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1.
Circular concentrations of stone fragments or pebbles occur widely in the Sahara, mostly on the great alluvial plains or along the foot of the escarpments. They are interpreted as fireplaces, but associated archaeological remains are usually scarce. More than 50 radiocarbon dates indicated that these features are of neolithic age, ranging fromca 9000 toca 3500 bp, with a maximum occurrence at 5800–5000 bp. In some regions they are extremely rare, elsewhere their density may exceed 30 per square kilometre. There are several reasons for attributing these fireplaces to neolithic cattle herders.
Résumé Il y a de nombreuses concentrations circulaires de fragments de pierre ou de galets au Sahara; ils se trouvent surtout dans les grandes plaines alluviales, ou le long du pied des escarpements. On les interprète comme des foyers, mais d'habitude on n'y trouve que très peu de restes archéologiques qui y sont associés. Plus de 50 datations au radiocarbone ont indiqué que ces sites datent du Néolithique, s'échelonnant deca 9000 àca 3500 bp, avec une forte concentration entre 5800 et 5000 bp. Dans certaines régions ces sites sont très rares, tandis qu'ailleurs leur densité peut être supérieure à 30 par kilomètre carré. Pour plusieurs raisons on attribue ces foyers à des pasteurs des boeufs du Néolithique.
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2.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

3.
Prehistoric images are particularly versatile and difficult to grasp. In a few cases of historical continuity, local cultural glosses provide researchers with a rich corpus of data and help in the interpretation of the imagery. Such approaches contribute to the interpretation of the material in a frozen time perspective. Their impact on the development of archaeological methodologies enabling researchers to deal with strictly prehistoric image making traditions without any known descendant communities remains to be felt. This paper is an attempt to develop a subtle and robust archaeological methodology for the study of prehistoric images. The suggested approaches are replicable, and conclusions are falsifiable.Les images préhistoriques sont particulièrement versatiles, et leur sens difficile à cerner en raison de leur polysémie. Dans une poignée de cas, là ou il y a continuité historique, les chercheurs ont reussi à constituer une riche documentation sur les pratiques culturelles liées à l'utilisation des images. Ils/elles parviennent ainsi à des niveaux d'interpretation très detaillée, dans une conception paradoxalement réifiée des sociétés en question, conservant des pratiques culturelles inchangées pendant des millénaires. L'impact de telles approches sur l'élaboration de bonnes méthodes archéologique est négligeable. Dans la plupart des cas, les images et les vestiges matériels sont le uniques témoins des sociétés préhistoriques étudiées. Cet article s'efforce de developper des méthodes, à la fois subtiles et robustes, permettant une analyse systématique des images préhistoriques. Les méthodes proposées sont réplicables, et les conclusions refutables.  相似文献   

4.
The technology of the end products i.e. blades and points in Late Pleistocene stone artefact assemblages from Klasies River, South Africa, and the Nile Valley, Egypt, are compared. The comparison includes univariate and multivariate analysis of metrical attributes enhanced by graphical biplot displays. The end products in these assemblages are either dominantly points or blades and this is related to the core reduction strategy adopted. The MSA 11 from Klasies River and the Nubian Complex industry from the Nile Valley are point industries made in the Levallois tradition, while the MSA 1 from Klasies River and the Taramsan from the Nile Valley may be non-Levallois or adapted Levallois blade industries. Dating of the assemblages shows the changes between dominant core reduction strategies are sequential and time restricted in both South and North Africa. It is concluded that variability of the same kind occurs in Middle Stone Age and Middle Palaeolithic assemblages south and north of the Sahara in the early Late Pleistocene.Dans cet article, les technologies des produits recherchés, des lames et des pointes, pour certains ensembles lithiques de Klasies River, Afrique du Sud et la Vallée du Nil, Egypte, sont comparées. Cette comparaison implique des analyses univariées et multivariées de variables métriques biplot. Les produits recherchés sont bien des pointes que des lames, selon les stratégies dexploitation adoptées. Le MSA II de Klasies River et le Complexe nubien de la Vallée du Nil sont des industries à pointes issues de la tradition Levallois. Par contre, le MSA I de Klasies River et le Taramsien de la Vallée du Nil évoquent une technologie de production non-Levallois ou Levallois modifiée. Les éléments de datation disponibles indiquent que les changements dans la prépondérance des stratégies dexploitation senchaînent dans une séquence chronologique bien identifiable, aussibien dans lAfrique du Sud que lAfrique du Nord. On arrive à la conclusion quune variabilité du même caractère est attestée dans les ensembles du Middle Stone Age et du Paléolithique moyen au sud et au nord du Sahara, pendant le Pléistocène supérieur ancien.  相似文献   

5.
