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1.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

2.
Archaeological and ethnohistorical investigations were conducted in the area around the town of Ngala in Borno State, Nigeria, situated immediately south of Lake Chad. Four mounds were excavated. Comparison with data from excavations and ethnohistorical studies provided a fairly complete picture of the settlement and cultural history of that most environmentally peculiar region. It is now evident that Late Neolithic settlers established themselves around 1000 CalBC in permanent hamlets with year-round occupation and a subsistence based not only on gathering, hunting and fishing but also on cattle herding and probably the cultivation of domesticated Pennisteum. Certainly, cultivation is attested after the onset of the Early Iron Age around 500 CalBC. Although from then on we see a steady development toward further complexity with the establishment of compact villages during the middle of the first millennium CalAD and the foundation of local principalities during the fourteenth century AD it was not before the fifteenth to sixteenth centuries AD, that the mode of subsistence and the political and societal structure typical for the area today was fully developed. By then, the wider region came under control of the Borno Empire, a situation which lasted up to the early colonial days at the onset of the twentieth century. Des recherches archéologiques et ethnohistoriques ont été conduites dans les environs de la ville de Ngala (état du Borno, Nigeria) située immédiatement au sud du lac Tchad. Quatre tertres d'habitat ont été fouillés. La comparaison des matériaux excavés avec ceux des fouilles antérieures, complétée par des analyses ethnohistoriques, a permis de reconstituer de manière assez complète l'évolution du peuplement et la succession des cultures dans cette zone qui se distingue par des conditions environnementales particulières. Il est clair aujourd'hui que les colons du Néolithique récent se sont installés, vers 1000 CalBC, dans des hameaux permanents occupés toute l'année, et que leur subsistance n'était pas uniquement basée sur la chasse, la collecte et la pêche, mais probablement aussi sur l'élevage et la culture du Pennisteum domestique. Certainement l'agriculture est attestée au début de l'Age du fer Ancien, vers 500 CalBC. A partir de ce moment, on observe certes une évolution régulière et soutenue vers plus de complexité, avec l'apparition de gros villages dans le courant du premier millénaire CalAD, et la fondation, au quatorzième siècle, de principautés locales, mais ce n'est pas avant les quinzième et seizième siècles que le mode de subsistance et la structure socio-politique qui caractérisent cette région aujourd'hui se sont véritablement mis en place. A partir de ce moment, la zone à laquelle appartient notre domaine d'étude a été intégrée dans l'empire du Bornou, une situation qui s'est maintenue jusqu'au début de la période coloniale, à l'aube du vingtième siècle.  相似文献   

3.
Archaeomineralogical fieldwork in south-eastern Nigeria combined with metallurgical analyses has now all but confirmed the local provenance of most of the metals used in manufacturing the bronze and copper vessels, ornaments and sculptures which were kept and buried at Igbo-Ukwu about the ninth or tenth century AD. This demonstration may further support the view that the technical skills and artistic inspiration of Igbo-Ukwu were largely locally evolved. Yet the lack of prototypes remains disconcerting. Such a large collection of exquisite bronze artwork and ritual objects is unparalleled for this region at that period; and attempts to explain the circumstances which gave rise to Igbo-Ukwu remain unsatisfactory. It is argued here that, whatever local factors, either religious or secular, may have obtained at that time, there was also an international one. Presumably this region was for a period producing a rare and geographically specific mineral then in high demand in the wider world. The bronzes may be in effect the by-product of that mining and production for export. It is suggested that the principal trade-routes then may not have crossed the Sahara to Muslim North Africa but have run eastward from the Lake Chad region to the Christian countries of the Nile. There may be a hint of this in certain of the bronze forms. Moreover, contact with Egypt, if not indirectly with lands beyond, is demonstrated at Igbo-Ukwu by the vast numbers of imported beads.
