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1.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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2.
The dominating paradigm of urbanism in West Africa is steadily shifting from the city-centric to the dynamic consideration of the city's function within a wider settlement hierarchy. The authors appraise these theoretical positions and discuss the methodologies appropriate to each. Following the thematic framework developed in the theory and method sections, we then consider what research at the major early town sites has to date revealed about the chronology, course, and circumstances of urbanism in West Africa. Data available from the several sites considered is highly uneven. Analysis, even when quality data are available, has in some cases been hindered by a limiting theoretical approach. Although urban investigations in West Africa are only in their infancy, it is clear that cities are but one of several institutions indicating the early, indigenous emergence of hierarchically-ordered societies. With the recent demonstration that at least some West African towns represent indigenous processes of urbanization, the comparative study of factors contributing to urban growth and alternative urban paths becomes imperative.
Résumé Le paradigme dominant de l'urbanisme en Afrique de l'ouest change progressivement de l'aspect cité-centrique à la considération dynamique de la ville au sein d'une hiérarchie d'établissement plus vaste. Les auteurs évaluent ces positions théoriques et discutent des méthodologies appropriées à chacune. Suivant le cadre thématique élaboré dans les sections sur la théorie et la méthode, ils considèrent ensuite ce que la recherche dans les sites urbains primitifs principaux a révélé jusqu'à présent quant à la chronologie, le développement et les circonstances de l'urbanisme dans l'Afrique de l'ouest. Les données provenant des nombreux sites considérés sont très inégales. Même lorsque des données de qualité furent disponibles, l'analyse fut dans certains cas entravée par les limites imposées par l'approche théorique. Bien que les investigations urbaines en Afrique de l'ouest n'en sont qu'à leurs débuts, il est évident que les villes ne sont que l'une des nombreuses institutions signalant l'apparition indigène précoce de sociétés à ordre hiérarchique. Sachant maintenant qu'au moins certaines villes de l'Afrique de l'ouest représentent des processus indigènes d'urbanisation, il est maintenant impératif que soit effectuée l'étude comparative des facteurs contribuant à la croissance urbaine et aux diverses voies conduisant à l'urbanisation.
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3.
Subsistence practices of the Kintampo cultural complex of sub-Saharan West Africa are now known to have included pearl millet cultivation, in addition to the utilization of tropical forest margin species such as oil palm. Charred plant remains recovered from the Birimi site, northern Ghana, suggest that the growing of pearl millet, possibly in uniform stands, was occurring amongst northerly Kintampo groups during the fourth millennium bp. The cultivation of this drought-tolerant crop facilitated the establishment of sedentary villages by providing a storable food resource enabling Kintampo people to survive the protracted dry season of the West African savanna.Nous savons maintenant que les pratiques de subsistance du complexe culturel Kintampo de l'Afrique de l'Ouest sub-saharien comprenaient la culture du mil à chandelle ainsi que l'utilisation d'espèces végétales qui poussaient en bordure de la forêt tropicale, comme le palmier à huile. Des restes de plantes carbonisé ont été récupérées du site du Birimi dans le Nord du Ghana; elles suggèrent que la pratique de la culture du mil à chandelle dont les plantations étaient peut-être déjà uniformes, se soit produite parmi les groupes Kintampo du Nord pendant le quatrième millénaire bp. La culture du mil à chandelle tolérait la sécheresse et avait ainsi facilité l'établissement de villages sédentaires car elle fournissait des ressources alimentaires entreposables. Cela permettait aux groupes Kintampo de survivre pendant la longue saison sèche de la savane de l'Afrique de l'Ouest.  相似文献   

4.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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5.
For much of the African continent archaeological fieldwork is still at an exploratory stage. There must be a great difference between the known archaeological evidence, on which we base our hypotheses, and the evidence that remains to be discovered. There must, in addition, be a veritable gulf between the archaeological evidence we have and the prehistoric human behaviour that we seek to understand. The following paper discusses recent field work in southern Borno in the light of these ideas. This fieldwork aimed to test an hypothesis about human exploitation of the area before 3000 bp but succeeded instead in revealing a substantial number of later sites in a part of an area already previously investigated by the writer. So far as earlier sites are concerned, this new fieldwork suggests that future archaeological exploration should be concentrated on the northern end of the Mandara Mountains and on the deposits at their base. The overall lesson of this fieldwork, however, seems to be that the harder you look, the more you find—although you may not find what you are looking for.