The dominating paradigm of urbanism in West Africa is steadily shifting from the city-centric to the dynamic consideration of the city's function within a wider settlement hierarchy. The authors appraise these theoretical positions and discuss the methodologies appropriate to each. Following the thematic framework developed in the theory and method sections, we then consider what research at the major early town sites has to date revealed about the chronology, course, and circumstances of urbanism in West Africa. Data available from the several sites considered is highly uneven. Analysis, even when quality data are available, has in some cases been hindered by a limiting theoretical approach. Although urban investigations in West Africa are only in their infancy, it is clear that cities are but one of several institutions indicating the early, indigenous emergence of hierarchically-ordered societies. With the recent demonstration that at least some West African towns represent indigenous processes of urbanization, the comparative study of factors contributing to urban growth and alternative urban paths becomes imperative.
Résumé Le paradigme dominant de l'urbanisme en Afrique de l'ouest change progressivement de l'aspect cité-centrique à la considération dynamique de la ville au sein d'une hiérarchie d'établissement plus vaste. Les auteurs évaluent ces positions théoriques et discutent des méthodologies appropriées à chacune. Suivant le cadre thématique élaboré dans les sections sur la théorie et la méthode, ils considèrent ensuite ce que la recherche dans les sites urbains primitifs principaux a révélé jusqu'à présent quant à la chronologie, le développement et les circonstances de l'urbanisme dans l'Afrique de l'ouest. Les données provenant des nombreux sites considérés sont très inégales. Même lorsque des données de qualité furent disponibles, l'analyse fut dans certains cas entravée par les limites imposées par l'approche théorique. Bien que les investigations urbaines en Afrique de l'ouest n'en sont qu'à leurs débuts, il est évident que les villes ne sont que l'une des nombreuses institutions signalant l'apparition indigène précoce de sociétés à ordre hiérarchique. Sachant maintenant qu'au moins certaines villes de l'Afrique de l'ouest représentent des processus indigènes d'urbanisation, il est maintenant impératif que soit effectuée l'étude comparative des facteurs contribuant à la croissance urbaine et aux diverses voies conduisant à l'urbanisation.
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6.
This paper provides a preliminary account of archaeological research on sites of early pottery-using people in the coastal region of the Congo Republic. The results obtained are compared with observations from Botswana and used to amplify archaeological and lingustic data relevant to the transformations in social and productive forces that occurred across the western part of sub-equatorial Africa during the period when food production, metallurgy and long-distance trade were established. Particular attention is paid to evidence for developing economic and social relations between indigenous foragers and immigrant food producers.
Résumé Cet article offre les premiers résultats de recherches sur des sites qui emontent du début de l'utilisation de la potiere par des populations habitant la zone côtière de la République du Congo. Les résultats obtenus sont comparés avec des découvertes au Botswana pour developer les données archéologiques et linguistiques se rapportant à la transformation des forces sociales et productives qui se produisent à travers la partie occidentale de l'Afrique subéquatoriale durant la période où apparutent la production de nourrieture, la métallurgie et le commerce à longue distance. L'article s'attache plus particulièrement aux témoins du dévelopment de relations économiques et socials entre les indigènes, pcheurs/chasseurs, et les populations immigrantes de producteurs de nourriture.
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7.
