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1.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

2.
Archaeological research in Lesotho over the last 120 years is reviewed. Particular emphasis is given to P. Carter's excavation and survey project in eastern Lesotho and to contract archaeology projects in other parts of the country. Current research and projects involving the study of rock art are also considered. The archaeological potential of Lesotho for addressing a number of themes is discussed. These themes include the reconstruction of prehistoric seasonal mobility patterns, hunter-gatherer adaptations at the Last Glacial Maximum and relations between hunter-gatherer and farming populations. Lesotho's geographical situation lends itself to examining these questions across two distinct ecological gradients, but the richness of its rock art also demonstrates its potential for investigating Stone Age social relations. The importance of developing a more effective national archaeological infrastructure is stressed.
Résumé Les recherches archéologiques des 120 dernières années sont passées en revue. L'accent est mis tout particuliérement sur les fouilles et le survey conduits dans l'est du Lesotho par P. Carter ainsi que sur les contrats de recherches archéologiques dans d'autres régions du pays. Les recherches en cours et les projets comprennant l'étude de l'art rupestre sont aussi passés en revue.Le potentiel archéologique du Lesotho pour l'étude d'un certain nombre de thèmes est discuté. Ces thèmes comprennent la reconstruction des mouvements saisoniers et des adaptations des chasseurs/cueilleurs durant le dernier maximum glaciaire ainsi que les relations entre les chasseurs/cueilleurs et les populations fermières. Le Lesotho, de par sa situation géographique, permet d'examiner ces questions au travers de deux niveaux écologiques distincts, cependant que la richesse de son art rupestre démontre son potentiel pour étudier les relations sociales durant l'Age de la Pierre. L'importance du développement d'une infrastructure archéologique nationale plus poussée est soulignée.
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3.
This paper examines the history of African metallurgy in the era of Atlantic trade. It reports on excavations at the John Reeder foundry site in St Thomas, Jamaica. The transfer of African technologies to the Caribbean reveals the plantation economy's dependence on African technical expertise, not merely slave labour. The comprehensive focus on the Atlantic world also informs archaeological investigations of African-European interaction in West Central Africa. The complexity of Atlantic technological history is characterized by a diverse range of dynamic interactions, rather than the inevitable decline of Africanderived systems. Only by identifying processes as well as products of African technological interaction will it be possible fully to reconstruct the forging of the African past.
Résumé Cet article examine l'histoire de la métallurgie africaine à l'ère du commerce atlantique. Il rend compte des excavations au site de la fonderie John Reeder, à St Thomas, en Jamaïque. Le transfert des technologies africaines aux Antilles révèle à quel point l'économie de plantation dépendait de l'expertise technique africaine, et pas seulement de l'esclavage. L'accent placé sur le monde atlantique inspire aussi les recherches archéologiques sur l'interaction afro-européenne à l'ouest de l'Afrique centrale. La complexité de l'histoire technologique atlantique est caractérisée par une gamme diverse d'interactions dynamiques, plutôt que par l'inévitable déclin des systèmes africains dérivés. Ce n'est qu'en identifiant les processus aussi bien que les produits de l'interaction technologique africaine qu'il sera possible de reconstruire complètement l'élaboration du passé africain.
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4.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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5.
After a brief survey of the development of archaeology in Mozambique, the results of the archaeological survey programme of 1976–1983 are summarized by region. Work currently in progress is evaluated in the light of archaeological and national priorities and the paper concludes with a discussion of the theoretical approach best suited to Mozambican conditions.
Résumé Suivant une brève étude de l'avancement de l'archéologie dans le Mozambique, les résultats du programme de reconnaissances archéologiques de 1976–1983 sont résumés par région. Les travaux actuellement en cours sont evalués à la lumière des priorités nationales et archéologiques et l'article se conclut avec une discussion sur la meilleure approche théorique convenant aux conditions actuelles.
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6.
