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1.
This paper outlines the environmental history of the Tigrean Plateau (northern Ethiopia) during the Holocene, based on the available geomorphological, palynological, archaeological, and historical evidence. At present, it seems that (1) the plateau experienced a more humid climate with a denser vegetation cover during the Early Holocene; (2) Soil erosion due to clearing vegetation began in the Middle Holocene; (3) agricultural activity was intensified in the Late Holocene, as a consequence of the rise of a state; (4) demographic pressure increased from the early first millennium BC to the mid–first millennium AD, causing soil erosion; (5) environmental degradation and demographic decline occurred in the late first millennium AD; (6) the vegetation cover was regenerated in the early second millennium AD; and (7) progressive vegetation clearance started again in the second half of the second millennium AD.Cet article trace l'histoire ambiante du Plateau Tigréen dans l'Holocène en utilisant les données géomorphologiques, palynologiques, archéologiques et historiques. Il semble que (1) dans l'Holocène ancien le plateau était caractérisé par une phase humide avec une dense végétation; (2) l'érosion causée par l'abbattage de la végétation commen¸a dans l'Holocène moyen; (3) l'activité agricole s'inténsifia à la fin de l'Holocène, par conséquence de l'essor d'un état; (4) la pression démographique augmenta de plus en plus du début du premier millénaire av. J.-Ch. à la moitié du premier millénaire ap. J.-Ch.; (5) la dégradation ambiante et la diminution démographique se vérifièrent à la fin du premier millénaire ap. J.-Ch.; (6) une régéneration de la vegetation se vérifia au début du seconde millénaire ap. J.-Ch.; et (7) l'abbatage de la végétation recommen¸a dans la seconde moitié du seconde millénaire ap. J.-Ch.  相似文献   