Résumé Un travail archéominéralogique de terrain au sud-est du Nigeria, combiné avec des analyses métallurgiques confirme maintenant la provenance locale des métaux utilisés pour la fabrication des récipients en bronze et en cuivre, des ornements et des sculptures gardés et enterrés à Igbo-Ukwu aux alentours du 9ème et 10ème siècles. Ceci renforce l'hypothèse que les techniques et l'inspiration artistique résultent à Igbo-Ukwu d'une évolution locale. Mais l'absence de prototypes reste déconcertante. Une collection aussi importante d'oeuvres d'art en bronze et objects rituels si raffinés est sans parallèle dans cette région à cette période et les tentatives pour expliquer les circonstances qui conduisirent à l'apparition d'Igbo-Ukwu restent peu satisfaisantes. Cependant, et quels que soient les facteurs locaux, religieux ou profanes qui existaient à cette période, un facteur international a dû jouer. Il est possible que cette région ait pendant une certaine période produit un minéral rare et géographiquement localisé faisant à l'époque l'objet d'une grande demande bien audelà de la région. Les bronzes pourraient donc être les sous-produits d'activités d'extraction et de production destinées à l'exportation. Il est aussi suggéré qu'à cette époque, les principales routes du commerce ne traversaient peut-être pas le Sahara pour joindre l'Afrique du Nord musulmane, mais allaient plutôt en direction de l'Est à partir de la région du Lac Tchad jusqu'aux pays chrétiens du Nil. L'indice pourrait en être la forme de certains bronzes. De plus, des contacts avec l'Egypte, si pas indirectement avec des pays au-delà, sont démontrés par la présence à igbo-Ukwu d'un grand nombre de perles importées.
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4.
This paper describes the results of the 1974 excavations at Porc Epic Cave, Dire Dawa. Following a summary of Dr M.A.J. Williams' interpretation of the stratigraphic succession and geological history of the cave and its contained deposits, the cultural sequence is described and an explanatory model presented. The 1974 excavation showed the Middle Stone Age layers to be sealed under a massive dripstone, except in the front part of the cave where erosion and later deposition had produced the seeming mixing of Middle and Later Stone Age artifacts observed by the 1933 excavators. Artifacts are associated with comminuted and often burnt bone round what appear to be hearths. Tools consist predominantly of points, scrapers and edge damaged blade and flake forms. The specialized nature of the retouched and utilized tools, together with the relative inaccessibility of the cave and the comminuted nature of the bone waste, suggest the possible use of the cave as a hunting camp at seasons when game migrated into the escarpment from the Afar Plains. The wide-ranging habits of the occupants are attested by the presence of obsidian and basalt artifacts, the raw material for which is not found in the immediate vicinity of the site. On the basis of the human jaw fragment discovered in 1933, the Middle Stone Age occupants of the cave are said to show both neanderthal and non-neanderthal features. Hydration dates for obsidian artifacts from the Middle Stone Age deposit indicate that the cave was occupied between about 61,000 and 77,500 bp. These results confirm that the Proc Epic occurrences are of comparable age to those from Middle Stone Age localities in other parts of the continent.