Résumé Presque partout en Afrique, le travail archéologique sur le terrain n'en est qu'au stade exploratoire. Il y a sans doute un grand écart entre les données archéologiques connues sur lesquelles se fondent nos hypothèses, et les faits qu'il reste à découvrir. De plus, il existe vraisemblablement un veritable gouffre entre les données archéologiques que nous possédons et le comportement humain préhistorique que nous cherchons à comprendre. Le présent article discute les recherches récentes au sud du Borno en tenant compte de ces idées. Ces travaux visaient la mise à l'essai d'une hypothèse portant sur l'exploitation humaine de la région avant 3000 ans bp mais en vint plutôt à révéler un nombre considérable de sites plus tardifs dans une aire déjà étudiée par l'auteur dans la même région. Quant aux sites de date plus éloignée, les nouveaux travaux sur le terrain suggèrent que l'exploration archéologique devrait dorénavant se concentrer sur l'extrémité nord des montagnes Mandara et sur les dépôts à leurs pieds. Il en ressort surtout, cependant, que plus on cherche, plus on découvre, bien qu'on ne trouve pas toujours ce que l'on cherchait.
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6.
Recent research at Qasr Ibrim in Egyptian Nubia shows that, during the last 3000 years, this hill-top site commanding a long stretch of the Nile in the First Cataract region was usually controlled by polities centered further to the south — Napatan, Meroitic and Christian. Even when controlled by northerners — Greek, Roman or Turkish — is was still a frontier post. It is suggested that this evidence, showing that the frontier between the states dominating the Lower and Middle Nile was located as far north as the First Cataract, helps explain the lack of Mediterranean influence in the Upper Nile basin and, beyond, in sub-Saharan Africa. The Nubian Corridor was, in fact, blocked so far north that it is best described as a cul de sac.
Résumé Les recherches menées à Qasr Ibrim dans la Nubie égyptienne ces dernières années montrent que ce site, qui domine du sommet d'une colline une partie assez grande du Nil dans la région de la première cataracte, a été controlé pendant les trois derniers millénaires par une série de royaumes dont les centres se situaient plus au sud — royaumes de Napata et Meröe, royaume chrétien. Qasr Ibrim restait un poste frontière même quand il passait sous contrôle des peuples du nord — grecques, romains ou turques. Ces données, qui montrent que la frontière entre les royaumes qui dominaient le bas Nil et ceux qui dominaient le moyen Nil se trouvaient très au nord jusqu'à la première cataracte, peuvent nous aider à comprendre l'absence d'influences méditerranéennes dans le bassin de l'haut Nil et au délà, dans l'Afrique au sud du Sahara. A vrai dire, le coloir nubien était barré autant au nord qu'il mérite d'être considéré plutôt comme une impasse.
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7.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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8.
The Nyanga agricultural complex through its cultivation terraces and ridges represents one of the most intensified agricultural systems in southern African prehistory. In such a well developed system of land management and use, iron tools played a crucial role in clearing the land for cultivation as well as for domestic building purposes. Important to this dimension is the need to understand iron production and use in prehistoric societies. This paper aims for the first time to look at iron technology in the Nyanga agricultural complex through an initial analysis of iron extraction remains such as ore, slag, and furnace fragments. As a result, the technical data obtained will be used to develop hypotheses which future research can engage. This paper is a preliminary statement toward developing an understanding of iron production to meet various purposes from the deeper past to the historical period.Le complexe agricole Nyanga avec ses terrasses et collines cultivées représente un des systèmes agricoles les plus intensifs de la préhistoire de l'Afrique du sud. Dans ce système d'organisation et d'exploitation bien développé les outils en fer jouent un rôle important dans la cultivation du sol et la construction des bâtiments. Il est nécessaire de bien connaître les méthodes de production et d'utilisation du fer dans les sociétés préhistoriques. Cet article traite pour la première fois de la technologie du fer dans le complexe agricole Nyanga en présentant des analyses préliminaires des restes de l'exploitation du fer tels les minerais, les scories et les fragments de fourneaux. Les résultats de l'étude de ces techniques vont servir à développer des hypothèses qui aideront à faire avancer les recherches futures. Cet article représente un essai préliminaire pour développer nos connaisaences sur la production du fer destiné à de multiples usages depuis les temps les plus reculés jusqu à la période préhistorique.  相似文献   

9.