The external connections of Igbo-Ukwu, in the forest belt of south-eastern Nigeria, around the ninth century AD, are demonstrated by the large numbers of glass beads, apparently of Egyptian manufacture, and are implicit in the rich collection of bronze artwork that lacks known prototypes. Although the metals were mined locally, the labor and the expert alloying and casting of numerous ritual or ornamental objects indicate an accumulation of wealth derived from distant trade of special commodities. The identification of these commodities, however, and the routes by which they—and in the reverse direction the beads—would have traveled, remain unsatisfactorily resolved. A preference is repeated here for an eastern Sahelian routing from Lake Chad to the Middle Nile kingdoms (Alwa and Makuria/Dongola), then at their height, thus avoiding the Sahara. The alternative direction suggested recently (Insoll, T., and Shaw, T. (1997) Gao and Igbo-Ukwu: Beads, interregional trade and beyond. African Archaeological Review, 14:9–23), through Gao on the Niger bend and across the west-central Sahara, seems less likely on grounds of geography and chronology. The essential items of merchandise deriving from Igbo-Ukwu are unlikely to be those commonly assumed for sub-Saharan Africa, notably ivory and slaves, but would have been more local and precious, presumably metals. The bronzes stored and buried at Igbo-Ukwu might be regarded as by-products of this export activity. Demands in the Nile Valley for tin (for bronze alloying) and for silver, both of which occur in the ores exploited, deserve consideration. A call is made for comparative study of metals and their uses between the Middle Nile and West Africa in the first millennium AD—a neglected subject owing to the intellectual gulf that persists between Africanists and Egyptologists.Les contacts extérieurs d'Igbo-Ukwu, dans la région forestière du sud-est du Nigéria, vers le 9e siècle après J. C., sont indiqués par les très nombreuses perles de verre, apparemment de fabrication Égyptienne. Ils sont aussi suggérés par un ensemble remarquable d'objects en bronze dont on ne connaît aucun prototype. Bien que les métaux proviennent de la région, le travail, et aussi l'alliage et la fonte très spécialisés de nombreux objects rituels ou décoratifs, indiquent une accumulation de richesse résultant du commerce à longues distances de produits recherchés. Pourtant, l'identification de ceux-ci, et les itinéraires pour leur transport—et, en sens inverse, ceux des perles—restent hypothétique. Nous réiterons une préférence pour une route est-Sahelien, de Lac Tchad jusqu'aux royaumes du Nil Moyen (Alwa et Makouria/Dongola), à leur apogée à cette époque, et donc évitant le Sahara. L'autre direction, proposée récemment (dans cette revue par Insoll et Shaw), via Gao sur la boucle du Niger et à travers le Sahara ouest-central, semble moins probable pour les raisons géographiques et chronologiques. Les objets principaux de ce commerce qui provenaient d'Igbo-Ukwu ne seraient pas ceux qui sont normalement imaginés pour l'Afrique Sub-saharienne, notamment l'ivoire et les esclaves; ce seraient des produits plus locaux et précieux, vraisemblablement des métaux. Les bronzes enterrés à Igbo-Ukwu pourraient être les sous-produits de cette activité destinée à l'exportation. La demande dans la vallée du Nil pour l'étain (pour l'alliage du bronze) et pour l'argent, qui existent tous les deux dans les minerais du sud-est du Nigéria, mérite considération. Il faut qu'on fasse des recherches comparatives sur les métaux et leurs emplois entre le Nil Moyen et l'Afrique de l'Ouest durant le premier millénaire après J. C.—un sujet négligé à cause du fossé intellectuel qui persiste entre les études Africanistes et Égyptologiques.  相似文献   

8.
Examination of African barbed bone points recovered from Holocene sites provides a context to interpret three Late Pleistocene occurrences from Katanda and Ishango, Zaire, and White Paintings Shelter, Botswana. In sites dated to ca. 10,000 BP and younger, such artifacts are found widely distributed across the Sahara Desert, the Sahel, the Nile, and the East African Lakes. They are present in both ceramic and aceramic contexts, sometimes associated with domesticates. The almost-universal presence of fish remains indicates a subsistence adaptation which incorporates a riverine/lacustrine component. Typologically these points exhibit sufficient similarity in form and method of manufacture to be subsumed within a single African tradition. They are absent at Fayum, where a distinct Natufian form occurs. Specimens dating to ca. 20,000 BP at Ishango, possibly a similar age at White Paintings Shelter, and up to 90,000 BP at Katanda clearly fall within this same African tradition and thus indicate a very long-term continuity which crosses traditionally conceived sub-Saharan cultural boundaries. L'étude des pointes barbelées en os del' Holocène africaine fournit un contexte à l'interprétation de trois gisements du Pleistocene superieure, notamment, Katanda et Ishango (en République Démocratique du Congo, ex-Zaire), et White Paintings Shelter au Botswana. Cettes pointes ont une distribution étendue à travers le Sahara, le Sahel, le Nil et les grands lacs du rift d'Afrique orientale, notamment sur certains sites datant de 10,000 ans avant notre ère. Ces pointes sont associées avec des types d'industries céramiques ou acéramiques, avec ou sans squelettes de faune domestiques, mais toujours avec des squelettes de poisson, indiquent une subsistence comportant des ressources lacustres ou riveraines. Sur le plan typologique, cettes pointes présentent une telle ressemblance, soit de forme, soit de manufacture, qu'elles constituent une tradition unique africaine. Au Fayum en Egypte, les formes des pointes rappellent, par contre, plutôt les series Natufiennes du Levant. Les pointes barbelées d'Ishango, datant de 20,000 ans environ, celles de White Paintings Shelter, datant probablement de la même époque, et celles de Katanda datant au maximum de 90,000 ans BP, appartiennent à la même tradition africaine, ce qu montre ainsi l'existence d'une continuité de très longue durée àtravers les frontières culturelles traditionelles.  相似文献   

9.