Résumé Cet article décrit les résultats des fouilles de 1974 à la grotte du Porc Epic, à Dire Dawa. Suivant un résumé de l'interprétation de la succession stratigraphique compilé par M. A. J. Williams et l'histoire géologique de la grotte et de ses dépôts, la séquence culturelle est décrite et un modèle explicatif est présenté. La fouille de 1974 a révélé que les couches du Middle Stone Age ont été scellées sous une épaisse couche de concrétion calcaire, sauf dans la partie avant de la caverne où l'érosion et une déposition ultérieure ont produit le mélange apparent des outillages du Middle et du Later Stone Age observé par les fouilleurs en 1933. Les industries sont associés à des fragments d'os souvent brûlés, autour de ce qui semble être des foyers. Les outils consistent surtout de pointes, de grattoirs et de formes de lames et d'éclats à bords endommagés. La nature spécialisée des outils retouchés et utilisés, ainsi que l'inaccessibilité relative de la grotte et l'aspect fragmenté des restes osseux, suggèrent l'usage possible de la grotte comme camp de chasse durant les saisons de migration du gibier vers l'escarpement des plaines des Afars. Les déplacements des occupants sur un vaste terrain sont attestés par la présence d'outils en obsidienne et en basalte, deux matériaux qui ne sont pas trouvés dans les environs immédiats du site. En se fondant sur un fragment de mâchoire humaine découvert en 1933, les occupants de la grotte au Middle Stone Age semblent démontrer des traits néanderthaliens et non-néanderthaliens. Les dates obtenues par la méthode d'hydratation des pièces en obsidienne provenant du dépôt du Middle Stone Age indiquent que la grotte fut occupée entre environ 61,000 et 77,500 bp. Ces résultats confirment que les activités dans la grotte du Porc Epic sont d'un âge comparable à celles des localités du Middle Stone Age trouvées ailleurs dans le continent.
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5.
The recent archaeological campaign (regional site survey and excavations at the mound complex of Akumbu) has demonstrated that the Méma, a dry Sahelian region with a scattered population, was intensively occupied during the Iron Age. This intense occupation, certainly associated with better environmental conditions, extends back to the Late Stone Age. During the regional survey more than 100 Iron Age sites and nearly 30 Late Stone Age sites were identified; their size, surface material and features, and location on geomorphological zones were recorded. A series of radiocarbon dates spanning the fourth to fourteenth centuries ad obtained from the excavations at the Iron Age mound complex of Akumbu and a preliminary analysis of the pottery from both the excavations and the survey permitted the determination of a broad chronology of occupation. Numerous slag heaps (associated with smelting furnace remains) found during the survey and imported goods uncovered during the excavations at Akumbu indicate that both iron production and long-distance trade played an important role in the Méma economy.
Résumé Une campagne archéologique (reconnaissance et fouilles) exécutée en 1989–1990 a montré que le Méma, une région sahelienne de grande sécheresse à population actuellement éparse, était intensément peuplé pendant la période de l'Age du Fer. Cette intense occupation, certainement liée à de meilleures conditions climatiques, semble remonter à la période du néolithique. Au cours de la reconnaissance, conduite à l'échelle régionale, plus d'une centaine de sites datant de l'Age du Fer et environ une trentaine de sites néolithiques furent identifiés, enregistrés et décrits en termes de leurs dimensions, matériels et caractéristiques de surface, et environnement. Une série de datations au radiocarbone, obtenue lors de la fouille sur le complexe de buttes d'habitat de Akumbu, dans la partie ouest du Méma, indique une occupation s'étendant du quatrième siècle au quatorzième siècle de notre ère. La découverte d'imposants amas de scories, associés à des restes de hauts fourneaux, et objets exotiques trouvés lors des fouilles à Akumbu, attestent que la production de fer et le commerce à longue distance jouaient tous les deux un important rôle dans l'économie du Méma.
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6.
Swahili ethnographic information was used to interpret eighteenth-century coral house excavations in Lamu, Kenya. The author was especially interested in learning the symbolic or social meaning of durable objects that were found in archaeological assemblages. It was learned that many of the artefacts found in the excavations are related to rituals performed in Swahili houses. The spaces within the house are ranked and used to teach social position. Features of coral houses, animal remains, infant burials, shells, ceramics, and beads can be shown to have symbolic meaning within the Swahili context.
Résumé L'auteur a utilisé des informations ethnographiques souahélies afin d'interpréter les fouilles de maisons en corail du 18e siècle à Lamu, Kenya. Elle s'intéressait surtout à connaître la signification symbolique ou sociale des objets non-périssables trouvés dans les assemblages archéologiques. Elle a appris que beaucoup des artefacts trouvés pendant les fouilles sont à rattacher aux rituels célébrés dans les maisons souahélies. Les espaces à l'intérieur de la maison sont classés et utilisés afin de montrer la position sociale. On peut démontrer que certaines particularités des maisons en corail, les restes de faune, les inhumations de tous petits enfants, la céramique et les grains de collier ont des significations symboliques dans leur contexte souahéli.