This paper reports the combined preliminary results of the Italian Mission to Kassala and the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project. Both groups have been carrying out extensive survey and test excavations in the Southern Atbai of the East Central Sudan, between the Atbara and Gash Rivers. This work has led to the recognition of a previously unknown culture area and ceramic tradition which spans about 5000 years and, at its peak, probably covered about 100,000 sq. km east of the Nile. This ceramic tradition, the Atbai Tradition, is associated with the development of large villages (over 10 ha) during the 4th millennium bc.
Résumé Le présent article rapporte les résultats préliminaires combinés de la Mission italienne à Kassala et du projet Butana entrepris en commun par les universités de Khartoum et Southern Methodist. Ces deux groupes ont réalisé des reconnaissances archéologiques extensives et des sondages dans le sud de l'Atbai, dans la partie centrale orientale du Soudan, entre les rivières Atbara et Gash. Leur travail a mené à la reconnaissance d'une civilisation et d'une tradition céramique auparavant inconnues qui durèrent quelque 5000 ans et qui couvraient à leur apogée environ 100,000 km2 à l'est du Nil. Cette tradition céramique, la tradition Atbai, est associée au développement des grands villages (de plus de 10 ha) au cours du 4e millénaire avant notre ère.
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10.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

11.
Archaeological research in Lesotho over the last 120 years is reviewed. Particular emphasis is given to P. Carter's excavation and survey project in eastern Lesotho and to contract archaeology projects in other parts of the country. Current research and projects involving the study of rock art are also considered. The archaeological potential of Lesotho for addressing a number of themes is discussed. These themes include the reconstruction of prehistoric seasonal mobility patterns, hunter-gatherer adaptations at the Last Glacial Maximum and relations between hunter-gatherer and farming populations. Lesotho's geographical situation lends itself to examining these questions across two distinct ecological gradients, but the richness of its rock art also demonstrates its potential for investigating Stone Age social relations. The importance of developing a more effective national archaeological infrastructure is stressed.
Résumé Les recherches archéologiques des 120 dernières années sont passées en revue. L'accent est mis tout particuliérement sur les fouilles et le survey conduits dans l'est du Lesotho par P. Carter ainsi que sur les contrats de recherches archéologiques dans d'autres régions du pays. Les recherches en cours et les projets comprennant l'étude de l'art rupestre sont aussi passés en revue.Le potentiel archéologique du Lesotho pour l'étude d'un certain nombre de thèmes est discuté. Ces thèmes comprennent la reconstruction des mouvements saisoniers et des adaptations des chasseurs/cueilleurs durant le dernier maximum glaciaire ainsi que les relations entre les chasseurs/cueilleurs et les populations fermières. Le Lesotho, de par sa situation géographique, permet d'examiner ces questions au travers de deux niveaux écologiques distincts, cependant que la richesse de son art rupestre démontre son potentiel pour étudier les relations sociales durant l'Age de la Pierre. L'importance du développement d'une infrastructure archéologique nationale plus poussée est soulignée.
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12.
Ceramics,settlements and Late Iron Age migrations   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The Late Iron Age Luangwa pottery tradition represents some matrilineal Western Bantu speakers, with an origin in a Forest Neolithic, who moved into parts of Central Africa previously occupied by patrilineal Eastern Bantu speakers, represented by the Chifumbaze Complex. Eastern Bantu speaking Nguni and Sotho-Tswana probably had their Early Iron Age origins in a Urewe facies in southern Tanzania, and their movement into South Africa appears to have been connected with the Late Iron Age spread of the Luangwa tradition.