The two type-sites of the Khartoum Mesolithic and Khartoum Neolithic (Khartoum Hospital and Shaheinab), in Central Sudan, were excavated at the end of the 1950s. The ceramics recovered from these sites, characterized by wavy line and dotted wavy line decoration, formed a cornerstone for identifying Mesolithic–Neolithic components along the Central Nile and across the Sahara-Sahel Belt. Moreover, they formed a model for an evolutionary sequence, and suggested a level of cultural uniformity for the Nilo-Sahara-Sahel Belt from the eighth to the fourth millennia BC. This paper examines these and other related issues.L'hôpital de Khartoum et Shaheinab, qui se situe au centre du Soudan, sont les deux sites archéologiques principaux de la civilisation mésolithique et néolithique. Ces deux sites furent découverts et excavés au cours des années 1950s. Les céramiques découvertes dans ces deux sites se caractérisent par leurs lignes continues et ondoyantes, et d'autres ondoyantes mais discontinues. Ces céramiques représentent la pierre angulaire pour les caractéristiques de la période mésolithiqueet néolithique dans le centre de la vallée du Nile et á travers la zone du Sahara-Sahel. De plus, elles ont constitué un modèle pour l'évolution et ont suggéré une certaine uniformité culturelle entre la vallée du Nile, le Sahara et le Sahel de huitième au quatrième millénaires avant J.-C. Cette recherche traite donc de ces points et d'autres aspects s'y rapportant.  相似文献   

10.
At Dakhleh Oasis in south-central Egypt, a group of Epipalaeolithic or Masara sites featuring stone-built structures suggests a degree of sedentism that was unusual for the Eastern Sahara in early Holocene times. The paper investigates this apparent increased sedentism by focusing on the organization of lithic technology within the three Masara units defined in the oasis, including that with which the stone structures are associated. Information on three aspects of technological organization — the acquisition of raw material, core reduction sequences, and the portability of the resulting toolkits — when combined with evidence on other artifact categories and on site features and locations, points to a dramatic dichotomy within the Masara between small, highly mobile groups that ranged far beyond the oasis (Masara A), and a more sedentary element (Masara C), consisting of groups confined for at least part of the year to a particularly favoured locale in south-eastern Dakhleh.
Résumé A l'oasis de Dakhleh, en Egypte Sud-Centrale, un groupe de sites Epipaléolithiques ou Masara a livré des structures en pierre qui suggèrent un degré de sédentarisation peu courant pour l'Est du Sahara au début de l'Holocène. Cet article étudie l'accroissement apparent de la sédentarisation en se concentrant sur l'organisation de la technologie lithique au sein des trois unités Masara définies dans l'oasis, y compris celle associée aux cercles de pierre. L'acquisition de la matière première, les séquences de réduction des nucleus, et le transport des outils qui en résultent sont des informations sur trois aspects de l'organisation technologique qui une fois combinées avec les données obtenues à partir d'autres catégories d'artefacts lithiques, de la configuration et de la situation du site, mettent en évidence une dichotomie très claire au sein du Masara entre des groupes petits et très mobiles qui se déplacaient bien au delà du périmeètre de l'oasis (Masara A) et un elément beaucoup plus sédentaire (Masara C) consistant en des groupes confinés pour au moins une partie de l'année dans un site particulièrement apprécié de la partie sud-est de Dakhleh.
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11.
Recent research at the remote depression of Bir Tarfawi, in the hyperarid Eastern Sahara, has revealed a sequence of four, or possibly five, Pleistocene lake-episodes. The first lake was probably associated with a Late Acheulean and the remaining four with a Middle Palaeolithic, specifically with a Denticulate Aterian, industry. Lithostratigraphic, macrofaunal and microfaunal analyses have permitted a quite detailed reconstruction of the local environment during the periods of the last two lakes; during the period of the fourth lake, local rainfall may have beenca 600 mm per annum but was rather less during the time of the fifth lake. Investigation of some of the many associated archaeological sites is revealing a complex pattern of specialized site-types, including living-sites, primary and secondary workshops and primary and secondary butchery-sites. Specific types of sites are closely related to the local landscape. Preliminary analyses from several experimental methods of chronometric dating suggest that almost all of the sequence falls within the Middle Pleistocene.