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7.
Résumé L'article propose une classification générale de la poterie ancienne décorée à la roulette, dans la Région des Grands Lacs et en Afrique de l'Est. Un premier groupe de poterie, appelé ici W, caractérisé principalement par la roulette torsadée, est produit vraisemblablement dèsca 800 AD; cette poterie pourrait avoir été diffusée de la région Est vers la zone interlacustre par le sud du Lac Victoria. L'hypothèse que le groupe W est associé à des populations de langues sud-nilotiques permet de reconsidérer les débuts du Deuxième Age du fer en Afrique interlacustre. Cet article suggère l'installation de groupes de pasteurs sud-nilotes dans la zone interlacustre; leurs rapports avec les autochtones sont examinés, en particulier le cas du Rwanda.Le groupe X (roulette nouée) apparaît en Ouganda dans les premiers siècles du second millénaire, suivi du groupe Y (roulette torsadée fine); à partir de 1500 AD, ils remplacent le groupe W dans la région interlacustre. Dans cet ensemble céramique, que l'on sait associé à des groupes de langues ouest-nilotiques venus du nord, une distinction est suggérée entre trois styles régionaux, qui sont mis en relation avec l'histoire des migrations de leurs producteurs.
This article offers a general classification of the ancient roulette-decorated pottery from the Great Lakes Region and from East Africa. A first pottery group, here named W, mainly characterised by twisted string roulette, appears as early asca 800 AD; this pottery might have been introduced to the interlacustrine area from the east and south of Lake Victoria. The hypothesis that the W group was associated with speakers of Southern-Nilotic languages is relevant to our view of the beginning of the Late Iron Age in interlacustrine Africa. This article suggests the establishment of pastoralist groups of Southern-Nilotic speakers in the interlacustrine zone and also examines their contacts with local populations, giving special attention to Rwanda.The X group (knotted string roulette) appears in Uganda in the first centuries of the second millennium, followed by the Y group (thin twisted string roulette). Fromca 1500 AD these groups replaced the W group in the interlacustrine area. In these last groups, which are associated with Western-Nilotes coming from the north, a distinction is made between three regional styles which are further correlated with the history of their makers.
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8.
The Aterian has a huge geographic extension covering all North Africa, although it was not supposed to exist in the mountain ranges of the central Sahara. Its chronological context is not yet definitively determined and it is still difficult to say whether the Aterian tools are technological, typological, functional, or chronological markers. Recent surveys and excavations at Uan Tabu and Uan Afuda, two rock-shelters located in the central Tadrart Acacus, provide the first chronological, environmental and archaeological indications on this Late Pleistocene human occupation in the area. The lack of organic matter led us to perform OSL and TL analyses on sand. L'Atérien a une énorme extension géographique qui couvre tout le Nord de l'Afrique, tandis qu'on ne pensait pas qu'il existait dans les montagnes du Sahara central. Son contexte culturel n'est pas définitivement déterminé et il est encore difficile de dire si les instruments atériens sont des indicateurs téchnologiques, typologiques, fonctionels ou culturels. Reconnaissances et fouilles récentes à Uan Tabu et Uan Afuda, deux abris situés dans l'Acacous central, fournissent les premières indications sur la chronologie, l'environnement et l'archéologie de l'Atérien dans la région. L'absence de la substance organique, nous a porté à faire des déterminations OSL et TL sur les sables.  相似文献   

9.