Despite the antiquity of domestic cattle in the Sahara-Sahel, archaeological evidence from two sub-Saharan regions indicates that the first pastoralist colonization of sub-Saharan Africa may not have proceeded so smoothly as modern appearances suggest. The first appearance of cattle-based economies seems to have been delayed by as much as a thousand years after the first appearance of small stock, in both eastern and southern Africa. This article reviews the relevant archaeological evidence and argues that the lag in successful introduction of cattle stems from new animal diseases encountered by pastoral colonists entering biogeographic zones south of the Sahel. Diseases that are often fatal to cattle, including wildebeest-derived malignant catarrhal fever (WD-MCF), East Coast fever (ECF), foot-and-mouth disease (FMD), and Rift Valley fever (RVF), as well as trypanosomiasis, are described as probable barriers to the early entry of cattle-based economies into these regions.Malgré l'antiquité des animaux domestiques dans le Sahara-Sahel, les données archéologique de deux régions subsahariennes indiquent que les premières colonisations pastoraux des zones au sud du Sahel ne se propagèrent pas aussi promptement que suggèrent les apparences actuelles. En l'Afrique orientale et en l'Afrique du sud, l'apparition d'économies basées sur l'élevage des gros bovins paraît être retardée de quelque mille ans par rapport à l'apparition des petits ruminants domestiques dans ces mêmes régions. L'article recense les données archéologiques pertinentes et propose que le délai de l'introduction effective des gros bovins fût causée par des nouvelles maladies vétérinaires rencontrées par les premiers colonisateurs pastoraux entrant dans les zones biogéographiques au sud du Sahel. Des maladies fréquemment fatales aux gros bovins, telle que le coryza gangreneux, la thèleriose, la fièvre aphteuse, l'arbovirus des Bunyaviridae, aussi bien que la trypanosomiase, sont proposées comme des obstacles probables à la diffusion des économies à gros bovins dans ces régions.  相似文献   

7.
Denmark was one of several European nations which vied for West African trade between the seventeenth and nineteenth centuries. The Danes established more than thirty forts, trading lodges and plantations on the Gold Coast, and they played an important role in the development of African-European relations in the region. Traces of Danish outposts and the results of recent excavations at the Daccubie plantation are briefly surveyed. The available data illustrate the circumscribed nature of African-European interaction on the Gold Coast, providing insight into the context in which culture change occurred within African populations. The archaeological record of European expansion in Africa and elsewhere is used to illustrate the varying nature of European contact.
Résumé Le Danemark était l'une des nombreuses nations européennes qui rivalisaient pour le commerce avec l'Afrique occidentale entre le dix-septième et le dix-neuvième siècles. Les Danois établirent plus de trente forts, comptoirs commerciaux et plantations sur la Côte de l'Or, et jouèrent un rôle important dans le développement des relations afro-européennes dans la région. Des traces de postes coloniaux danois et les résultats d'excavations récentes à la plantation de Daccubie sont brièvement passés en revue. Les données existantes illustrent le caractère limité de l'interaction afro-européenne sur la Côte de l'Or, donnant des indications sur le contexte dans lequel un changement culturel se produisit parmi les populations africaines. Les témoignages archéologiques de l'expansion européenne en Afrique et ailleurs servent à illustrer la nature changeante du contact européen.
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8.
Early archaeological research on the Iron Age of Uganda focused upon earthworks, such as Bigo, with the purpose of validating historians interpretations of oral traditions. Recent research has continued the emphasis upon large sites but with archaeological interpretation given precedence over historical reconstructions. This paper discusses archaeological surveys undertaken in western Uganda in 1991 with the aim of examining Iron Age settlement patterns from a regional perspective, in which the large sites form only one element. Pottery analyses permit the establishment of a tentative chronology, which in combination with data on site sizes facilitates a new perspective on state formation in the region. The proposed model of the development of social complexity is compatible with revisionist interpretations of the historical evidence. Together, they suggest that the Nyoro state emerged after several centuries characterised by competing and often unstable small polities or chiefdoms.