Résumé La tradition céramique Luangwa de l'âge du fer récent est la manifestation archéologique des gens matrilinéaires qui parlaient des langues Bantu occidentales. Ces gens, originaires d'une Néolithique des forêts, pénétraient des régions de l'Afrique central dominées jusqu'ici par des gens patrilinéaires, qui parlaient des langues Bantu orientales et qui sont représentés archéologiquement par le complexe Chifumbaze. Les origines des gens Nguni et Sotho-Tswana, qui parlent des langues Bantu orientales, sont vraisemblablement à chercher à l'âge du fer ancien dans un faciès Urewe du sud tanzanien. L'immigration de ces gens dans l'Afrique du Sud semble avoir été liée à la diffusion de la tradition Luangwa.
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Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

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The Phalaborwa region in the Northern Province of South Africa has one of the richest copper- and iron-bearing deposits in southern Africa. These deposits have been worked for 1200 years and are still being worked. The abundance of ore reduction and metal production sites, dating mostly to the Late Iron Age, testifies to the importance of these deposits. Those sites that were excavated provide valuable insight into the industrial processes, economy, rituals, and use of animals by these specialized communities. The faunal remains reflect different lifestyles, but also indicate that animal husbandry was not of primary importance. The communities were focused predominantly on metal production. The soils and climate of the region are not very suitable for herding and agriculture. Subsequently products of the metal working activities such as hoes were used as replacement for cattle in bride wealth. La région Phalaborwa dans la province Nord d'Afrique de Sud constitue l'un des dépôts les plus riches de cuivre et de fer du sud d'Afrique. Ces dépôts ont été exploités pendant 1200 années et le sont toujours. L'importance de la réduction du minerais et de la production de métal de ces sites, datés pour la plupart sur la fin del'Age de Fer, témoignent de la richesse de ces dépôts. Deux sites qui furent fouillés, donnent des renseignements valables à propos des processus industriels, de l'économie, desrites et de l'utilisation des animaux par ces communautes spécialisées. Les ossements de la faune reflètent différents modes de view, mais indiquent également que l'économie animalière n'était pas de la première importance. Les sols et le climat de la région ne sont propices, ni à l'agriculture. D'autres produits issus du travail du fer, comme des houes, ont été utilisées en remplacement de l'élevage.  相似文献   

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A later Pleistocene Khoisan peopling of eastern Africa has been suggested by most researchers. The evidence cited consists of a few isolated crania, archaeological occurrences described as Wilton, rock paintings and scattered populations of present-day hunter-gatherers speaking languages with clicks and viewed as bearing some physical resemblances to living Khoisan groups. When these different lines of evidence are evaluated, it is clear that there is no strong basis for retaining the concept of later Pleistocene Khoisan populations in eastern Africa. Instead, the available data suggest that the later Pleistocene and Holocene eastern Africans were tall, linear peoples.
Résumé La plupart des chercheurs proposent que l'est de l'Afrique a été peuplé pendant le Pléistocène tardif par des gens Khoisan. Les témoignages citées par ces auteurs consistent en quelques crânes isolés, des mobiliers archêologiques catégorisés comme du type Wilton, des peintures rupestres, et la répartition actuelle de quelques groupes sociaux bien parsemés de chasseurs-cueilleurs qui parlent des langues avec des claquements et qu'on pense à ressembler physiquement à quelques peuples Khoisan d'aujourd'hui. Quand ces lignes de raisonnement sont évaluées individualement, il se manifeste qu'il n'y a aucune base solide qui peut nous justifier à garder l'hypothèse de la présence des gens Khoisan dans l'est de l'Afrique pendant le Pléistocène tardif. Au contraire, les données disponibles nous amènent à penser que les gens est-africains au Pléistocène tardif ainsi qu'à l'Holocene étaient de haute taille et mince.
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Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

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Archaeological investigations in the Lunsemfwa Drainage Basin of Zambia have yielded evidence that necessitates modification of current views about the nature of culture contact between hunter-gatherers and agriculturalists. Hypotheses of barter, theft or some kind of exchange network between the two communities are not supported. It is suggested that stone-tool-using foragers collected pottery from abandoned village sites and transported these back to their base camps. This hypothesis recognizes the significance of resource availability and of patterns of exploitation and settlement. Lack of regular contact during the period of co-existence was largely due to the environmental diversity of the region: the two populations occupied and utilized different areas and did not compete for the same resources.
