivières Atbara et Gash. Leur travail a mené à la reconnaissance d'une civilisation et d'une tradition céramique auparavant inconnues qui durèrent quelque 5000 ans et qui couvraient à leur apogée environ 100,000 km2 à l'est du Nil. Cette tradition céramique, la tradition Atbai, est associée au développement des grands villages (de plus de 10 ha) au cours du 4e millénaire avant notre ère.
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7.
Résumé L'article propose une classification générale de la poterie ancienne décorée à la roulette, dans la Région des Grands Lacs et en Afrique de l'Est. Un premier groupe de poterie, appelé ici W, caractérisé principalement par la roulette torsadée, est produit vraisemblablement dèsca 800 AD; cette poterie pourrait avoir été diffusée de la région Est vers la zone interlacustre par le sud du Lac Victoria. L'hypothèse que le groupe W est associé à des populations de langues sud-nilotiques permet de reconsidérer les débuts du Deuxième Age du fer en Afrique interlacustre. Cet article suggère l'installation de groupes de pasteurs sud-nilotes dans la zone interlacustre; leurs rapports avec les autochtones sont examinés, en particulier le cas du Rwanda.Le groupe X (roulette nouée) apparaît en Ouganda dans les premiers siècles du second millénaire, suivi du groupe Y (roulette torsadée fine); à partir de 1500 AD, ils remplacent le groupe W dans la région interlacustre. Dans cet ensemble céramique, que l'on sait associé à des groupes de langues ouest-nilotiques venus du nord, une distinction est suggérée entre trois styles régionaux, qui sont mis en relation avec l'histoire des migrations de leurs producteurs.
This article offers a general classification of the ancient roulette-decorated pottery from the Great Lakes Region and from East Africa. A first pottery group, here named W, mainly characterised by twisted string roulette, appears as early asca 800 AD; this pottery might have been introduced to the interlacustrine area from the east and south of Lake Victoria. The hypothesis that the W group was associated with speakers of Southern-Nilotic languages is relevant to our view of the beginning of the Late Iron Age in interlacustrine Africa. This article suggests the establishment of pastoralist groups of Southern-Nilotic speakers in the interlacustrine zone and also examines their contacts with local populations, giving special attention to Rwanda.The X group (knotted string roulette) appears in Uganda in the first centuries of the second millennium, followed by the Y group (thin twisted string roulette). Fromca 1500 AD these groups replaced the W group in the interlacustrine area. In these last groups, which are associated with Western-Nilotes coming from the north, a distinction is made between three regional styles which are further correlated with the history of their makers.
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8.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

9.
Paleoclimatic data indicate that the Pleistocene/Holocene transition was a period of considerable ecological change in the Caledon Valley of the southern African interior. Stone artefact assemblages from sites in one part of this region, the Phutiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) Basin of western Lesotho, were analyzed in order to investigate whether changes in settlement and subsistence strategies during this period are also reflected in the organization of lithic technologies. It appears that although technological solutions to the problems of subsistence risk may have been emphasized during the late Pleistocene, social means, such as exchange, dominated at the Pleistocene/Holocene boundary. Subsequent innovation or adoption of new formal tool types suggests that both strategies were important from the middle Holocene onwards.Dans la vallée de Caledon à l'intérieur sud-africain les données paléoclimatiques indiquent que la transition du pléistocène à l'holocène était une période de changement écologique considérable. Les résultats des analyses des outils lithiques découverts aux gisements dans une partie de cette région, le Bassin de la Phuthiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) du Lesotho occidentale, sont présentées pour examiner si des changements aux stratégies de subsistance et de l'occupation des sites se réfletent à l'organisation des technologies lithiques. Il semble que on a employé les solutions technologiques pour éviter les risques de subsistance pendant le pléistocène tardif, mais que des solutions sociales, comme l'échange, prédominaient à la frontière pléistocène-holocène. L'innovation ou l'adoption plus tard des nouvelles outils lithiques suggère que tous les deux stratégies étaient importantes depuis le début du moyen Holocène.  相似文献   

10.