Résumé Les premières études archéologiques sur l'Age de fer en Ouganda se sont concentrées sur les fortifications en terre, comme Bigo, l'objectif étant de valider les interprétations de traditions orales par les historiens. Les recherches récentes ont continué à mettre l'accent sur les sites les plus étendus, mais les interprétations archéologiques passent avant les reconstructions historiques. Cet article discute les études archéologiques entreprises en Ouganda occidental en 1991, l'objectif étant d'étudier les schémas de peuplement de l'Age de fer selon une perspective régionale, selon laquelle les sites étendus ne constituaient qu'un des éléments. L'analyse de la poterie permet d'établir une tentative de chronologie qui, avec les données sur les dimensions des sites, facilite l'élaboration d'une nouvelle perspective sur la formation de l'Etat dans cette région. Le modèle proposé de développement de la complexité sociale est compatible avec des interprétations révisionnistes des faits historiques. Ensemble, ils suggèrent que l'Etat de Nyoro est apparu au bout de plusieurs siècles, caractérisés par des petits régimes politiques ou chefferies, souvent instables et se faisant concurrence.
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9.
Most ethno-archaeological research involves the study of single communities over short time periods. As archaeology endeavors to appreciate the processes of change over extended periods of time it is important to obtain insights into the dynamics of past communities by studying comparable communities over periods long enough to delineate significant changes in site formation, uses of material culture and reactions to environmental, economic, and political stimuli. The study of the Ghanaian village of Hani, the successor community to the medieval town of Begho (ca. AD 1100–1800), is unique in that it provides a continuous study of a community over 28 years, during which time the village has been mapped on seven occasions, agricultural practices and collecting activities studied at different seasons, the changing material culture of the village recorded and the attitudes and reactions to environmental, economic, and political changes monitored through a continuous series of questionnaires. Conclusions are drawn as to the effect of these changes and archaeological implications evaluated.La plupart des études ethno-archéologiques sont basées sur des communautés uniques durant des périodes courtes. Etant donné que l'archéologie apprécie de plus en plus le processus de changement à long terme, c'est très important de connaître le fonctionnement des anciennes communautés en étudiants des communautés comparables durant des longues périodes pour pouvoir démarquer des changements pertinents; notamment dans le domaine de la formation des sites, l'utilisation de la culture matérielle, des réactions á l'environnement, et l'impact politique. L'étude du village ghanéen de Hani, successeur de l'ancienne ville médiévale de Begho (ca. AD 1100–1800) est unique parce que c'est le résultat d'une étude progressive de plus de 28 ans. Pendant cette période, la carte de la ville a été tracée sept fois, les activités d'agriculture et de collecte ont été étudiées pendant les saisons différents, et les changements de la culture matérielle ont été enregistrées. Les attitudes et réactions aux changements d'environnement, ainsi que les changements politiques et économiques, ont été documentés à l'aide d'une série continue des questionnaires. Des conclusions ont été tirées sur les effets de ces changements et les implications archéologiques sont évaluées.  相似文献   

10.
East Africa, the region where Merrick Posnansky started his professional career, has long been accepted as the major centre for the study of the origins of hominids and their technological systems. Recently, human geneticists and some palaeoanthropologists have also proposed an African origin for anatomically modern humans (Homo sapiens sapiens), although much of the proof cited is from non-African sources — mainly Europe and the Middle East. Fortunately these models have stimulated reassessment of the sub-Saharan Middle Stone Age (MSA), the archaeological phase between 200,000 and 30,000 years ago which represents the beginnings of regional variation in technology and cultural adaptation as well as the period in which modern humans appeared. Long ignored by East African archaeologists in favour of the earliest cultural record, or, at the other extreme, Neolithic and Iron Age research, the MSA is critical to the evaluation of models of the emergence of our own species. This paper reviews the current arguments concerning the origin and dispersal of modern humans, and the importance of the MSA for the resolution of the problem. It also describes the results from a 1990 survey for MSA sites conducted in southwestern Tanzania within the framework of these current models.