Résumé Des recherches archéologiques dans le bassin du Lunsemfwa en Zambie ont fourni des indices qui nous obligent à modifier nos idées actuelles au sujet de la nature du contact culturel entre les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs. Les hypothèses de troc, de vol ou d'un réseau quelconque d'échanges entre les deux communautés ne sont pas soutenues. L'auteur suggère que les chasseurs-ceuilleurs qui utilisaient des outils lithiques ont ramassé de la céramique dans des villages abandonnés et l'ont rapportée à leurs camps de base. Cette hypothèse reconnaît l'importance de la disponibilité des ressources, et celle des systèmes d'exploitation et d'habitation. L'absence de contacts réguliers pendant la période de co-existence était due surtout à la diversité de l'environnement de la région; les deux populations ont occupé et utilisé des zones différentes et ne se sont pas fait concurrence pour les mêmes ressources.
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Archaeological and ethnohistorical investigations were conducted in the area around the town of Ngala in Borno State, Nigeria, situated immediately south of Lake Chad. Four mounds were excavated. Comparison with data from excavations and ethnohistorical studies provided a fairly complete picture of the settlement and cultural history of that most environmentally peculiar region. It is now evident that Late Neolithic settlers established themselves around 1000 CalBC in permanent hamlets with year-round occupation and a subsistence based not only on gathering, hunting and fishing but also on cattle herding and probably the cultivation of domesticated Pennisteum. Certainly, cultivation is attested after the onset of the Early Iron Age around 500 CalBC. Although from then on we see a steady development toward further complexity with the establishment of compact villages during the middle of the first millennium CalAD and the foundation of local principalities during the fourteenth century AD it was not before the fifteenth to sixteenth centuries AD, that the mode of subsistence and the political and societal structure typical for the area today was fully developed. By then, the wider region came under control of the Borno Empire, a situation which lasted up to the early colonial days at the onset of the twentieth century. Des recherches archéologiques et ethnohistoriques ont été conduites dans les environs de la ville de Ngala (état du Borno, Nigeria) située immédiatement au sud du lac Tchad. Quatre tertres d'habitat ont été fouillés. La comparaison des matériaux excavés avec ceux des fouilles antérieures, complétée par des analyses ethnohistoriques, a permis de reconstituer de manière assez complète l'évolution du peuplement et la succession des cultures dans cette zone qui se distingue par des conditions environnementales particulières. Il est clair aujourd'hui que les colons du Néolithique récent se sont installés, vers 1000 CalBC, dans des hameaux permanents occupés toute l'année, et que leur subsistance n'était pas uniquement basée sur la chasse, la collecte et la pêche, mais probablement aussi sur l'élevage et la culture du Pennisteum domestique. Certainement l'agriculture est attestée au début de l'Age du fer Ancien, vers 500 CalBC. A partir de ce moment, on observe certes une évolution régulière et soutenue vers plus de complexité, avec l'apparition de gros villages dans le courant du premier millénaire CalAD, et la fondation, au quatorzième siècle, de principautés locales, mais ce n'est pas avant les quinzième et seizième siècles que le mode de subsistance et la structure socio-politique qui caractérisent cette région aujourd'hui se sont véritablement mis en place. A partir de ce moment, la zone à laquelle appartient notre domaine d'étude a été intégrée dans l'empire du Bornou, une situation qui s'est maintenue jusqu'au début de la période coloniale, à l'aube du vingtième siècle.  相似文献   

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Archaeomineralogical fieldwork in south-eastern Nigeria combined with metallurgical analyses has now all but confirmed the local provenance of most of the metals used in manufacturing the bronze and copper vessels, ornaments and sculptures which were kept and buried at Igbo-Ukwu about the ninth or tenth century AD. This demonstration may further support the view that the technical skills and artistic inspiration of Igbo-Ukwu were largely locally evolved. Yet the lack of prototypes remains disconcerting. Such a large collection of exquisite bronze artwork and ritual objects is unparalleled for this region at that period; and attempts to explain the circumstances which gave rise to Igbo-Ukwu remain unsatisfactory. It is argued here that, whatever local factors, either religious or secular, may have obtained at that time, there was also an international one. Presumably this region was for a period producing a rare and geographically specific mineral then in high demand in the wider world. The bronzes may be in effect the by-product of that mining and production for export. It is suggested that the principal trade-routes then may not have crossed the Sahara to Muslim North Africa but have run eastward from the Lake Chad region to the Christian countries of the Nile. There may be a hint of this in certain of the bronze forms. Moreover, contact with Egypt, if not indirectly with lands beyond, is demonstrated at Igbo-Ukwu by the vast numbers of imported beads.