This paper outlines the environmental history of the Tigrean Plateau (northern Ethiopia) during the Holocene, based on the available geomorphological, palynological, archaeological, and historical evidence. At present, it seems that (1) the plateau experienced a more humid climate with a denser vegetation cover during the Early Holocene; (2) Soil erosion due to clearing vegetation began in the Middle Holocene; (3) agricultural activity was intensified in the Late Holocene, as a consequence of the rise of a state; (4) demographic pressure increased from the early first millennium BC to the mid–first millennium AD, causing soil erosion; (5) environmental degradation and demographic decline occurred in the late first millennium AD; (6) the vegetation cover was regenerated in the early second millennium AD; and (7) progressive vegetation clearance started again in the second half of the second millennium AD.Cet article trace l'histoire ambiante du Plateau Tigréen dans l'Holocène en utilisant les données géomorphologiques, palynologiques, archéologiques et historiques. Il semble que (1) dans l'Holocène ancien le plateau était caractérisé par une phase humide avec une dense végétation; (2) l'érosion causée par l'abbattage de la végétation commen¸a dans l'Holocène moyen; (3) l'activité agricole s'inténsifia à la fin de l'Holocène, par conséquence de l'essor d'un état; (4) la pression démographique augmenta de plus en plus du début du premier millénaire av. J.-Ch. à la moitié du premier millénaire ap. J.-Ch.; (5) la dégradation ambiante et la diminution démographique se vérifièrent à la fin du premier millénaire ap. J.-Ch.; (6) une régéneration de la vegetation se vérifia au début du seconde millénaire ap. J.-Ch.; et (7) l'abbatage de la végétation recommen¸a dans la seconde moitié du seconde millénaire ap. J.-Ch.  相似文献   

11.
Recent investigations of three archaeological sites in the Nigerian part of the Chad Basin during the Holocene reveal key stages in the cultural development and environmental history of that region. At Dufuna, a dugout boat was dated to around 6000 BC, making it the oldest known boat in Africa and one of the oldest in the world. Boats may thus have contributed to the mobility of the population of the southern edge of the Sahara 8000 years ago and, thereby, to the cultural homogeneity of this period. The pottery site at Konduga is around a thousand years younger than Dufuna but still belongs to the time of Mega-Chad. The site is on the Bama Ridge, an old shoreline. Its pottery, decorated in the Saharan tradition, belongs to the earliest ceramic phase of the West African Later Stone Age, long before the beginnings of food production. Although this site was probably settled by pioneers advancing into a largely flooded landscape along the slightly raised shoreline, the human occupation of the area previously covered by Mega-Chad began along a broad front around 2000 BC. Archaeological and palaeoecological finds from two settlement mounds at Gajiganna are described as case studies for this phase, which predates the well-known site of Daima.
Résumé Les résultats présentés proviennent de recherches récentes sur trois sites archéologiques, dont chacun représente un épisode clé du développement culturel et de l'histoire environnementale du Bassin nigérian du Tchad au cours de l'Holocène. A Dufuna, la découverte d'une pirogue monoxyle, datée d'environ 6000 ans BC, constitue le témoignage le plus ancien d'une embarcation en Afrique et l'un des plus ancien dans le monde. Ce moyen de transport indique la mobilité des populations de la marge sud du Sahara à l'Holocène inférieur et moyen; ce qui a dû contribuer à l'homogénéité culturelle de cette période. Le site à poterie de Konduga est le plus jeune d'un millénaire que Dufuna, mais appartient à l'époque du Méga-Tchad. Le site est installé sur une ancienne ligne de rivage, la Bama Ridge. Sa poterie, décorée selon la tradition saharienne, appartient à la plus ancienne phase à céramique du Later Stone Age ouest-africain, bien avant le début d'une production alimentaire. Vu que ce site ne devait étre occupé que par des pionniers aventurés dans un paysage largement amphibie à la faveur d'un mince cordon émergé, la colonisation de l'espace antérieurement couvert par le Méga-Tchad, débute le long d'un large front vers 2000 ans BC.Les trouvailles archéologiques et paléoécologiques de deux tertres anthropiques à Gajiganna sont décrites commes études de cas illustrant cette phase, qui précède celle du célèbre site de Daima.
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12.