Résumé L'Afrique orientale, où Merrick Posnansky commença sa carrière professionnelle, est depuis longtemps reconnue comme un centre important pour l'étude des origines des hominides et de leurs systèmes technologiques. Récemment, des généticiens et des paléoanthropologues ont aussi suggéré que les humains anatomiquement modernes (Homo sapiens sapiens) auraient des origines africaines, bien qu'un grand nombre des preuves citées proviennent de sources non-africaines, principalement d'Europe et du Moyen-Orient. Heureusement, ces modèles ont encouragé la réévaluation de l'âge de pierre moyen (MSA) sous-saharien, phase archéologique d'il y a 200.000 à 30.000 ans, qui représente les débuts des variations régionales sur le plan de la technologie et de l'adaptation culturelle. C'est aussi la période durant laquelle les étres humains modernes sont apparus. Longtemps ignoré par les archéologues d'Afrique orientale en faveur de témoignages cultures plus anciens ou, à l'autre extrême, des recherches de l'âge néolithique et de l'âge de fer, le MSA est crucial pour l'évaluation de modèles d'émergence de notre propre espèce. Cet article examine les arguments actuels concernant l'origine et la dispersion des humains modernes, et l'importance du MSA pour la résolution de ce problème. Il décrit également les résultats d'une recherche de sites MSA menée en 1990 dans le sud-ouest tanzanien, dans le cadre de ces modèles actuels.
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11.
The recent archaeological campaign (regional site survey and excavations at the mound complex of Akumbu) has demonstrated that the Méma, a dry Sahelian region with a scattered population, was intensively occupied during the Iron Age. This intense occupation, certainly associated with better environmental conditions, extends back to the Late Stone Age. During the regional survey more than 100 Iron Age sites and nearly 30 Late Stone Age sites were identified; their size, surface material and features, and location on geomorphological zones were recorded. A series of radiocarbon dates spanning the fourth to fourteenth centuries ad obtained from the excavations at the Iron Age mound complex of Akumbu and a preliminary analysis of the pottery from both the excavations and the survey permitted the determination of a broad chronology of occupation. Numerous slag heaps (associated with smelting furnace remains) found during the survey and imported goods uncovered during the excavations at Akumbu indicate that both iron production and long-distance trade played an important role in the Méma economy.
Résumé Une campagne archéologique (reconnaissance et fouilles) exécutée en 1989–1990 a montré que le Méma, une région sahelienne de grande sécheresse à population actuellement éparse, était intensément peuplé pendant la période de l'Age du Fer. Cette intense occupation, certainement liée à de meilleures conditions climatiques, semble remonter à la période du néolithique. Au cours de la reconnaissance, conduite à l'échelle régionale, plus d'une centaine de sites datant de l'Age du Fer et environ une trentaine de sites néolithiques furent identifiés, enregistrés et décrits en termes de leurs dimensions, matériels et caractéristiques de surface, et environnement. Une série de datations au radiocarbone, obtenue lors de la fouille sur le complexe de buttes d'habitat de Akumbu, dans la partie ouest du Méma, indique une occupation s'étendant du quatrième siècle au quatorzième siècle de notre ère. La découverte d'imposants amas de scories, associés à des restes de hauts fourneaux, et objets exotiques trouvés lors des fouilles à Akumbu, attestent que la production de fer et le commerce à longue distance jouaient tous les deux un important rôle dans l'économie du Méma.
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12.
This article briefly examines the consequences of the European presence on the Gold Coast, focusing on archaeological, ethnographic, and historical data from the African settlement of Elmina, Ghana. Documentary sources indicate that there was extensive change in sociopolitical institutions, economic relations, and other aspects of Gold Coast society in the centuries following the advent of European trade in the late fifteenth century. Archaeological survey and excavation of some 30 structures at Elmina similarly indicates a great deal of change in construction technology and material culture during the post-European contact period. However, examination of artefact patterning and associations indicates that in certain respects there was little change in terms of people's shared world view and belief systems. This picture can be contrasted with data from sites in other areas which may have experienced a great deal of culture change during the post-European contact period.