2.
The influence of Merrick Posnansky's work on the development of Iron Age Great Lakes ceramic studies is traced and an historiographical analysis of the published material of associated African, American, Belgian and British Iron Age Africanist archaeologists is offered. The article examines the methodologies and concepts employed by archaeologists from the 1950s to the present, as they defined the chronological, classificatory, regional and stylistic boundaries of Urewe and rouletted pottery. Particular attention is paid to the influence of American, British and Belgian worldviews on Iron Age research priorities and consequent disparities between Early Iron Age and Later Iron Age studies. Also examined are conclusions about the ethnic identities of the makers of the ceramic material and the significance of the shift from Urewe to rouletted pottery. The paper concludes with some alternative explanations about the relative scarcity of Early Iron Age ceramics and the swift but widely dispersed introduction of rouletted pottery.
Résumé Cet article retrace l'influence du travail de Merrick Posnansky sur le développment des études sur la céramique de l'âge de fer dans la région des grands lacs et présente une analyse historiographique des documents publiés par des archéologues africains, américains, belges et britanniques spécialisés dans l'âge de fer en Afrique. Cet article examine les méthodologies et les concepts utilisés par ces archéologues, des années 50 à maintenant, pour leur définition des limites chronologiques, classificatoires, régionales et stylistiques de la céramique d'Urewe et de la céramique décorée à la roulette. Il accorde une attention spéciale à l'influence des points de vue américains, britanniques et belges sur les priorités de la recherche sur l'âge de fer et les différences qui en découlent entre les études sur le début et sur la fin de cette période. Cet article examine également des conclusions sur les identités ethniques des fabricants de céramique et la signification du passage de la poterie d'Urewe à la poterie décorée à la roulette. Il conclut en donnant de nouvelles explications possibles sur la relative pénurie du début de l'âge de fer et l'introduction rapide mais largement disséminée de la poterie décorée à la roulette.
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3.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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4.
Résumé L'article propose une classification générale de la poterie ancienne décorée à la roulette, dans la Région des Grands Lacs et en Afrique de l'Est. Un premier groupe de poterie, appelé ici W, caractérisé principalement par la roulette torsadée, est produit vraisemblablement dèsca 800 AD; cette poterie pourrait avoir été diffusée de la région Est vers la zone interlacustre par le sud du Lac Victoria. L'hypothèse que le groupe W est associé à des populations de langues sud-nilotiques permet de reconsidérer les débuts du Deuxième Age du fer en Afrique interlacustre. Cet article suggère l'installation de groupes de pasteurs sud-nilotes dans la zone interlacustre; leurs rapports avec les autochtones sont examinés, en particulier le cas du Rwanda.Le groupe X (roulette nouée) apparaît en Ouganda dans les premiers siècles du second millénaire, suivi du groupe Y (roulette torsadée fine); à partir de 1500 AD, ils remplacent le groupe W dans la région interlacustre. Dans cet ensemble céramique, que l'on sait associé à des groupes de langues ouest-nilotiques venus du nord, une distinction est suggérée entre trois styles régionaux, qui sont mis en relation avec l'histoire des migrations de leurs producteurs.
This article offers a general classification of the ancient roulette-decorated pottery from the Great Lakes Region and from East Africa. A first pottery group, here named W, mainly characterised by twisted string roulette, appears as early asca 800 AD; this pottery might have been introduced to the interlacustrine area from the east and south of Lake Victoria. The hypothesis that the W group was associated with speakers of Southern-Nilotic languages is relevant to our view of the beginning of the Late Iron Age in interlacustrine Africa. This article suggests the establishment of pastoralist groups of Southern-Nilotic speakers in the interlacustrine zone and also examines their contacts with local populations, giving special attention to Rwanda.The X group (knotted string roulette) appears in Uganda in the first centuries of the second millennium, followed by the Y group (thin twisted string roulette). Fromca 1500 AD these groups replaced the W group in the interlacustrine area. In these last groups, which are associated with Western-Nilotes coming from the north, a distinction is made between three regional styles which are further correlated with the history of their makers.
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5.
This paper reports the combined preliminary results of the Italian Mission to Kassala and the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project. Both groups have been carrying out extensive survey and test excavations in the Southern Atbai of the East Central Sudan, between the Atbara and Gash Rivers. This work has led to the recognition of a previously unknown culture area and ceramic tradition which spans about 5000 years and, at its peak, probably covered about 100,000 sq. km east of the Nile. This ceramic tradition, the Atbai Tradition, is associated with the development of large villages (over 10 ha) during the 4th millennium bc.
Résumé Le présent article rapporte les résultats préliminaires combinés de la Mission italienne à Kassala et du projet Butana entrepris en commun par les universités de Khartoum et Southern Methodist. Ces deux groupes ont réalisé des reconnaissances archéologiques extensives et des sondages dans le sud de l'Atbai, dans la partie centrale orientale du Soudan, entre les rivières Atbara et Gash. Leur travail a mené à la reconnaissance d'une civilisation et d'une tradition céramique auparavant inconnues qui durèrent quelque 5000 ans et qui couvraient à leur apogée environ 100,000 km2 à l'est du Nil. Cette tradition céramique, la tradition Atbai, est associée au développement des grands villages (de plus de 10 ha) au cours du 4e millénaire avant notre ère.
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6.
Pottery containing abundant organic and siliceous particles of the swamp-dwelling spongeEunapius nitens occurs at occupation sites dated between 3500 and 1500 bp flanking the White Nile in central Sudan. Megascleres, gemmoscleres and gemmules in vast numbers are well preserved in the pottery, megascleres forming the temper. Common features of sponge pottery are: fine paste; wall thickness in the range 4 to 9 mm; internal scoring; deepish, steep-walled bowls with straight or slightly everted rims often decorated with chevron pattern; and a variety of well executed external decoration by incision, rouletting and stamping. Thorough study of the distribution, economy, affinities and chronology of the peoples practising this swamp-based technology is yet to be made. The pottery forms part of a wider tradition in the Nile basin.
Résumé Dans des sites d'habitat de 3500 à 1500 bp, le long du Nil Blanc, au Soudan central, se trouve une céramique contenant de nombreuses particules organiques et silicieuses de l'épongeEunapius nitens, qui habite les marais. D'énormes quantités de mégasclères, de gemmosclères et de gemmules sont bien préservées dans la céramique—les mégasclères en forment le dégraissant. Parmi les traits communs de la céramique à éponge sont: une pâte fine; des parois épaisses de 4 à 9 mm; des stries internes; des bols profonds à parois raides avec des bords droits ou un peu éversés, souvent décorés de chevrons; et une variété de décors externes bien exécutés par des incisions, des roulettes ou des estampages. On n'a pas encore fait une étude approfondie de la répartition, de l'économie, des affinités et de la chronologie des peuples qui pratiquaient cette technologie des marais. Cette poterie fait partie d'une tradition plus large dans le bassin du Nil.
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7.
The Swahili people have been viewed as of Persian/Arabic or Cushitic-speaking origin. Scholars have used historical and archaeological data to support this hypothesis. However, linguistic and recent archaeological data suggest that the Swahili culture had its origin in the early first centuries AD. It was the early farming people who settled on the coast in the last centuries BC who first adopted iron technology and sailing techniques and founded the coastal settlements. The culture of the iron-using people spread to the rest of the coast of East Africa, its center changing from one place to another. Involvement in transoceanic trade from the early centuries AD contributed to the prosperity of the coastal communities as evidenced by coastal monuments. More than 1500 years of cultural continuity was offset by the arrival of European and Arab colonizers in the seventeenth and nineteenth centuries AD. Le peuple Swahili a souvent été consideré comme un peuple dont la langue avait pour origine le Perse/Arabe ou le Cushite. Les chercheurs ont utilisé des donées historiques et archéologiques afin de supporter cette hypothese. Cependant l'étude linguistique de cette langue, ainsi que de nouvelles découvertes archéologiques suggérent que la culture Swahili trouve son origine au début de l'ère chrétienne. Ils furent les premiers fermiers à s'installer le long du littoral, fondant des villages côtiers, vers les premiers siécles de notre ère, les premiers aussi à adopter les techniques du fer et les techniques de navigation. La culture du fer s'étendit rapidement au reste des côtes d'Afrique de l'Est, son centre se déplaçant d'un endroit à un autre. Leur implication dans le commerce océanique contrbua à la prosperité de leur communautés côtières, mise en évidence notamment par les monuments le long du littoral. Plus de 1500 ans de continuité culturelle pris fin à l'arrivé des colonisateurs Européens et Arabes de dixseptième et dixhuitième siècles.  相似文献   

