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1.
This paper presents an overview of the Late White rock paintings of south-central and southern Africa. It is argued that the most recent paintings were produced by matrilineal or bilateral Bantu-speaking agriculturists, although links with earlier hunter-gatherer groups are also implied. It is noted that certain motifs reoccur over great geographical distances. Ethnographic data are used in order to suggest a possible meaning for these motifs and for the paintings in general. It is argued that many of these paintings embody conceptual associations linking them to fertility. A general outline of the most obvious associations is presented, and a plea is made for detailed regional surveys in order to explain temporal and spatial differences.
Résumé Cet article présente une vue d'ensemble sur les peintures rupestres Late White d'Afrique australe et du sud de l'Afrique centrale. Il défend l'idée que les peintures les plus récentes ont été produites par des agriculteurs matrilinéaires ou bilatéraux parlant le bantou, tout en supposant des rapports avec des groupes plus anciens vivant de la chasse et de la cueillette. On remarque que certains motifs réapparaissent à de grandes distances géographiques. L'article s'appuie sur des données ethnographiques pour suggérer une signification possible à ces motifs ainsi qu'aux peintures en général. Il démontre que nombreuses de ces peintures représentent des associations conceptuelles les associant à la fertilité. Un aperçu général des associations les plus évidentes est présenté et les auteurs demandent que des études régionales détaillées soient effectuées afin d'expliquer les différences temporelles et spatiales.
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2.
The bovid fossils from Elandsfontein, south-western Cape Province, South Africa, comprise 7257 individually numbered specimens from 18 species. Taxonomic comparisons with Olduvai Gorge and other African sites and the high percentage of extinct forms imply that the bones accumulated in the earlier part of the Middle Quaternary, probably sometime between 700,000 and 400,000 years ago. By extension, this is also the most likely age for the skull cap of archaicHomo sapiens (Saldanha Man) and for the occasional late Acheulean stone artifacts that accompany the animal bones. In keeping with geomorphological observations and other aspects of the fauna, the bovids indicate a relatively grassy and moist environment, apparently during an interglaciation that differed significantly from the Holocene. Geomorphological context, the frequent occurrence of partial skeletons, bone damage, and skeletal part representation suggest that carnivore feeding on carcasses scattered across a Mid-Quaternary land surface was probably the main factor shaping the Elandsfontein bone assemblage. Porcupines may also have played a role, but there is little evidence for human activity. The Elandsfontein assemblage thus provides a useful control for comparison with bone accumulations where context, associations, and bone damage indicate that people were heavily involved. For example, there are very few young animals in the otherwise attritional profile of giant buffalo from Elandsfontein, probably because carnivores often rapidly and completely consumed young carcasses. This suggests that few young carcasses would be available for human scavenging and thus that archaeological attritional profiles in which young individuals are common probably reflect active human hunting, at least of young animals.
Résumé Les fossiles de bovidés d'Elandsfontein, sud-ouest de la Province du Cap, Afrique du Sud, comportent 7257 spécimens numérotés appartenant à 18 espèces. Les comparaisons taxonomiques avec Olduvai Gorge et d'autres sites africains, ainsi que le haut pourcentage de formes éteintes, indiquent que les os ont dû s'accumuler durant la partie la plus ancienne du Quaternaire moyen, probablement entre 700,000 et 400,000 ans. Par extension, il semble que ce soit aussi l'âge le plus probable de la calotte cranienne d'une forme archaïque d'Homo sapiens (l'homme de Saldanha) ainsi que des quelques outils de l'Acheuléen récent qui accompagnaient les ossements d'animaux. En accord avec les observations géomorphologiques et d'autres aspects de la faune, les bovidés indiquent un environnement relativement humide et herbeux, évidemment durant un interglaciaire qui differe de façon significative de l'Holocène. Le contexte géomorphologique, la présence fréquente de squelettes incomplets, les os endommagés et les parties du squelette représentées suggèrent que des carnivores se nourrissaient des carcasses dispersées sur un terrain du Quaternaire moyen sont le principal facteur de la formation de l'assemblage osseux d'Elandsfontein. Les porc-épics ont peut-être aussi joué un rôle, mais il y a peu de signes de l'activité humaine. L'assemblage d'Elandsfontein est donc un témoin utile pour des comparaisons avec d'autres accumulations de faune, dans lesquelles le contexte, les associations et l'état des os indiquent que les hommes y ont joué un rôle important. Par exemple, très peu d'animaux jeunes sont représentés dans le profil par ailleurs attritionel du buffle géant d'Elandsfontein, probablement parce que les carnivores dévoraient souvent rapidement et entièrement les carcasses jeunes. Ceci indique que très peu de carcasses jeunes étaient disponibles pour les charognards humains et que les profils archéologiques attritionels dans lesquels les animaux jeunes sont fréquents reflètent probablement une chasse humaine active, tout au moins d'animaux jeunes.