East Africa, the region where Merrick Posnansky started his professional career, has long been accepted as the major centre for the study of the origins of hominids and their technological systems. Recently, human geneticists and some palaeoanthropologists have also proposed an African origin for anatomically modern humans (Homo sapiens sapiens), although much of the proof cited is from non-African sources — mainly Europe and the Middle East. Fortunately these models have stimulated reassessment of the sub-Saharan Middle Stone Age (MSA), the archaeological phase between 200,000 and 30,000 years ago which represents the beginnings of regional variation in technology and cultural adaptation as well as the period in which modern humans appeared. Long ignored by East African archaeologists in favour of the earliest cultural record, or, at the other extreme, Neolithic and Iron Age research, the MSA is critical to the evaluation of models of the emergence of our own species. This paper reviews the current arguments concerning the origin and dispersal of modern humans, and the importance of the MSA for the resolution of the problem. It also describes the results from a 1990 survey for MSA sites conducted in southwestern Tanzania within the framework of these current models.
Résumé L'Afrique orientale, où Merrick Posnansky commença sa carrière professionnelle, est depuis longtemps reconnue comme un centre important pour l'étude des origines des hominides et de leurs systèmes technologiques. Récemment, des généticiens et des paléoanthropologues ont aussi suggéré que les humains anatomiquement modernes (Homo sapiens sapiens) auraient des origines africaines, bien qu'un grand nombre des preuves citées proviennent de sources non-africaines, principalement d'Europe et du Moyen-Orient. Heureusement, ces modèles ont encouragé la réévaluation de l'âge de pierre moyen (MSA) sous-saharien, phase archéologique d'il y a 200.000 à 30.000 ans, qui représente les débuts des variations régionales sur le plan de la technologie et de l'adaptation culturelle. C'est aussi la période durant laquelle les étres humains modernes sont apparus. Longtemps ignoré par les archéologues d'Afrique orientale en faveur de témoignages cultures plus anciens ou, à l'autre extrême, des recherches de l'âge néolithique et de l'âge de fer, le MSA est crucial pour l'évaluation de modèles d'émergence de notre propre espèce. Cet article examine les arguments actuels concernant l'origine et la dispersion des humains modernes, et l'importance du MSA pour la résolution de ce problème. Il décrit également les résultats d'une recherche de sites MSA menée en 1990 dans le sud-ouest tanzanien, dans le cadre de ces modèles actuels.
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13.
Denmark was one of several European nations which vied for West African trade between the seventeenth and nineteenth centuries. The Danes established more than thirty forts, trading lodges and plantations on the Gold Coast, and they played an important role in the development of African-European relations in the region. Traces of Danish outposts and the results of recent excavations at the Daccubie plantation are briefly surveyed. The available data illustrate the circumscribed nature of African-European interaction on the Gold Coast, providing insight into the context in which culture change occurred within African populations. The archaeological record of European expansion in Africa and elsewhere is used to illustrate the varying nature of European contact.
Résumé Le Danemark était l'une des nombreuses nations européennes qui rivalisaient pour le commerce avec l'Afrique occidentale entre le dix-septième et le dix-neuvième siècles. Les Danois établirent plus de trente forts, comptoirs commerciaux et plantations sur la Côte de l'Or, et jouèrent un rôle important dans le développement des relations afro-européennes dans la région. Des traces de postes coloniaux danois et les résultats d'excavations récentes à la plantation de Daccubie sont brièvement passés en revue. Les données existantes illustrent le caractère limité de l'interaction afro-européenne sur la Côte de l'Or, donnant des indications sur le contexte dans lequel un changement culturel se produisit parmi les populations africaines. Les témoignages archéologiques de l'expansion européenne en Afrique et ailleurs servent à illustrer la nature changeante du contact européen.
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14.