The external connections of Igbo-Ukwu, in the forest belt of south-eastern Nigeria, around the ninth century AD, are demonstrated by the large numbers of glass beads, apparently of Egyptian manufacture, and are implicit in the rich collection of bronze artwork that lacks known prototypes. Although the metals were mined locally, the labor and the expert alloying and casting of numerous ritual or ornamental objects indicate an accumulation of wealth derived from distant trade of special commodities. The identification of these commodities, however, and the routes by which they—and in the reverse direction the beads—would have traveled, remain unsatisfactorily resolved. A preference is repeated here for an eastern Sahelian routing from Lake Chad to the Middle Nile kingdoms (Alwa and Makuria/Dongola), then at their height, thus avoiding the Sahara. The alternative direction suggested recently (Insoll, T., and Shaw, T. (1997) Gao and Igbo-Ukwu: Beads, interregional trade and beyond. African Archaeological Review, 14:9–23), through Gao on the Niger bend and across the west-central Sahara, seems less likely on grounds of geography and chronology. The essential items of merchandise deriving from Igbo-Ukwu are unlikely to be those commonly assumed for sub-Saharan Africa, notably ivory and slaves, but would have been more local and precious, presumably metals. The bronzes stored and buried at Igbo-Ukwu might be regarded as by-products of this export activity. Demands in the Nile Valley for tin (for bronze alloying) and for silver, both of which occur in the ores exploited, deserve consideration. A call is made for comparative study of metals and their uses between the Middle Nile and West Africa in the first millennium AD—a neglected subject owing to the intellectual gulf that persists between Africanists and Egyptologists.Les contacts extérieurs d'Igbo-Ukwu, dans la région forestière du sud-est du Nigéria, vers le 9e siècle après J. C., sont indiqués par les très nombreuses perles de verre, apparemment de fabrication Égyptienne. Ils sont aussi suggérés par un ensemble remarquable d'objects en bronze dont on ne connaît aucun prototype. Bien que les métaux proviennent de la région, le travail, et aussi l'alliage et la fonte très spécialisés de nombreux objects rituels ou décoratifs, indiquent une accumulation de richesse résultant du commerce à longues distances de produits recherchés. Pourtant, l'identification de ceux-ci, et les itinéraires pour leur transport—et, en sens inverse, ceux des perles—restent hypothétique. Nous réiterons une préférence pour une route est-Sahelien, de Lac Tchad jusqu'aux royaumes du Nil Moyen (Alwa et Makouria/Dongola), à leur apogée à cette époque, et donc évitant le Sahara. L'autre direction, proposée récemment (dans cette revue par Insoll et Shaw), via Gao sur la boucle du Niger et à travers le Sahara ouest-central, semble moins probable pour les raisons géographiques et chronologiques. Les objets principaux de ce commerce qui provenaient d'Igbo-Ukwu ne seraient pas ceux qui sont normalement imaginés pour l'Afrique Sub-saharienne, notamment l'ivoire et les esclaves; ce seraient des produits plus locaux et précieux, vraisemblablement des métaux. Les bronzes enterrés à Igbo-Ukwu pourraient être les sous-produits de cette activité destinée à l'exportation. La demande dans la vallée du Nil pour l'étain (pour l'alliage du bronze) et pour l'argent, qui existent tous les deux dans les minerais du sud-est du Nigéria, mérite considération. Il faut qu'on fasse des recherches comparatives sur les métaux et leurs emplois entre le Nil Moyen et l'Afrique de l'Ouest durant le premier millénaire après J. C.—un sujet négligé à cause du fossé intellectuel qui persiste entre les études Africanistes et Égyptologiques.  相似文献   

10.
Excavations by the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project in the area just north of Khashm el Girba on the upper Atbara River have uncovered a series of preceramic and early ceramic occupations by hunters and gatherers which date fromca 10,000 bp toca 6200 bp. The earlier sites show no direct relations with those of similar age in the northern Sudan, while the later, early ceramic sites show only minor similarities with contemporary occurrences in the central Nile Valley. Thus, it appears that the upper Atbara River Valley played no role in the development of the Khartoum Mesolithic and that Nilotic influences were late reaching the eastern Sudan.