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3.
The technology of the end products i.e. blades and points in Late Pleistocene stone artefact assemblages from Klasies River, South Africa, and the Nile Valley, Egypt, are compared. The comparison includes univariate and multivariate analysis of metrical attributes enhanced by graphical biplot displays. The end products in these assemblages are either dominantly points or blades and this is related to the core reduction strategy adopted. The MSA 11 from Klasies River and the Nubian Complex industry from the Nile Valley are point industries made in the Levallois tradition, while the MSA 1 from Klasies River and the Taramsan from the Nile Valley may be non-Levallois or adapted Levallois blade industries. Dating of the assemblages shows the changes between dominant core reduction strategies are sequential and time restricted in both South and North Africa. It is concluded that variability of the same kind occurs in Middle Stone Age and Middle Palaeolithic assemblages south and north of the Sahara in the early Late Pleistocene.Dans cet article, les technologies des produits recherchés, des lames et des pointes, pour certains ensembles lithiques de Klasies River, Afrique du Sud et la Vallée du Nil, Egypte, sont comparées. Cette comparaison implique des analyses univariées et multivariées de variables métriques biplot. Les produits recherchés sont bien des pointes que des lames, selon les stratégies dexploitation adoptées. Le MSA II de Klasies River et le Complexe nubien de la Vallée du Nil sont des industries à pointes issues de la tradition Levallois. Par contre, le MSA I de Klasies River et le Taramsien de la Vallée du Nil évoquent une technologie de production non-Levallois ou Levallois modifiée. Les éléments de datation disponibles indiquent que les changements dans la prépondérance des stratégies dexploitation senchaînent dans une séquence chronologique bien identifiable, aussibien dans lAfrique du Sud que lAfrique du Nord. On arrive à la conclusion quune variabilité du même caractère est attestée dans les ensembles du Middle Stone Age et du Paléolithique moyen au sud et au nord du Sahara, pendant le Pléistocène supérieur ancien.  相似文献   

4.
Women dominate the production of pottery in Africa, yet few scholars have considered women the likely creators of the figurative ceramic sculpture recovered archaeologically across the savanna. Indeed, the question of who made these highly celebrated ceramics is rarely raised. A close look at the art historical and archaeological literature exposes the gender biases that privilege men's high art over women's low craft, making men the presumed creators of these works. Examples of women's predominance in the production of ritually-destined figurative ceramics in Nigeria alone counters such unsubstantiated assumptions. Through such production women play important roles in the construction of social and cultural meanings. It does make a difference in our reading and writing of history to understand and reconstruct what women make as well as what men make.