Résumé Des recherches récentes dans la dépression isolée de Bir Tarfawi dans le Sahara oriental hyperaride, ont révélé une séquence de quatre, ou peut être cinq, épisodes lacustres au Pléistocène. Le premier lac est probablement associé à un Acheuléen final, et les quatre autres au Paléolithique moyen, et spécifiquement à une industrie atérienne denticulée. Des analyses de lithostratigraphie, de macrofaune et de microfaune ont permis de reconstruire d'une façon assez détaillée l'environnement local pendant les périodes des deux derniers lacs. Pendant la période du quatrième lac, la pluviosité locale était peut être deca 600 mm par an, mais elle était un peu moindre à lépoque du cinquième lac. Les recherches dans certains des nombreux gisements archéologiques associés nous révèlent un schéma complexe de sites spécialisés, y compris des sites d'habitat, des ateliers primaires et secondaires, et des lieux de dépeçage primaires et secondaires. Certains types de gisement sont étroitement liés au paysage local. Des analyses préliminaires par plusieurs méthodes expérimentales de datation chronométrique suggèrent que presque toute la séquence appartient au Pléistocène moyen.
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12.
Assessment of radiocarbon measurements from the central Sudan provides the following calendrical age estimates:Early Khartoum >7000-ca 5000 BC.Early Neolithic Groupca 4900-4450 BCMiddle Neolithic Groupca 4400-3800 BCLate Neolithic Groupca 3500-2700 BCThese estimates indicate that the early Neolithic settlements in the central Sudan were established at about the same time as those at Merimda Beni Salama in the Nile Delta and the Fayum. The Predynastic sites of Upper Egypt are later in age. The Badarian at Hemamieh is probably coeval with Shaheinab. Available dates on the Badarian are younger than those for some Khartoum Neolithic sites, but the Badarian is poorly dated.
Résumé L'evaluation de datations au radiocarbone du Soudan Central a fourni les âges absolus suivants:Early Khartoum >7000 c. 5000 BCGroupe du Néolithique inférieur c. 4900-4450 BCGroupe du Néolithique moyen c. 4400-3800 BCGroupe du Néolithique supérieur c. 3500-2700 BCCes résultats indiquent que les habitations néolithiques au Soudan Central furent établies à peu près à la même époque que celles à Merimda Beni Salama dans le Delta du Nil et au Fayoum. Les gisements prédynastiques de la Haute Egypte sont plus récents. Le Badarien à Hemamieh est probablement contemporain de Shaheinab. Les datations disponibles pour le Badarien sont plus récentes que celles de certains gisements néolithiques de Khartoum, mais le Badarien est mal daté.
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13.
The site of Lukenya Hill, Kenya, is one of the richest Later Stone Age (LSA) sites in East Africa. Its sequence documents the increasing manufacture of microlithic tools, one of the hallmarks of hunter–gatherer behavioral modernity (Bar-Yosef and Kuhn, 1999). This paper presents results of excavations at the LSA site of GvJm62, Lukenya Hill, and analysis of site formation processes on this inselberg rock shelter. It examines lithic assemblages from GvJm62 and four other Pleistocene-dated LSA sites at Lukenya Hill. Differences in raw material use, typology, and chronology indicate that there are three different kinds of LSA industries in the sampled sites at Lukenya Hill. Changes in technology, activities, and land use patterns can explain the differences among these three industries. The Lukenya Hill sequence is compared with other East African LSA industries.Le gisement de Lukenya Hill en Kenya est un des gisements les plus riches du type Paleolithique Superieure en Afrique de l'Est. La sequence demonstre l'éxistence et ensuite le fréquence des outils microlithiques. Cet article présent les résultats des fouilles du gisement de GvJm62 à Lukenya Hill et présent un étude des methodes de formation du gisement. On examine les outils lithiques de GvJm62 et quatre autres gisements à Lukenya Hill. Les differences des types des matières premiers, de la chronologie, et des types d'outils suggèrent qu'il y a trois types d'industrie à Lukenya Hill. On peut expliquer ces differences par changements en la technologie, les activités et les modèles de l'utilisation de la terre. La séquence à Lukenya Hill est comparée avec les autres industries Est Africain.  相似文献   

14.
Different raw material procurement strategies are attested in the limestone stretch of the Egyptian Nile Valley. Chert cobbles from Nile terraces or from their derived deposits were generally used. Four main procurement strategies have been recognized. During the Middle Palaeolithic intensive surface collecting was the most common strategy. However, open quarrying techniques involving features such as ditches are also attested. True subterranean mining with vertical shafts and underground galleries was known by the Early Upper Palaeolithic at 35,000 years BP. Extracted nodules were processed at the procurement sites. The study of the reduction strategies has proved valuable in gaining a better understanding of the Palaeolithic sequence of the Egyptian Nile Valley.