The external connections of Igbo-Ukwu, in the forest belt of south-eastern Nigeria, around the ninth century AD, are demonstrated by the large numbers of glass beads, apparently of Egyptian manufacture, and are implicit in the rich collection of bronze artwork that lacks known prototypes. Although the metals were mined locally, the labor and the expert alloying and casting of numerous ritual or ornamental objects indicate an accumulation of wealth derived from distant trade of special commodities. The identification of these commodities, however, and the routes by which they—and in the reverse direction the beads—would have traveled, remain unsatisfactorily resolved. A preference is repeated here for an eastern Sahelian routing from Lake Chad to the Middle Nile kingdoms (Alwa and Makuria/Dongola), then at their height, thus avoiding the Sahara. The alternative direction suggested recently (Insoll, T., and Shaw, T. (1997) Gao and Igbo-Ukwu: Beads, interregional trade and beyond. African Archaeological Review, 14:9–23), through Gao on the Niger bend and across the west-central Sahara, seems less likely on grounds of geography and chronology. The essential items of merchandise deriving from Igbo-Ukwu are unlikely to be those commonly assumed for sub-Saharan Africa, notably ivory and slaves, but would have been more local and precious, presumably metals. The bronzes stored and buried at Igbo-Ukwu might be regarded as by-products of this export activity. Demands in the Nile Valley for tin (for bronze alloying) and for silver, both of which occur in the ores exploited, deserve consideration. A call is made for comparative study of metals and their uses between the Middle Nile and West Africa in the first millennium AD—a neglected subject owing to the intellectual gulf that persists between Africanists and Egyptologists.Les contacts extérieurs d'Igbo-Ukwu, dans la région forestière du sud-est du Nigéria, vers le 9e siècle après J. C., sont indiqués par les très nombreuses perles de verre, apparemment de fabrication Égyptienne. Ils sont aussi suggérés par un ensemble remarquable d'objects en bronze dont on ne connaît aucun prototype. Bien que les métaux proviennent de la région, le travail, et aussi l'alliage et la fonte très spécialisés de nombreux objects rituels ou décoratifs, indiquent une accumulation de richesse résultant du commerce à longues distances de produits recherchés. Pourtant, l'identification de ceux-ci, et les itinéraires pour leur transport—et, en sens inverse, ceux des perles—restent hypothétique. Nous réiterons une préférence pour une route est-Sahelien, de Lac Tchad jusqu'aux royaumes du Nil Moyen (Alwa et Makouria/Dongola), à leur apogée à cette époque, et donc évitant le Sahara. L'autre direction, proposée récemment (dans cette revue par Insoll et Shaw), via Gao sur la boucle du Niger et à travers le Sahara ouest-central, semble moins probable pour les raisons géographiques et chronologiques. Les objets principaux de ce commerce qui provenaient d'Igbo-Ukwu ne seraient pas ceux qui sont normalement imaginés pour l'Afrique Sub-saharienne, notamment l'ivoire et les esclaves; ce seraient des produits plus locaux et précieux, vraisemblablement des métaux. Les bronzes enterrés à Igbo-Ukwu pourraient être les sous-produits de cette activité destinée à l'exportation. La demande dans la vallée du Nil pour l'étain (pour l'alliage du bronze) et pour l'argent, qui existent tous les deux dans les minerais du sud-est du Nigéria, mérite considération. Il faut qu'on fasse des recherches comparatives sur les métaux et leurs emplois entre le Nil Moyen et l'Afrique de l'Ouest durant le premier millénaire après J. C.—un sujet négligé à cause du fossé intellectuel qui persiste entre les études Africanistes et Égyptologiques.  相似文献   

15.