Résumé Les femmes dominent la production d'objets en argile en Afrique, mais peu d'experts ont considéré les femmes comme créatrices probables des sculptures figuratives en céramique découvertes dans des fouilles archéologiques dans toute la savane. De fait, la question de savoir qui fabriquait ces céramiques hautement prisées est rarement soulevée. Une étude plus approfondie de la littérature ayant trait à l'histoire de l'art et à l'archéologie met en évidence les partis pris sexuels qui privilégient l'art élevé des hommes par rapport à l'artisanat vulgaire des femmes, faisant des hommes les créateurs présumés de ces oeuvres. Des exemples de la prédominance des femmes dans la production de figurines rituelles en céramique au Nigéria contredisent ces suppositions non prouvées. Par cette production, les femmes jouent un rôle important dans l'élaboration de notions sociales et culturelles. Comprendre et reconstruire ce que font les femmes, de même que ce que font les hommes, nous fait lire et écrire l'histoire différemment.
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5.
A number of archaeologists have recently considered the possible functioning of shared systems of symbols and beliefs — sometimes called symbolic reservoirs — within and between more or less closely related West African societies. Elements from these systems are expressed in behaviour and in material culture to support and articulate group social strategies; they are therefore capable of structuring artefact variation on a large scale. This concept has obvious implications for our understanding of regional variation in archaeological assemblages. In this paper, I offer a critique of the concept of the symbolic reservoir; I believe that the metaphorical implications of the term reservoir are not useful, and that present conceptions are of an entity too bounded and too stable usefully to reflect the dynamics of social interaction within and (especially) between African societies. I then offer an alternative view of the spread of symbolic and stylistic elements between groups.
Résumé Un certain nombre d'archéologues ont récemment envisagé la possibilité de systèmes communs de symboles et de croyances — parfois désignés par le terme réservoirs symboliques — au sein de sociétés d'Afrique occidentale entretenant entre elles des rapports plus ou moins étroits. Des éléments de ces systèmes s'expriment en termes de comportement et de culture matérielle et permettent de soutenir et d'articuler des stratégies sociales de groupes; ils peuvent donc structurer sur une grande échelle variation des objets façonnés. Ce concept a des conséquences évidentes par rapport à notre compréhension des variations régionales entre collections archéologiques. Dans cet article, je présente une critique du concept de réservoir symbolique; j'estime peu pertinentes les implications métaphoriques du terme réservoir et je pense que les conceptions actuelles représentent une entité trop bornée et trop stable pour pouvoir bien refléter la dynamique de l'interaction sociale au sein des sociétés africaines et (surtout) entre elles. Je présente ensuite un point de vue différent sur la propagation d'éléments symboliques et stylistiques parmi des groupes.
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6.
This paper examines the rock art of the nyau secret society of eastern Zambia and central Malai. The art dates principally from the nineteenth and early twentieth centuries. It has been known to researchers since the 1970s but has given up few of its secrets. I examine the questions of why the art was made and why the tradition ceased. Key to answering these is the realization that the art belonged to a specific historical and geographic context: the era and area where nyau was forced to become an underground movement because of its suppression by Ngoni invaders, missions, and the later colonial government. The art provides us with detailed insights into the way nyau has served in the process of overcoming and manipulating the traumatic social changes faced by Chea society in the last few centuries.Cet article examine l'art rupestre de la société secrète de nyau au est du Zambia et Malai centrale. L'art date principalement aux dix-neuvième et bas vingtième siècles. Recherchers ont su l'art depuis les années soixante-dix, mais ils ont appris peu de ses secrets. J'examine les questions de pourquoi l'art était fabriquer et pourquoi la tradition a cessé. Pour résoudre ces questions c'est important à réaliser que l'art était à sa place dans un milieu spécifique d'histoire et géographie: au temps et place où nyau était forcer à devenir un mouvement clandestin à cause de sa répression par les envahisseurs Ngoni, les missions et, plus tard, le gouvernement colonial. L'art nous donne les aperçus détaillé sur comment nyau a servi dans le procès à surmonter et manipuler les changements traumatiques que la société Chea a bravé dans les siècles récents.  相似文献   

7.