Résumé Cet article examine brièvement les conséquences de la présence européenne sur la Côte de l'Or, se penchant plus particulièrement sur les données archéologiques, ethnographiques et historiques du site d'Elmina au Ghana. Les sources documentaries indiquent qu'un changement de grande envergure affectant les institutions socio-politiques, les relations économiques et d'autres aspects de la société de la Côte de l'Or pris place durant les siècles suivant l'arrivée du commerce européen à la fin du quinzième siècle. Un survey archéologique et les fouilles d'environ 30 structures à Elmina, indiquent aussi qu'un changement étendu des techniques de construction et de la culture matérielle s'effectue après la période de contact européen. Toutefois, l'étude de la distribution et des associations des objets, indique que le système de croyance et l'idée du monde partagée par cette société furent peu affectés.Cette image peut être comparée avec les données obtenues sur d'autres sites ayant fait l'expérience d'un changement culturel important pendant la période postérieure aux contacts européens.
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13.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

14.
The 67-ha site of Sincu Bara was discovered and extensively excavated in the 1970s. Three primary aspects of its archaeological interest were its vast size, its location in the Middle Senegal Valley, where some of the earliest regional polities in West Africa arose, and the extensive and diverse assortment of copper-based metal artifacts it produced. Deposits with brass appeared to be associated with radiocarbon dates as early as the fifth century AD. It appeared that most of the deposits related to a single, long-lasting occupation by people who arrived with sophisticated copper-based metallurgy in the fifth century and remained at least until the eleventh century, without discernible modification in their material culture. Results of new excavations in 1991–1992 indicate that this interpretation must be substantially modified, since considerable change in material culture, including the introduction of copper-based metals between AD 800 and AD 900, has now been documented. This article summarizes the data from these new excavations and suggests that earlier interpretations were based largely on material from disturbed, severely mixed deposits, which gave a false picture of homogeneity through time.Les soixante sept héctares constituant le gisement du Sincu Bara étaient découverts et fouillés dans les années soixante dix. Son intérêt archéologique est lié aux trois aspects: sa grande superficie, sa location dans la vallée moyenne du Sénégal où les premières unités politiques de l'Afrique de l'Ouest existaient, et finalement, la diversité des objets métalliques en cuivre que le site a livrée. Il apparaît que la plupart des dépôts appartient à une seule occupation de longue durée par un peuple qui est arrivé pendant la cinquième siécle AD, en possession de la connaissance de métallurgie à base de cuivre et qui montrait au moins jusqu'au onzième siécle peu de modification dans leur culture materielle. Les résultats des fouilles de 1991–1992 montrent que cette interpretation doit être modifiée, car il y a eu du changement considérable dans le matèriel, comme l'introduction des métaux à base de cuivre entre AD 800–900. Dans cet article, nous avons résumé les résultats des nouvelles fouilles et nous suggérons que les anciennes interpretations ont été largement fondées sur du matériel perturbé, des dépôts mixtes qui donnaient une image fausse de l'homogenité pendant cette période.  相似文献   

15.
Recent investigations of three archaeological sites in the Nigerian part of the Chad Basin during the Holocene reveal key stages in the cultural development and environmental history of that region. At Dufuna, a dugout boat was dated to around 6000 BC, making it the oldest known boat in Africa and one of the oldest in the world. Boats may thus have contributed to the mobility of the population of the southern edge of the Sahara 8000 years ago and, thereby, to the cultural homogeneity of this period. The pottery site at Konduga is around a thousand years younger than Dufuna but still belongs to the time of Mega-Chad. The site is on the Bama Ridge, an old shoreline. Its pottery, decorated in the Saharan tradition, belongs to the earliest ceramic phase of the West African Later Stone Age, long before the beginnings of food production. Although this site was probably settled by pioneers advancing into a largely flooded landscape along the slightly raised shoreline, the human occupation of the area previously covered by Mega-Chad began along a broad front around 2000 BC. Archaeological and palaeoecological finds from two settlement mounds at Gajiganna are described as case studies for this phase, which predates the well-known site of Daima.