Résumé Différentes stratégies d'obtention de matière première ont été reconnues dans la zone calcaire de la vallée du Nil égyptien. En majorité, ce sont des galets de chert qui ont été utilisés. Les stratégies d'obtention se classent en quatre types. Au Paléolithique Moyen la méthode la plus fréquente était la collection intensive en surface. Mais il y eut aussi une technique d'exploitation en profondeur, à l'aide de tranchées à ciel ouvert. Une véritable extraction minière avec des puits verticaux et des galleries souterraines fut pratiquée dès le début du Paléolithique Supérieur, vers 35.000 BP. Les galets extraits étaient réduits sur les sites d'exploitation mêmes. L'étude des processus de réduction nous a permis de mieux comprendre la séquence paléolithique de la vallée du Nil égyptien.
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15.
A later Pleistocene Khoisan peopling of eastern Africa has been suggested by most researchers. The evidence cited consists of a few isolated crania, archaeological occurrences described as Wilton, rock paintings and scattered populations of present-day hunter-gatherers speaking languages with clicks and viewed as bearing some physical resemblances to living Khoisan groups. When these different lines of evidence are evaluated, it is clear that there is no strong basis for retaining the concept of later Pleistocene Khoisan populations in eastern Africa. Instead, the available data suggest that the later Pleistocene and Holocene eastern Africans were tall, linear peoples.
Résumé La plupart des chercheurs proposent que l'est de l'Afrique a été peuplé pendant le Pléistocène tardif par des gens Khoisan. Les témoignages citées par ces auteurs consistent en quelques crânes isolés, des mobiliers archêologiques catégorisés comme du type Wilton, des peintures rupestres, et la répartition actuelle de quelques groupes sociaux bien parsemés de chasseurs-cueilleurs qui parlent des langues avec des claquements et qu'on pense à ressembler physiquement à quelques peuples Khoisan d'aujourd'hui. Quand ces lignes de raisonnement sont évaluées individualement, il se manifeste qu'il n'y a aucune base solide qui peut nous justifier à garder l'hypothèse de la présence des gens Khoisan dans l'est de l'Afrique pendant le Pléistocène tardif. Au contraire, les données disponibles nous amènent à penser que les gens est-africains au Pléistocène tardif ainsi qu'à l'Holocene étaient de haute taille et mince.
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16.
The research presented in this paper aims to study the transfer of patterns of social behaviours into mortuary contexts. It is an attempt to bring to light nested levels and conflicting aspects of human social actions during the relatively short time represented in the Houlouf archaeological record. Different parameters of mortuary evidence are considered at different levels of structuration using competing or alternative models to make sense of the diversity, variability and patterns observed. The studied cemetery appears to have emerged during a period of tension between competing peer-polities and to have been used for the inhumation of a small elite fragment of the whole society. This elite was composed of four groups interpreted as descent groups. Individuals belonging to this elite were divided into three main ranked occupational categories, and they were probably buried by a craft specialist; a blacksmith acting as undertaker and grave-digger.
Résumé Les recherches présentées dans cet article visent à analyser la façon dont certains aspects des comportements humains sont transférés dans les contextes mortuaires. Il s'agit de mettre en lumière l'imbrication des multiples niveaux du système social, ses aspects conflictuels qui se manifestent dans le traitement et l'enterrement des morts pendant une séquence temporelle relativement courte de l'occupation de Houlouf. Different paramètres archéologiques du programme mortuaire sont étudiés et évalués à différent niveaux d'argumentation afin de comprendre et d'expliquer le sens de la diversité, de la variabilité et des configurations des vestiges observées dans le cimetière. Il apparaît ainsi que le cimetière étudié a été mis en place au cours d'une période particulièrement marquée par des tensions entre polities en compétition dans la plaine tchadienne. Ce cimetière était réservé à l'enterrement d'une fraction de la population, l'élite. Cette élite se composait de quatre groupes considérés comme groupes de descendance dont les membres étaient répartis en trois principales catégories de rôles. Le rituel funéraire et l'inhumation étaient vraisemblament exécutés par un forgeron-fossoyeur.
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17.