Partnership is an equitable exchange of knowledge. In fact, the very nature and indisputability of imported and taught knowledge—the scientific one and here archaeological—question the nature of the traditional and ordinary knowledge of peoples concerned. These two kinds of knowledge differ in the nature of the facts recognized by each of them: scientific facts or tacit common knowledge facts built differently, and in the number and strength of the external allies they succeed in mobilizing. Even if they remain translatable one into the other at a certain cost, they are engaged in a race. The result seems lethal for traditional knowledge unless powerful nonscientific allies, opposed to this leveling standardization, get involved with researchers aware of the stake for the South but also for the North, committed for some centuries to a rationalization supported by science, its technics, and the socioeconomic powers able to fund them.Le partenariat est un échange équitable de savoirs. En réalité, la nature et l'indiscutabilité du savoir importé et inculqué—le savoir scientifique et ici archéologique—met en cause la nature du savoir ordinaire et traditionnel des peuples concernés. Ces deux formes de savoirs diffèrent par la nature des faits reconnus par chacun d'eux: faits scientifiques ou faits du savoir observationnel ordinaire, construits différemment, et par le nombre et la force des alliés extérieurs qu'ils réussissent à se donner. S'ils sont traduisibles l'un dans l'autre à un certaincoût, une course est néanmoins engagée entre eux. L'issue en semble fatale aux savoirs traditionnels à moins que des alliés puissants non-scientifiques, opposés à ce nivellement uniformisateur, s'engagent à leurs côtés avec l'appui des chercheurs conscients d'un enjeu qui concerne certes le Sud, mais aussi le Nord engagé depuis quelques siècles dans une rationalisation appuyée sur la science, ses techniques et les puissances socio-économiques capables de les financer.  相似文献   

8.
The research presented in this paper aims to study the transfer of patterns of social behaviours into mortuary contexts. It is an attempt to bring to light nested levels and conflicting aspects of human social actions during the relatively short time represented in the Houlouf archaeological record. Different parameters of mortuary evidence are considered at different levels of structuration using competing or alternative models to make sense of the diversity, variability and patterns observed. The studied cemetery appears to have emerged during a period of tension between competing peer-polities and to have been used for the inhumation of a small elite fragment of the whole society. This elite was composed of four groups interpreted as descent groups. Individuals belonging to this elite were divided into three main ranked occupational categories, and they were probably buried by a craft specialist; a blacksmith acting as undertaker and grave-digger.
Résumé Les recherches présentées dans cet article visent à analyser la façon dont certains aspects des comportements humains sont transférés dans les contextes mortuaires. Il s'agit de mettre en lumière l'imbrication des multiples niveaux du système social, ses aspects conflictuels qui se manifestent dans le traitement et l'enterrement des morts pendant une séquence temporelle relativement courte de l'occupation de Houlouf. Different paramètres archéologiques du programme mortuaire sont étudiés et évalués à différent niveaux d'argumentation afin de comprendre et d'expliquer le sens de la diversité, de la variabilité et des configurations des vestiges observées dans le cimetière. Il apparaît ainsi que le cimetière étudié a été mis en place au cours d'une période particulièrement marquée par des tensions entre polities en compétition dans la plaine tchadienne. Ce cimetière était réservé à l'enterrement d'une fraction de la population, l'élite. Cette élite se composait de quatre groupes considérés comme groupes de descendance dont les membres étaient répartis en trois principales catégories de rôles. Le rituel funéraire et l'inhumation étaient vraisemblament exécutés par un forgeron-fossoyeur.
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9.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

10.