Résumé Les résultats présentés proviennent de recherches récentes sur trois sites archéologiques, dont chacun représente un épisode clé du développement culturel et de l'histoire environnementale du Bassin nigérian du Tchad au cours de l'Holocène. A Dufuna, la découverte d'une pirogue monoxyle, datée d'environ 6000 ans BC, constitue le témoignage le plus ancien d'une embarcation en Afrique et l'un des plus ancien dans le monde. Ce moyen de transport indique la mobilité des populations de la marge sud du Sahara à l'Holocène inférieur et moyen; ce qui a dû contribuer à l'homogénéité culturelle de cette période. Le site à poterie de Konduga est le plus jeune d'un millénaire que Dufuna, mais appartient à l'époque du Méga-Tchad. Le site est installé sur une ancienne ligne de rivage, la Bama Ridge. Sa poterie, décorée selon la tradition saharienne, appartient à la plus ancienne phase à céramique du Later Stone Age ouest-africain, bien avant le début d'une production alimentaire. Vu que ce site ne devait étre occupé que par des pionniers aventurés dans un paysage largement amphibie à la faveur d'un mince cordon émergé, la colonisation de l'espace antérieurement couvert par le Méga-Tchad, débute le long d'un large front vers 2000 ans BC.Les trouvailles archéologiques et paléoécologiques de deux tertres anthropiques à Gajiganna sont décrites commes études de cas illustrant cette phase, qui précède celle du célèbre site de Daima.
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The future of African archaeology has recently been a major focus of attention by African archaeologists. This article looks at anticipated major advances, and at the expectations and desires of young African archaeologists in the advancement of the discipline. The major constraints to research are identified and solutions to these problems are suggested.
Résumé Le futur de l'archéologie africaine est devenu récemment un sujet de préoccupation majeur pour les archéologues africains. Cet article passe en revue les progrès principaux que l'on peut en attendre ainsi que les espoirs et les souhaits des jeunes archéologues africains en ce qui concerne le développement de la discipline. Les principales contraintes affectant la recherche sont identifiées et des solutions sont proposées à ces problèmes.
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Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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Systematic surveys and excavations were carried out during the 1990–1996 field seasons in the Tadrart Acacus and surrounding areas, shedding new light on the climatic changes and cultural dynamics which occurred during the Holocene. In this paper, the geological, geomorphological, and archaeological evidence is assembled in order to provide a preliminary synthesis on the prehistory of the area. Pendant les saisons de terrain du 1990 au 1996, des récognitions et fouilles systématiques ont été conduites dans le Tadrart Acacus et dans les zones circonvoisines; ces études ont donne des nouvelles information en ce qui concerne les changements climatiques et les dynamiques culturelles de cette région pendant l'Holocène. Dans ce papier, les évidences géologiques, géomorphologiques, et archéologiques ont été intégrées afin d'obtenir une synthèse préliminaire sur la préhistoire de la région.  相似文献   

19.