Numerous scholars have outlined what they believed to be the consequences of the advent of iron technology in sub-Saharan Africa: increased food production using more efficient bush clearing tools; increased population densities; larger and more stable communities; increased trade, specialization and social differentiation; and the embryonic rise of modern politics. (Davidson 1974.) However, little has been demonstrated in the field.A regional study of the Bassar iron industry of northern Togo has shown that the rise of large-scale iron production may lead to higher population densities, larger and more stable communities, a more aggregated settlement pattern in the ore zone, and increased craft specialization and trade. However, it does not necessarily result in a significant increase in the degree of political centralization. The Bassar data also suggest that even the appearance of relatively small scale iron production may generate similar trends, albeit at more modest levels.
Résumé De nombreux auteurs ont décrit ce qu'ils proposent d'avoir été les conséquences de l'adoption de la technologie de fer dans l'Afrique au sud du Sahara: augmentation de la production de nourriture à l'aide des outils plus efficaces pour débroussailler le paysage; augmentation des densités de population; communautés plus grandes et plus stables; croissance de la commerce, de la specialisation artisanale et de la differentiation sociale; et naissance embryonique de la politique moderne (Davidson 1974). Cependant il n 'y a que très peu de ce schéma qui a été validé par les recherches sur le terrain.Une étude régionale de l'industrie du fer des Bassar du nord de Togo a montré que l'essor de la production de fer à grande échelle peut aboutir à des densités de population plus hauts, des communautés plus grands et plus stables, une répartition de l'habitat plus agrégée dans la zone des minerais de fer, et l'augmentation de la specialisation artisanale et du commerce. Cependant il n'aboutit pas obligatoirement à une centralisation importante au niveau politique. Les résultats fournis par cette étude des Bassar nous amènt à proposer aussi que même l'apparition de la production modeste de fer peut donner naissance à des développements comparables, mais d'un ampleur plus restreint.
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18.
The Shurmai (GnJm1) and Kakwa Lelash (GnJm2) rockshelters are located in the Mukogodo Hills region of north-central Kenya. Sondages excavated at both sites allow preliminary reconstruction of their geological and archaeological histories. A total of 4782 lithic pieces were recovered from Shurmai, and 7862 from Kakwa Lelash. The earliest materials from Shurmai date to the late African Middle Stone Age (sometime before ca. 40,000 years bp), and those from Kakwa Lelash apparently date to the African Later Stone Age (sometime after ca. 40,000 bp). The raw material composition, technomorphological characteristics, and style of assemblages from these sites do not reveal whether modern human behavior emerged first in the Middle or in the Later Stone Age. However, the greater sophistication, systematization and efficiency evident in the patterns of resource use, tool manufacture, and style in the Later Stone Age components at Shurmai and Kakwa Lelash rockshelters is consistent with the view that the origins of modern human behavior are to be found in the Later, rather than the Middle, Stone Age in Africa.Les abris de Shurmai (GnJm1) et Kakwa Lelash (GnJm2) sont situés dans la région de collines de Mukogodo du Kenya nord-central. Les sondages creusés aux deux sites permettent la reconstruction préliminaire de leurs histoires géologiques et archéologiques. Un total de 4782 objets lithiques étaient récupérés de Shurmai, et 7862 à Kakwa Lelash. Les matériaux les plus tôt de Shurmai datent au fin de l'Age de la Pierre Moyen d'Afrique (avant ca. 40,000 ans avant le présent), et ceux de Kakwa Lelash datent apparemment au l'Age de la Pierre Récent d'Afrique (après ca. 40,000 ans avant le présent). La composition de matière première, les caractéristiques techno-morphologiques et le modèle des assemblages de ces sites ne révéle pas si le comportement moderne humain a émergé d'abord dans l'Age de la Pierre Moyen ou Récent. Cependant, la plus grand sophistication, systématisation et efficacité évident dans les configurations de l'utilisation de la ressource et dans la fabrication et style des outils de l'Age de la Pierre Récent des abris de Shurmai et Kakwa Lelash se conforme avec l'opinion que les origines de comportement moderne humain se trouvent dans l'Age de la Pierre Récent plutôt que dans l'Age de la Pierre Moyen dans Afrique.  相似文献   

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The bovid fossils from Elandsfontein, south-western Cape Province, South Africa, comprise 7257 individually numbered specimens from 18 species. Taxonomic comparisons with Olduvai Gorge and other African sites and the high percentage of extinct forms imply that the bones accumulated in the earlier part of the Middle Quaternary, probably sometime between 700,000 and 400,000 years ago. By extension, this is also the most likely age for the skull cap of archaicHomo sapiens (Saldanha Man) and for the occasional late Acheulean stone artifacts that accompany the animal bones. In keeping with geomorphological observations and other aspects of the fauna, the bovids indicate a relatively grassy and moist environment, apparently during an interglaciation that differed significantly from the Holocene. Geomorphological context, the frequent occurrence of partial skeletons, bone damage, and skeletal part representation suggest that carnivore feeding on carcasses scattered across a Mid-Quaternary land surface was probably the main factor shaping the Elandsfontein bone assemblage. Porcupines may also have played a role, but there is little evidence for human activity. The Elandsfontein assemblage thus provides a useful control for comparison with bone accumulations where context, associations, and bone damage indicate that people were heavily involved. For example, there are very few young animals in the otherwise attritional profile of giant buffalo from Elandsfontein, probably because carnivores often rapidly and completely consumed young carcasses. This suggests that few young carcasses would be available for human scavenging and thus that archaeological attritional profiles in which young individuals are common probably reflect active human hunting, at least of young animals.