Archaeological and ethnohistorical investigations were conducted in the area around the town of Ngala in Borno State, Nigeria, situated immediately south of Lake Chad. Four mounds were excavated. Comparison with data from excavations and ethnohistorical studies provided a fairly complete picture of the settlement and cultural history of that most environmentally peculiar region. It is now evident that Late Neolithic settlers established themselves around 1000 CalBC in permanent hamlets with year-round occupation and a subsistence based not only on gathering, hunting and fishing but also on cattle herding and probably the cultivation of domesticated Pennisteum. Certainly, cultivation is attested after the onset of the Early Iron Age around 500 CalBC. Although from then on we see a steady development toward further complexity with the establishment of compact villages during the middle of the first millennium CalAD and the foundation of local principalities during the fourteenth century AD it was not before the fifteenth to sixteenth centuries AD, that the mode of subsistence and the political and societal structure typical for the area today was fully developed. By then, the wider region came under control of the Borno Empire, a situation which lasted up to the early colonial days at the onset of the twentieth century. Des recherches archéologiques et ethnohistoriques ont été conduites dans les environs de la ville de Ngala (état du Borno, Nigeria) située immédiatement au sud du lac Tchad. Quatre tertres d'habitat ont été fouillés. La comparaison des matériaux excavés avec ceux des fouilles antérieures, complétée par des analyses ethnohistoriques, a permis de reconstituer de manière assez complète l'évolution du peuplement et la succession des cultures dans cette zone qui se distingue par des conditions environnementales particulières. Il est clair aujourd'hui que les colons du Néolithique récent se sont installés, vers 1000 CalBC, dans des hameaux permanents occupés toute l'année, et que leur subsistance n'était pas uniquement basée sur la chasse, la collecte et la pêche, mais probablement aussi sur l'élevage et la culture du Pennisteum domestique. Certainement l'agriculture est attestée au début de l'Age du fer Ancien, vers 500 CalBC. A partir de ce moment, on observe certes une évolution régulière et soutenue vers plus de complexité, avec l'apparition de gros villages dans le courant du premier millénaire CalAD, et la fondation, au quatorzième siècle, de principautés locales, mais ce n'est pas avant les quinzième et seizième siècles que le mode de subsistance et la structure socio-politique qui caractérisent cette région aujourd'hui se sont véritablement mis en place. A partir de ce moment, la zone à laquelle appartient notre domaine d'étude a été intégrée dans l'empire du Bornou, une situation qui s'est maintenue jusqu'au début de la période coloniale, à l'aube du vingtième siècle.  相似文献   

16.
The recent archaeological campaign (regional site survey and excavations at the mound complex of Akumbu) has demonstrated that the Méma, a dry Sahelian region with a scattered population, was intensively occupied during the Iron Age. This intense occupation, certainly associated with better environmental conditions, extends back to the Late Stone Age. During the regional survey more than 100 Iron Age sites and nearly 30 Late Stone Age sites were identified; their size, surface material and features, and location on geomorphological zones were recorded. A series of radiocarbon dates spanning the fourth to fourteenth centuries ad obtained from the excavations at the Iron Age mound complex of Akumbu and a preliminary analysis of the pottery from both the excavations and the survey permitted the determination of a broad chronology of occupation. Numerous slag heaps (associated with smelting furnace remains) found during the survey and imported goods uncovered during the excavations at Akumbu indicate that both iron production and long-distance trade played an important role in the Méma economy.
Résumé Une campagne archéologique (reconnaissance et fouilles) exécutée en 1989–1990 a montré que le Méma, une région sahelienne de grande sécheresse à population actuellement éparse, était intensément peuplé pendant la période de l'Age du Fer. Cette intense occupation, certainement liée à de meilleures conditions climatiques, semble remonter à la période du néolithique. Au cours de la reconnaissance, conduite à l'échelle régionale, plus d'une centaine de sites datant de l'Age du Fer et environ une trentaine de sites néolithiques furent identifiés, enregistrés et décrits en termes de leurs dimensions, matériels et caractéristiques de surface, et environnement. Une série de datations au radiocarbone, obtenue lors de la fouille sur le complexe de buttes d'habitat de Akumbu, dans la partie ouest du Méma, indique une occupation s'étendant du quatrième siècle au quatorzième siècle de notre ère. La découverte d'imposants amas de scories, associés à des restes de hauts fourneaux, et objets exotiques trouvés lors des fouilles à Akumbu, attestent que la production de fer et le commerce à longue distance jouaient tous les deux un important rôle dans l'économie du Méma.