Many aspects of southern African San rock art images can be understood in the light of nineteenth- and twentieth-century ethnography. San beliefs about different kinds of rain-animals and the secrecy that attended rain-control rites informed different kinds of social relations between rain-controllers themselves and between them and other people. San communities were less egalitarian than is often supposed, though ongrounds that are commonly overlooked. These points are made in reference to a hitherto unknown painted site.De nombreux aspects de lart rupestre sud-africain peuvent être compris à la lumière de documents ethnographiques des dix-neuvième et vingtième siècles. La croyance des San en différentes sortes danimaux de pluie et le secret environnant les rites de contrôle de lapluie ont révélé plusieurs types de relations sociales entre les faiseurs de pluie eux-mêmes, ainsi quentreceux-ci et les autres personnes. Les communautés san étaient moins égalitaires quon le suppose souvent, bien que cela napparaisse que sur des bases généralement négligées. Ces points sont développés en référence à un site orné jusquà présent inconnu.  相似文献   

11.
Numerous scholars have outlined what they believed to be the consequences of the advent of iron technology in sub-Saharan Africa: increased food production using more efficient bush clearing tools; increased population densities; larger and more stable communities; increased trade, specialization and social differentiation; and the embryonic rise of modern politics. (Davidson 1974.) However, little has been demonstrated in the field.A regional study of the Bassar iron industry of northern Togo has shown that the rise of large-scale iron production may lead to higher population densities, larger and more stable communities, a more aggregated settlement pattern in the ore zone, and increased craft specialization and trade. However, it does not necessarily result in a significant increase in the degree of political centralization. The Bassar data also suggest that even the appearance of relatively small scale iron production may generate similar trends, albeit at more modest levels.
Résumé De nombreux auteurs ont décrit ce qu'ils proposent d'avoir été les conséquences de l'adoption de la technologie de fer dans l'Afrique au sud du Sahara: augmentation de la production de nourriture à l'aide des outils plus efficaces pour débroussailler le paysage; augmentation des densités de population; communautés plus grandes et plus stables; croissance de la commerce, de la specialisation artisanale et de la differentiation sociale; et naissance embryonique de la politique moderne (Davidson 1974). Cependant il n 'y a que très peu de ce schéma qui a été validé par les recherches sur le terrain.Une étude régionale de l'industrie du fer des Bassar du nord de Togo a montré que l'essor de la production de fer à grande échelle peut aboutir à des densités de population plus hauts, des communautés plus grands et plus stables, une répartition de l'habitat plus agrégée dans la zone des minerais de fer, et l'augmentation de la specialisation artisanale et du commerce. Cependant il n'aboutit pas obligatoirement à une centralisation importante au niveau politique. Les résultats fournis par cette étude des Bassar nous amènt à proposer aussi que même l'apparition de la production modeste de fer peut donner naissance à des développements comparables, mais d'un ampleur plus restreint.
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12.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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13.
Prehistoric images are particularly versatile and difficult to grasp. In a few cases of historical continuity, local cultural glosses provide researchers with a rich corpus of data and help in the interpretation of the imagery. Such approaches contribute to the interpretation of the material in a frozen time perspective. Their impact on the development of archaeological methodologies enabling researchers to deal with strictly prehistoric image making traditions without any known descendant communities remains to be felt. This paper is an attempt to develop a subtle and robust archaeological methodology for the study of prehistoric images. The suggested approaches are replicable, and conclusions are falsifiable.Les images préhistoriques sont particulièrement versatiles, et leur sens difficile à cerner en raison de leur polysémie. Dans une poignée de cas, là ou il y a continuité historique, les chercheurs ont reussi à constituer une riche documentation sur les pratiques culturelles liées à l'utilisation des images. Ils/elles parviennent ainsi à des niveaux d'interpretation très detaillée, dans une conception paradoxalement réifiée des sociétés en question, conservant des pratiques culturelles inchangées pendant des millénaires. L'impact de telles approches sur l'élaboration de bonnes méthodes archéologique est négligeable. Dans la plupart des cas, les images et les vestiges matériels sont le uniques témoins des sociétés préhistoriques étudiées. Cet article s'efforce de developper des méthodes, à la fois subtiles et robustes, permettant une analyse systématique des images préhistoriques. Les méthodes proposées sont réplicables, et les conclusions refutables.  相似文献   

14.