Résumé Les fossiles de bovidés d'Elandsfontein, sud-ouest de la Province du Cap, Afrique du Sud, comportent 7257 spécimens numérotés appartenant à 18 espèces. Les comparaisons taxonomiques avec Olduvai Gorge et d'autres sites africains, ainsi que le haut pourcentage de formes éteintes, indiquent que les os ont dû s'accumuler durant la partie la plus ancienne du Quaternaire moyen, probablement entre 700,000 et 400,000 ans. Par extension, il semble que ce soit aussi l'âge le plus probable de la calotte cranienne d'une forme archaïque d'Homo sapiens (l'homme de Saldanha) ainsi que des quelques outils de l'Acheuléen récent qui accompagnaient les ossements d'animaux. En accord avec les observations géomorphologiques et d'autres aspects de la faune, les bovidés indiquent un environnement relativement humide et herbeux, évidemment durant un interglaciaire qui differe de façon significative de l'Holocène. Le contexte géomorphologique, la présence fréquente de squelettes incomplets, les os endommagés et les parties du squelette représentées suggèrent que des carnivores se nourrissaient des carcasses dispersées sur un terrain du Quaternaire moyen sont le principal facteur de la formation de l'assemblage osseux d'Elandsfontein. Les porc-épics ont peut-être aussi joué un rôle, mais il y a peu de signes de l'activité humaine. L'assemblage d'Elandsfontein est donc un témoin utile pour des comparaisons avec d'autres accumulations de faune, dans lesquelles le contexte, les associations et l'état des os indiquent que les hommes y ont joué un rôle important. Par exemple, très peu d'animaux jeunes sont représentés dans le profil par ailleurs attritionel du buffle géant d'Elandsfontein, probablement parce que les carnivores dévoraient souvent rapidement et entièrement les carcasses jeunes. Ceci indique que très peu de carcasses jeunes étaient disponibles pour les charognards humains et que les profils archéologiques attritionels dans lesquels les animaux jeunes sont fréquents reflètent probablement une chasse humaine active, tout au moins d'animaux jeunes.
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20.
The debate surrounding the origins of the Egyptian Neolithic and Predynastic has, over the past few decades, come to rest on the neighboring Saharan region as the most likely source of influence. Although there is some evidence for the appearance of domesticates in the Western Desert before food-producing communities emerged in Upper and Lower Egypt, there is a strong case for the introduction of Saharan artifacts and technologies to the Nile Valley communities. This paper examines this argument in relation to the Western Desert region of the Dakhleh Oasis (South Central Egypt). The intent of the paper is to recognize the role Dakhleh played in the cultural development of the Egyptian Neolithic and Predynastic and whether this can clearly be seen through artifact parallels. Les parties débattant des origines de l'Egypte néolithique et pré-dynastique ont fini, au cours des dernières décennies, par conclure que la région voisine du Sahara était leur source d'influence la plus vraisemblable. Bien que certaines preuves existent de l'apparition de plantes et d'animaux domestiques dans le Désert occidental avant l'émergence de communautés produisant des aliments en Basse et Haute Egypte, de solides arguments émergent en faveur de l'introduction d'objets fabriqués et de technologies dans les communautés de la Vallée du Nil. L'exposé en question examine cet argument par rapport à la région du Désert occidental de l'Oasis de Dakhla (centre-sud de l'Egypte). Le but de cet exposé est de reconnaître le rôle de Dakhla dans le développement culturel de l'Egypte néolithique et pré-dynastique et de déterminer si oui ou non celui-ci peut clairement être identifié, de façon parallèle, au travers d'objets fabriqués.  相似文献   

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