Résumé Un travail archéominéralogique de terrain au sud-est du Nigeria, combiné avec des analyses métallurgiques confirme maintenant la provenance locale des métaux utilisés pour la fabrication des récipients en bronze et en cuivre, des ornements et des sculptures gardés et enterrés à Igbo-Ukwu aux alentours du 9ème et 10ème siècles. Ceci renforce l'hypothèse que les techniques et l'inspiration artistique résultent à Igbo-Ukwu d'une évolution locale. Mais l'absence de prototypes reste déconcertante. Une collection aussi importante d'oeuvres d'art en bronze et objects rituels si raffinés est sans parallèle dans cette région à cette période et les tentatives pour expliquer les circonstances qui conduisirent à l'apparition d'Igbo-Ukwu restent peu satisfaisantes. Cependant, et quels que soient les facteurs locaux, religieux ou profanes qui existaient à cette période, un facteur international a dû jouer. Il est possible que cette région ait pendant une certaine période produit un minéral rare et géographiquement localisé faisant à l'époque l'objet d'une grande demande bien audelà de la région. Les bronzes pourraient donc être les sous-produits d'activités d'extraction et de production destinées à l'exportation. Il est aussi suggéré qu'à cette époque, les principales routes du commerce ne traversaient peut-être pas le Sahara pour joindre l'Afrique du Nord musulmane, mais allaient plutôt en direction de l'Est à partir de la région du Lac Tchad jusqu'aux pays chrétiens du Nil. L'indice pourrait en être la forme de certains bronzes. De plus, des contacts avec l'Egypte, si pas indirectement avec des pays au-delà, sont démontrés par la présence à igbo-Ukwu d'un grand nombre de perles importées.
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20.
Thousands of earthen mounds of varying sizes, presumed to be funerary monuments, occur throughout a 32,000 km2 area of western Senegal. Previous inventory work and extremely limited excavation have not adequately addressed basic questions such as the relation of tumulus sites to habitation sites, the relative chronology and cultural affinities of the tumulus phenomenon in the northern and southern parts of the tumulus zone, and the temporal and cultural relationship of the southern tumuli to the megalithic monuments whose distribution they partially overlap. We describe here the results of a field survey designed to provide preliminary data relevant to these questions. In addition to locating previously unreported habitation sites in several sectors, analysis of surface pottery has permitted recognition of several temporally differentiated assemblages associated with different types of sites encountered during the survey. The distinctive assemblages of the northern and southern tumulus zones indicate that mound construction should not be considered a unitary, homogeneous phenomenon in Senegal.
Résumé Des milliers de monticules de terre de dimensions variées, que l'on suppose être des monuments funéraires, sont éparpillés dans une zone de 32.000 km2 à l'ouest du Sénégal. Auparavant, des travaux d'inventaire et d'excavation extrêmement limités n'avaient pas suffisamment tenté de répondre aux questions fondamentales telles que le rapport des sites de tumulus aux sites d'habitation, la chronologie relative et les affinités culturelles du phénomène des tumulus au nord et au sud de la zone des tumulus, et le rapport temporel et culturel des tumulus du sud avec les monuments mégalithiques dont ils recouvrent partiellement la zone de répartition. Nous décrivons ici les résultats d'une étude sur le terrain conçue pour fournir des données préliminaires ayant trait à ces questions. En plus de déterminer des sites d'habitation non-signalés auparavant dans plusieurs secteurs, l'analyse d'objets en terre cuite trouvés en surface a permis de reconnaître plusieurs assemblages temporellement différenciés, associés à différents types de sites rencontrés au cours de cette étude. Les assemblages distinctifs des zones de tumulus au nord et au sud indiquent que la construction de monticules ne doit pas être considérée comme un phénomène unitaire et homogène au Sénégal.
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