The Shurmai (GnJm1) and Kakwa Lelash (GnJm2) rockshelters are located in the Mukogodo Hills region of north-central Kenya. Sondages excavated at both sites allow preliminary reconstruction of their geological and archaeological histories. A total of 4782 lithic pieces were recovered from Shurmai, and 7862 from Kakwa Lelash. The earliest materials from Shurmai date to the late African Middle Stone Age (sometime before ca. 40,000 years bp), and those from Kakwa Lelash apparently date to the African Later Stone Age (sometime after ca. 40,000 bp). The raw material composition, technomorphological characteristics, and style of assemblages from these sites do not reveal whether modern human behavior emerged first in the Middle or in the Later Stone Age. However, the greater sophistication, systematization and efficiency evident in the patterns of resource use, tool manufacture, and style in the Later Stone Age components at Shurmai and Kakwa Lelash rockshelters is consistent with the view that the origins of modern human behavior are to be found in the Later, rather than the Middle, Stone Age in Africa.Les abris de Shurmai (GnJm1) et Kakwa Lelash (GnJm2) sont situés dans la région de collines de Mukogodo du Kenya nord-central. Les sondages creusés aux deux sites permettent la reconstruction préliminaire de leurs histoires géologiques et archéologiques. Un total de 4782 objets lithiques étaient récupérés de Shurmai, et 7862 à Kakwa Lelash. Les matériaux les plus tôt de Shurmai datent au fin de l'Age de la Pierre Moyen d'Afrique (avant ca. 40,000 ans avant le présent), et ceux de Kakwa Lelash datent apparemment au l'Age de la Pierre Récent d'Afrique (après ca. 40,000 ans avant le présent). La composition de matière première, les caractéristiques techno-morphologiques et le modèle des assemblages de ces sites ne révéle pas si le comportement moderne humain a émergé d'abord dans l'Age de la Pierre Moyen ou Récent. Cependant, la plus grand sophistication, systématisation et efficacité évident dans les configurations de l'utilisation de la ressource et dans la fabrication et style des outils de l'Age de la Pierre Récent des abris de Shurmai et Kakwa Lelash se conforme avec l'opinion que les origines de comportement moderne humain se trouvent dans l'Age de la Pierre Récent plutôt que dans l'Age de la Pierre Moyen dans Afrique.  相似文献   

15.
The chapel tumulus is a type of north Saharan funerary monument that incorporates an internal sanctuary separate from the burial itself. The distribution and development of the various forms of chapel tumuli are described. Their furnishings indicate that they were built by the Getules, horsemen and nomadic pastoralists, over the period of a millennium from the fifth century BC to the fifth century AD. The deceased could be approached through the chapel in order to obtain premonitory dreams, a form of divination that is still a Berber and especially a Tuareg custom.
Résumé Un type particulier de monuments funéraires du Nord du Sahara a été nommé tumulus à chapelle en raison d'un aménagement architectural qui permet de pénétrer à l'intérieur sans cependant atteindre la sépulture. La répartition et les variations typologiques de ces monuments sont brièvement exposées. Ils ont été construits dans un territoire occupé par les Getules au cours d'un millénaire qui va du 5e siècle BC au 5e siècle AD. En se rapprochant du défunt par la chapelle, il était possible de s'endormir auprès de lui et d'obtenir des songes prémonitoires. Ces pratiques d'incubation ont encore cours chez les Berbères, surtout chez les Touaregs.
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16.
At Dakhleh Oasis in south-central Egypt, a group of Epipalaeolithic or Masara sites featuring stone-built structures suggests a degree of sedentism that was unusual for the Eastern Sahara in early Holocene times. The paper investigates this apparent increased sedentism by focusing on the organization of lithic technology within the three Masara units defined in the oasis, including that with which the stone structures are associated. Information on three aspects of technological organization — the acquisition of raw material, core reduction sequences, and the portability of the resulting toolkits — when combined with evidence on other artifact categories and on site features and locations, points to a dramatic dichotomy within the Masara between small, highly mobile groups that ranged far beyond the oasis (Masara A), and a more sedentary element (Masara C), consisting of groups confined for at least part of the year to a particularly favoured locale in south-eastern Dakhleh.