Résumé Des fouilles entreprises par le projet Butana dirigé en commun par l'université de Khartoum et le Southern Methodist University dans la région juste au nord de Khashm el Girba sur le cours supérieur de l'Atbara, ont découvert une série d'occupations précéramiques et céramiques anciennes de chasseurs-cueilleurs, qui datent deca 10,000 bp àca 6200 bp. Les gisements les plus anciens ne semblent pas avoir eu de relations directes avec ceux de la même période dans le nord du Soudan, tandis que les gisements plus tardifs à céramiques ne montrent que de petites analogies avec des occupations contemporaines dans la vallée centrale du Nil. Il semble donc que la haute vallée de l'Atbara n'a joué aucun rôle dans le développement du Mésolithique de Khartoum et que des influences nilotiques n'atteignirent que bien plus tard le Soudan oriental.
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11.
The Nyanga agricultural complex through its cultivation terraces and ridges represents one of the most intensified agricultural systems in southern African prehistory. In such a well developed system of land management and use, iron tools played a crucial role in clearing the land for cultivation as well as for domestic building purposes. Important to this dimension is the need to understand iron production and use in prehistoric societies. This paper aims for the first time to look at iron technology in the Nyanga agricultural complex through an initial analysis of iron extraction remains such as ore, slag, and furnace fragments. As a result, the technical data obtained will be used to develop hypotheses which future research can engage. This paper is a preliminary statement toward developing an understanding of iron production to meet various purposes from the deeper past to the historical period.Le complexe agricole Nyanga avec ses terrasses et collines cultivées représente un des systèmes agricoles les plus intensifs de la préhistoire de l'Afrique du sud. Dans ce système d'organisation et d'exploitation bien développé les outils en fer jouent un rôle important dans la cultivation du sol et la construction des bâtiments. Il est nécessaire de bien connaître les méthodes de production et d'utilisation du fer dans les sociétés préhistoriques. Cet article traite pour la première fois de la technologie du fer dans le complexe agricole Nyanga en présentant des analyses préliminaires des restes de l'exploitation du fer tels les minerais, les scories et les fragments de fourneaux. Les résultats de l'étude de ces techniques vont servir à développer des hypothèses qui aideront à faire avancer les recherches futures. Cet article représente un essai préliminaire pour développer nos connaisaences sur la production du fer destiné à de multiples usages depuis les temps les plus reculés jusqu à la période préhistorique.  相似文献   

12.
The Phalaborwa region in the Northern Province of South Africa has one of the richest copper- and iron-bearing deposits in southern Africa. These deposits have been worked for 1200 years and are still being worked. The abundance of ore reduction and metal production sites, dating mostly to the Late Iron Age, testifies to the importance of these deposits. Those sites that were excavated provide valuable insight into the industrial processes, economy, rituals, and use of animals by these specialized communities. The faunal remains reflect different lifestyles, but also indicate that animal husbandry was not of primary importance. The communities were focused predominantly on metal production. The soils and climate of the region are not very suitable for herding and agriculture. Subsequently products of the metal working activities such as hoes were used as replacement for cattle in bride wealth. La région Phalaborwa dans la province Nord d'Afrique de Sud constitue l'un des dépôts les plus riches de cuivre et de fer du sud d'Afrique. Ces dépôts ont été exploités pendant 1200 années et le sont toujours. L'importance de la réduction du minerais et de la production de métal de ces sites, datés pour la plupart sur la fin del'Age de Fer, témoignent de la richesse de ces dépôts. Deux sites qui furent fouillés, donnent des renseignements valables à propos des processus industriels, de l'économie, desrites et de l'utilisation des animaux par ces communautes spécialisées. Les ossements de la faune reflètent différents modes de view, mais indiquent également que l'économie animalière n'était pas de la première importance. Les sols et le climat de la région ne sont propices, ni à l'agriculture. D'autres produits issus du travail du fer, comme des houes, ont été utilisées en remplacement de l'élevage.  相似文献   

13.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

14.