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The Phalaborwa region in the Northern Province of South Africa has one of the richest copper- and iron-bearing deposits in southern Africa. These deposits have been worked for 1200 years and are still being worked. The abundance of ore reduction and metal production sites, dating mostly to the Late Iron Age, testifies to the importance of these deposits. Those sites that were excavated provide valuable insight into the industrial processes, economy, rituals, and use of animals by these specialized communities. The faunal remains reflect different lifestyles, but also indicate that animal husbandry was not of primary importance. The communities were focused predominantly on metal production. The soils and climate of the region are not very suitable for herding and agriculture. Subsequently products of the metal working activities such as hoes were used as replacement for cattle in bride wealth. La région Phalaborwa dans la province Nord d'Afrique de Sud constitue l'un des dépôts les plus riches de cuivre et de fer du sud d'Afrique. Ces dépôts ont été exploités pendant 1200 années et le sont toujours. L'importance de la réduction du minerais et de la production de métal de ces sites, datés pour la plupart sur la fin del'Age de Fer, témoignent de la richesse de ces dépôts. Deux sites qui furent fouillés, donnent des renseignements valables à propos des processus industriels, de l'économie, desrites et de l'utilisation des animaux par ces communautes spécialisées. Les ossements de la faune reflètent différents modes de view, mais indiquent également que l'économie animalière n'était pas de la première importance. Les sols et le climat de la région ne sont propices, ni à l'agriculture. D'autres produits issus du travail du fer, comme des houes, ont été utilisées en remplacement de l'élevage.  相似文献   

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Tanzania's endangered heritage: A call for a protection program   总被引:1,自引:0,他引:1  
There is no doubt that heritage resource loss in Tanzania is proceeding at an alarming rate. Natural and human agencies, adverse storage infrastructures and techniques, and lack of trained conservators and curators and of a proper protection program are the major threats that endanger the heritage resources of Tanzania. As our natural and cultural environments bring irreparable damage to the resources that document our human history, we need to preserve and protect them before they vanish. A preservation and protection program for Tanzania should include public education, the establishment of heritage preservation laws, more progress in the inventory and protection of in situ heritage resources, research into preservation and conservation methods, training of staff, and improvements in the curation of collected heritage resources and records. Preservation and protection of heritage resources are collaborative exercises. The scientific and world community need to support and engage in this proposed program both technically and financially, if the preservation and protection of heritage resources in Tanzania are to succeed.
Résumé Il ne fait pas de doute que la perte des ressources du patrimoine historique se poursuit à un rythme alarmant en Tanzanie. Les agents naturels et humains, des techniques et des locaux de conservation inadaptés, el manque de conservateurs bien formés et d'un programme de sauvegarde adéquat sont les principales menaces qui pèsent sur les biens historiques et culturels en Tanzanie. Comme notre environnement naturel et culturel provoque des dommages irréparables aux sources historiques, nous devons les préserver et les protéger avant qu'elles ne disparaissent. Un programme de préservation et de protection pour la Tanzanie devrait inclure l'éducation du public, l'adoption de lois relatives à la sauvegarde du patrimoine, de nouveaux progrès dans l'inventaire et la protection in situdes vestiges, des recherches sur les méthodes de préservation et de conservation, la formation des responsables et l'amélioration des conditions de conservation et de récolte des objets et de la documentation. La préservation et la protection des vestiges du patrimoine impliquent une large collaboration. Pour arriver à la préservation et à la protection des ressources du patrimoine tanzanien, el faut que la communauté scientifique et mondiale s'implique et soutienne ce projet à la fois techniquement et financièrement.
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The Nyanga agricultural complex through its cultivation terraces and ridges represents one of the most intensified agricultural systems in southern African prehistory. In such a well developed system of land management and use, iron tools played a crucial role in clearing the land for cultivation as well as for domestic building purposes. Important to this dimension is the need to understand iron production and use in prehistoric societies. This paper aims for the first time to look at iron technology in the Nyanga agricultural complex through an initial analysis of iron extraction remains such as ore, slag, and furnace fragments. As a result, the technical data obtained will be used to develop hypotheses which future research can engage. This paper is a preliminary statement toward developing an understanding of iron production to meet various purposes from the deeper past to the historical period.Le complexe agricole Nyanga avec ses terrasses et collines cultivées représente un des systèmes agricoles les plus intensifs de la préhistoire de l'Afrique du sud. Dans ce système d'organisation et d'exploitation bien développé les outils en fer jouent un rôle important dans la cultivation du sol et la construction des bâtiments. Il est nécessaire de bien connaître les méthodes de production et d'utilisation du fer dans les sociétés préhistoriques. Cet article traite pour la première fois de la technologie du fer dans le complexe agricole Nyanga en présentant des analyses préliminaires des restes de l'exploitation du fer tels les minerais, les scories et les fragments de fourneaux. Les résultats de l'étude de ces techniques vont servir à développer des hypothèses qui aideront à faire avancer les recherches futures. Cet article représente un essai préliminaire pour développer nos connaisaences sur la production du fer destiné à de multiples usages depuis les temps les plus reculés jusqu à la période préhistorique.  相似文献   

20.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

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