Résumé A l'oasis de Dakhleh, en Egypte Sud-Centrale, un groupe de sites Epipaléolithiques ou Masara a livré des structures en pierre qui suggèrent un degré de sédentarisation peu courant pour l'Est du Sahara au début de l'Holocène. Cet article étudie l'accroissement apparent de la sédentarisation en se concentrant sur l'organisation de la technologie lithique au sein des trois unités Masara définies dans l'oasis, y compris celle associée aux cercles de pierre. L'acquisition de la matière première, les séquences de réduction des nucleus, et le transport des outils qui en résultent sont des informations sur trois aspects de l'organisation technologique qui une fois combinées avec les données obtenues à partir d'autres catégories d'artefacts lithiques, de la configuration et de la situation du site, mettent en évidence une dichotomie très claire au sein du Masara entre des groupes petits et très mobiles qui se déplacaient bien au delà du périmeètre de l'oasis (Masara A) et un elément beaucoup plus sédentaire (Masara C) consistant en des groupes confinés pour au moins une partie de l'année dans un site particulièrement apprécié de la partie sud-est de Dakhleh.
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17.
The majority of the neolithic pottery from Dhar Tichitt and Oualata bears abundant plant impressions on its surface. The present study involves direct examination of these impressions and comparsion with a control series in the laboratory. The criteria for differentiation between impressions made by wild and cultivatedPennisetum are clearly defined. In the pottery from Oued Chebbi (Dhar Oualata), the existence of many many impressions of pearl millet (Pennisetum), including both wild and cultivated strains, is confirmed. It is concluded that the area around Dhar Tichitt and Oualata belongs to a non-centre zone of origin (Harlan 1975) and that,ca 3000 bp, its inhabitants knew how to use cultivated strains in an area where wild strains were also found in some abundance.
Résumé La céramique néolithique des dhars Tichitt et Oualata présente une abondance d'empreintes végétales en surface. La présente étude—basée sur la lecture directe des empreintes sur la céramique—s'appuye sur une série de référence fabriquée en laboratoire. Les critères de différenciation, dans le genrePennisetum, des empreintes de formes sauvages et de formes cultivées sont clairement précisées. L'existence, dans les céramiques de Oued Chebbi, de nombreuses empreintes de mil du genrePennisetum et, parmi celles-ci, de formes cultivées, est affirmée. Les différentes analyses d'empreintes permettent de penser que le secteure des dhars Tichitt et Oualata appartient à la zone d'origine non-centre définie par J. Harlan (1975) et qu'aux alentours de 3000 ans bp, ses habitants savaient exploiter des formes cultivées dans un cadre où les populations de forme sauvage avaient une certaine abondance.
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A later Pleistocene Khoisan peopling of eastern Africa has been suggested by most researchers. The evidence cited consists of a few isolated crania, archaeological occurrences described as Wilton, rock paintings and scattered populations of present-day hunter-gatherers speaking languages with clicks and viewed as bearing some physical resemblances to living Khoisan groups. When these different lines of evidence are evaluated, it is clear that there is no strong basis for retaining the concept of later Pleistocene Khoisan populations in eastern Africa. Instead, the available data suggest that the later Pleistocene and Holocene eastern Africans were tall, linear peoples.