Archaeological investigations in the Lunsemfwa Drainage Basin of Zambia have yielded evidence that necessitates modification of current views about the nature of culture contact between hunter-gatherers and agriculturalists. Hypotheses of barter, theft or some kind of exchange network between the two communities are not supported. It is suggested that stone-tool-using foragers collected pottery from abandoned village sites and transported these back to their base camps. This hypothesis recognizes the significance of resource availability and of patterns of exploitation and settlement. Lack of regular contact during the period of co-existence was largely due to the environmental diversity of the region: the two populations occupied and utilized different areas and did not compete for the same resources.
Résumé Des recherches archéologiques dans le bassin du Lunsemfwa en Zambie ont fourni des indices qui nous obligent à modifier nos idées actuelles au sujet de la nature du contact culturel entre les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs. Les hypothèses de troc, de vol ou d'un réseau quelconque d'échanges entre les deux communautés ne sont pas soutenues. L'auteur suggère que les chasseurs-ceuilleurs qui utilisaient des outils lithiques ont ramassé de la céramique dans des villages abandonnés et l'ont rapportée à leurs camps de base. Cette hypothèse reconnaît l'importance de la disponibilité des ressources, et celle des systèmes d'exploitation et d'habitation. L'absence de contacts réguliers pendant la période de co-existence était due surtout à la diversité de l'environnement de la région; les deux populations ont occupé et utilisé des zones différentes et ne se sont pas fait concurrence pour les mêmes ressources.
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The Bariba are the dominant ethnic group in the culturally heterogeneous northern provinces of the modern state of Bénin. Recent decades have witnessed dramatic changes in some aspects of Bariba material culture, while others have remained more stable. An investigation of change and stability in Bariba material culture, with particular attention to containers, reveals that the dynamics of cultural pluralism, an heterogeneous array of innovative and conservative beliefs and practices, register as much in the material as in the non-material domains of Bariba life. Because containers are ubiquitous in late prehistoric and historical societies, they constitute a key monitor of change for archaeologists. Evaluation of container change in this living culture highlights some of the challenges facing archaeologists working exclusively with material remains.
Résumé Les Bariba sont le groupe ethnique qui prédomine dans les provinces culturellement hétérogènes du nord de l'état moderne du Bénin. Pendant les dernières décennies certains aspects de la culture matérielle des Bariba ont changé de façon dramatique, tandis que d'autres sont restés plus stables. Une investigation des changements et de la stabilité dans la culture matérielle des Bariba, avec des recherches spéciales concernant les récipients, révèle que les dynamiques du pluralisme culturel—un étalage hétérogène de croyances et de pratiques innovatrices et conservatrices—sont visibles aussi bien dans les domaines matériels de la vie des Bariba que dans les domaines non-matériels. Puisque les récipients se trouvent partout dans les sociétés historiques et de la fin de la préhistoire, ils constituent pour les archéologues un indice-clef de changements. L'évaluation des changements des récipients dans cette culture vivante met en relief certains des problèmes que doivent affronter les archéologues qui travaillent uniquement sur les vestiges matériels.