Résumé Isenya est le premier site acheuléen fouillé sur les hauts plateaux du Kenya. Sa richesse en vestiges lithiques et fauniques en fait dès maintenant un gisement important pour la connaissance des hominidés du Pléistocène moyen. Isenya est inclus dans un contexte sédimentaire fluviatile, indiquant que les hommes préhistoriques se sont installés sur une barre sableuse, le long d'une rivière qui était alors peut-être pérenne. La convergence des informations géologiques et archéologiques permet d'expliquer la mise en place des vestiges, la positionin situ de plusieurs niveaux d'occupation superposés, le faible degré de perturbation qu'ils ont subi, et l'origine essentiellement anthropique des associations os/pierres. L'industrie lithique est caractérisée par une grande abondance de bifaces et de hachereaux dont les proportions varient dans le temps. Une première analyse de l'ensemble apporte d'ores et déjà des indications sur les comportements techniques: les chaînes opératoires sont décryptées, depuis l'acquisition des matériaux jusqu'à l'obtention des outils. La faune associée à cet outillage est dominée par des animaux de savane ouverte (Alcelaphini etAntilopini). Son étude détaillée mettra en évidence les stratégies d'acquisition du gibier et son mode de consommation. Attirés, entre autres raisons, par la proximité de l'eau et des affleurements de phonolite, source principale de matière première pour l'outillage, les hominidés ont occupé cet enfroit de façon répétée dans un court laps de temps, selon une périodicité à rapprocher sans doute des comportements de subsistance.
Isenya is the first Acheulian site excavated in the Eastern Highlands of Kenya. Very rich lithic and faunal remains in a fluviatile sedimentary context indicate hominid activity on a sandy bar next to a river, which was perhaps perennial. Microstratigraphy and archaeological data permit reconstruction of the processes by which the remains were deposited. Severalin situ occupation layers show only a slight degree of perturbation. The bone assemblage is of anthropic origin, and the lithic industry is characterized by an abundance of bifacial pieces, level VI being particularly rich in cleavers. From the analysis of the lithic industry we can obtain some idea of hominid technological behaviour, most notably the operational chains of tool production from the procurement of raw materials to the knapping sequences. The fauna associated with the lithic materials is dominated by animals of the open savanna (Alcelaphini andAntilopini); and its detailed study will allow us to specify the strategies used in the procurement of game and its subsequent consumption. Without doubt, the reasons for hominid occupation at this particular site will be impossible to explain fully. However, choice of this location, where evidence for several different activities has been uncovered, should be considered in terms of the proximity both of water and of outcrops of phonolite, the principal raw material for tool-making. Repeated occupation by hominids over a short time may, perhaps, correspond to the periodicity of their subsistence behaviour.
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20.
The Swahili people have been viewed as of Persian/Arabic or Cushitic-speaking origin. Scholars have used historical and archaeological data to support this hypothesis. However, linguistic and recent archaeological data suggest that the Swahili culture had its origin in the early first centuries AD. It was the early farming people who settled on the coast in the last centuries BC who first adopted iron technology and sailing techniques and founded the coastal settlements. The culture of the iron-using people spread to the rest of the coast of East Africa, its center changing from one place to another. Involvement in transoceanic trade from the early centuries AD contributed to the prosperity of the coastal communities as evidenced by coastal monuments. More than 1500 years of cultural continuity was offset by the arrival of European and Arab colonizers in the seventeenth and nineteenth centuries AD. Le peuple Swahili a souvent été consideré comme un peuple dont la langue avait pour origine le Perse/Arabe ou le Cushite. Les chercheurs ont utilisé des donées historiques et archéologiques afin de supporter cette hypothese. Cependant l'étude linguistique de cette langue, ainsi que de nouvelles découvertes archéologiques suggérent que la culture Swahili trouve son origine au début de l'ère chrétienne. Ils furent les premiers fermiers à s'installer le long du littoral, fondant des villages côtiers, vers les premiers siécles de notre ère, les premiers aussi à adopter les techniques du fer et les techniques de navigation. La culture du fer s'étendit rapidement au reste des côtes d'Afrique de l'Est, son centre se déplaçant d'un endroit à un autre. Leur implication dans le commerce océanique contrbua à la prosperité de leur communautés côtières, mise en évidence notamment par les monuments le long du littoral. Plus de 1500 ans de continuité culturelle pris fin à l'arrivé des colonisateurs Européens et Arabes de dixseptième et dixhuitième siècles.  相似文献   

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