Résumé La plupart des chercheurs proposent que l'est de l'Afrique a été peuplé pendant le Pléistocène tardif par des gens Khoisan. Les témoignages citées par ces auteurs consistent en quelques crânes isolés, des mobiliers archêologiques catégorisés comme du type Wilton, des peintures rupestres, et la répartition actuelle de quelques groupes sociaux bien parsemés de chasseurs-cueilleurs qui parlent des langues avec des claquements et qu'on pense à ressembler physiquement à quelques peuples Khoisan d'aujourd'hui. Quand ces lignes de raisonnement sont évaluées individualement, il se manifeste qu'il n'y a aucune base solide qui peut nous justifier à garder l'hypothèse de la présence des gens Khoisan dans l'est de l'Afrique pendant le Pléistocène tardif. Au contraire, les données disponibles nous amènent à penser que les gens est-africains au Pléistocène tardif ainsi qu'à l'Holocene étaient de haute taille et mince.
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19.
Two seasons of archaeological site reconnaissance and geo-archaeological fieldwork in the Kipsing and Tol river valleys of central Kenya have resulted in (1) the location of 58 surface sites and 13 spot finds and (2) the excavation and dating of 11 alluvial stratigraphic profiles. These data are incorporated with our previous work in the study area to yield a preliminary interpretation of Middle and Later Stone Age tool technologies and land-use strategies during the Late Pleistocene period there. Specifically, the nature of the lithic inventories and observed distribution of archaeological sites suggests that people in the Middle Stone Age employed a patch choice resource and land-use strategy while those in the subsequent Later Stone Age period utilized a logistical strategy.Pendant deux saisons de la reconnaissance archéologique d'emplacement et des travaux sur le terrain geo-archéologiques les vallées dans de Kipsing et de Tol fleuve du Kenya central ont eu comme conséquence (1) l'endroit de 58 emplacements extérieurs et 13 trouvailles de tache et (2) l'excavation et dater 11 profils stratigraphiques alluviaux. Ces données sont incorporées avec nos travaux précédents dans le secteur d'étude pour rapporter une interprétation préliminaire de milieu et de stratégies postérieures d'utilisation de la terre de technologies d'outil de âge de pierre pendant la période pléistocène en retard là. Spécifiquement, la nature des inventaire lithic et la distribution observée des emplacements archéologiques suggère que les gens dans le âge de pierre moyen aient utilisé un choix de morceau (patch choice) stratégie de ressource et d'utilisation du territoire, alors que ceux dans la période postérieure suivante de âge de pierre utilisaient un logistique stratégie.  相似文献   

20.
Summary Now, for the first time, it is possible to place in an exact archaeological context the polished tools which have been collected for many years on the surface in the savanna immediately to the south of the equatorial forest. In Lower Zaïre, in an area of 6000 km2, polished tools have been found systematically associated with a particular type of pottery. This pottery, which was previously known as Groupvi pottery and which we propose calling Ngovo group pottery is very distinctive.Although faunal remains associated in one case were of wild animals, someElaeïs andCanarium nuts could indicate the beginnings of agriculture. A series of dates in good agreement place these polished tools and this pottery within the last two centuries bc.At the present time, iron-working in Lower Zaïre has not been dated prior to the second century ad. This Early Iron Age is associated with the Kay Ladio group pottery which is possibly derived from the Ngovo group.
Résumé Pour la première fois, il est possible de préciser le contexte archéologique des outils polis que depuis longtemps on recueillait en surface dans les savanes immédiatement au sud de la forêt équatoriale.Au Bas-Zaïre, dans une zone de plus de 6000 km2, des outils polis ont été trouvés systématiquement en association avec une céramique d'un type particulier. Cette céramique, connue précédemment sous le nom de céramique du groupevi et que l'on propose d'appeler dorénavant groupe de Ngovo, est très caractéristique.Bien que les restes de faune qui y sont associés dans une grotte soient ceux d'animaux sauvages, des noix d'Elaeïs et deCanarium indiquent peut-être un début d'agriculture.Une série de datations remarquablement convergentes placent ces outils polis et cette céramique durant les deux derniers siècles bc.La métallurgie n'est jusqu'à présent pas datée au Bas-Zaïre avant le 2e siècle ad. Cet âge du fer ancien est associé à la céramique du groupe Kay Ladio qui dérive peut-être du groupe de Ngovo.
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