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Despite the antiquity of domestic cattle in the Sahara-Sahel, archaeological evidence from two sub-Saharan regions indicates that the first pastoralist colonization of sub-Saharan Africa may not have proceeded so smoothly as modern appearances suggest. The first appearance of cattle-based economies seems to have been delayed by as much as a thousand years after the first appearance of small stock, in both eastern and southern Africa. This article reviews the relevant archaeological evidence and argues that the lag in successful introduction of cattle stems from new animal diseases encountered by pastoral colonists entering biogeographic zones south of the Sahel. Diseases that are often fatal to cattle, including wildebeest-derived malignant catarrhal fever (WD-MCF), East Coast fever (ECF), foot-and-mouth disease (FMD), and Rift Valley fever (RVF), as well as trypanosomiasis, are described as probable barriers to the early entry of cattle-based economies into these regions.Malgré l'antiquité des animaux domestiques dans le Sahara-Sahel, les données archéologique de deux régions subsahariennes indiquent que les premières colonisations pastoraux des zones au sud du Sahel ne se propagèrent pas aussi promptement que suggèrent les apparences actuelles. En l'Afrique orientale et en l'Afrique du sud, l'apparition d'économies basées sur l'élevage des gros bovins paraît être retardée de quelque mille ans par rapport à l'apparition des petits ruminants domestiques dans ces mêmes régions. L'article recense les données archéologiques pertinentes et propose que le délai de l'introduction effective des gros bovins fût causée par des nouvelles maladies vétérinaires rencontrées par les premiers colonisateurs pastoraux entrant dans les zones biogéographiques au sud du Sahel. Des maladies fréquemment fatales aux gros bovins, telle que le coryza gangreneux, la thèleriose, la fièvre aphteuse, l'arbovirus des Bunyaviridae, aussi bien que la trypanosomiase, sont proposées comme des obstacles probables à la diffusion des économies à gros bovins dans ces régions.  相似文献   

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Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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Ethnoarchaeological studies have constantly emphasized the complexity of pottery distribution and its close ties with other aspects of social life. It is argued here that, among the Dowayo of northern Cameroon, pottery exchange is not regulated by preferential economic relationships between producers and consumers but rather by mechanisms such as fashion or the reputation of the artisans.De récentes études ethnoarchéologiques ont constamment mis en avant la complexité des processus de distribution de la poterie et les liens étroits que ceux-ci entretiennent avec les autres aspects de la vie sociale. Il est démontré dans cet article que, chez les Dowayo du Nord-Cameroun, les échanges de poterie sont structurés par une absence de lien privilégié entre producteurs et consommateurs et sont dès lors régulés par des mécanismes tels que la mode ou la réputation des artisans.  相似文献   

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The analysis of Middle Stone Age artefact assemblages from the 1984–8 Deacon excavation of Klasies River main site on the southern Cape coast of South Africa emphasizes its importance as a source of information on the Late Pleistocene period. The trends in artefact variability noted in the previous 1967–8 Singer and Wymer excavation are described in more detail and it is concluded on typological grounds that the cave 1B assemblages which are associated with the anatomically modern human mandible no. 41815 are of the order of 100,000 years old. Rare, unstandardized retouch and the persistence of time-restricted patterning in the Klasies River main site Middle Stone Age sequence over periods in excess of 20,000 years represent significant differences between Middle and some parts of Later Stone Age sequences. It is suggested that this may be a consequence of conservatism under relatively low-density demographic conditions rather than a reflection of the absence of modern behaviour among Middle Stone Age toolmakers.
Résumé L'analyse des industries lithiques de l'âge de la Pierre Moyen provenant des fouilles Deacon au site principal à Klasies River, sur la côte sud du cap de l'Afrique du Sud, souligne l'importance de ce site pour ses renseignements sur le Pléistocene récent. Les tendances de variabilité dans le matériel culturel déjà constatées dans les fouilles précédentes de Singer et Wymer (1967–8) sont présentées ici en davantage de détail. L'étude typologique amène à la conclusion que les industries de la grotte 1B, associées à la mandibule no. 41815 de forme humaine moderne, ont un âge approximative de 100,000 ans. La présence assez rare d'une retouche non-standardisée et la persistance des modalités, chronologiquement bien définies, dans la succession des industries de l'âge de la Pierre Moyen au site principal à Klasies River pendant des périodes de plus de 20,000 ans constituent des différences considérables entre l'âge de la Pierre Moyen et quelques phases de l'âge de la Pierre Récent. On propose que cela peut être la conséquence d'un conservatisme sous les conditions de densité démographique faible, plutôt qu'en déduire que la mode de comportement caractéristique de l'homme moderne manquait aux gens de l'âge de la Pierre Moyen.
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Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

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