8.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

9.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

10.
Until recently the Grassfields (western Cameroon), cradle of the Bantu languages, were an unknown zone from the archaeological point of view. The excavations of Shum Laka rock shelter by de Maret and his team brought the most complete sequence in West Africa, spanning the Late Pleistocene and the Holocene. After 20 millennia of microlithic tradition (Late Stone Age), a new culture, with macrolithic tools, polishing and pottery (Stone to Metal Age), slowly developed ca. 7000 B.P. onwards. From this early period on, forest hunting was associated with the exploitation of Canarium schweinfurthii. Around 4000 B.P., an industry with waisted axes, blades, and pottery had emerged. With a striking technological continuity, this culture survived throughout the Iron Age. Increasing importance and diversity of trees exploited through the Stone to Metal Age and the Iron Age suggests arboriculture. Regional comparisons show that, between 5000 and 2500 B.P., an original culture developed in the Grassfields and the Cross River basin.Jusqu'à récemment, les Grassfields (Cameroun occidental), berceau des langues bantoues, étaient inconnus d'un point de vue archéologique. Les fouilles de l'abri de Shum Laka par de Maret et son équipe permirent d'établir la plus complète séquence d'Afrique occidentale, embrassant la fin du Pléistocène et l'Holocène. Après 20,000 millénaires de traditions microlithiques (Age de la Pierre Récent), une nouvelle culture, caractérisée par l'apparition d'outils macrolithiques, de polissage et de poterie (Age de la Pierre au Métal), se développe lentement à partir de 7000 B.P. Dès le début, la chasse en forêt est associée à l'exploitation de Canarium schweinfurthii. Vers 4000 B.P. une industrie avec haches à gorge, lames et poterie a émergé. Dans une continuité technologique surprenante, cette culture survivra à l'Age du Fer. L'arboriculture est suggérée par l'importance et la diversification des arbres exploités durant l'Age de la Pierre au Métal et l'Age du Fer. Des comparaisons régionales montrent que, entre 5000 et 2500 B.P., une culture originale se développe dans les Grassfields et le bassin de la Cross River.  相似文献   

11.
The analysis of Middle Stone Age artefact assemblages from the 1984–8 Deacon excavation of Klasies River main site on the southern Cape coast of South Africa emphasizes its importance as a source of information on the Late Pleistocene period. The trends in artefact variability noted in the previous 1967–8 Singer and Wymer excavation are described in more detail and it is concluded on typological grounds that the cave 1B assemblages which are associated with the anatomically modern human mandible no. 41815 are of the order of 100,000 years old. Rare, unstandardized retouch and the persistence of time-restricted patterning in the Klasies River main site Middle Stone Age sequence over periods in excess of 20,000 years represent significant differences between Middle and some parts of Later Stone Age sequences. It is suggested that this may be a consequence of conservatism under relatively low-density demographic conditions rather than a reflection of the absence of modern behaviour among Middle Stone Age toolmakers.
Résumé L'analyse des industries lithiques de l'âge de la Pierre Moyen provenant des fouilles Deacon au site principal à Klasies River, sur la côte sud du cap de l'Afrique du Sud, souligne l'importance de ce site pour ses renseignements sur le Pléistocene récent. Les tendances de variabilité dans le matériel culturel déjà constatées dans les fouilles précédentes de Singer et Wymer (1967–8) sont présentées ici en davantage de détail. L'étude typologique amène à la conclusion que les industries de la grotte 1B, associées à la mandibule no. 41815 de forme humaine moderne, ont un âge approximative de 100,000 ans. La présence assez rare d'une retouche non-standardisée et la persistance des modalités, chronologiquement bien définies, dans la succession des industries de l'âge de la Pierre Moyen au site principal à Klasies River pendant des périodes de plus de 20,000 ans constituent des différences considérables entre l'âge de la Pierre Moyen et quelques phases de l'âge de la Pierre Récent. On propose que cela peut être la conséquence d'un conservatisme sous les conditions de densité démographique faible, plutôt qu'en déduire que la mode de comportement caractéristique de l'homme moderne manquait aux gens de l'âge de la Pierre Moyen.
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12.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

13.
The two type-sites of the Khartoum Mesolithic and Khartoum Neolithic (Khartoum Hospital and Shaheinab), in Central Sudan, were excavated at the end of the 1950s. The ceramics recovered from these sites, characterized by wavy line and dotted wavy line decoration, formed a cornerstone for identifying Mesolithic–Neolithic components along the Central Nile and across the Sahara-Sahel Belt. Moreover, they formed a model for an evolutionary sequence, and suggested a level of cultural uniformity for the Nilo-Sahara-Sahel Belt from the eighth to the fourth millennia BC. This paper examines these and other related issues.L'hôpital de Khartoum et Shaheinab, qui se situe au centre du Soudan, sont les deux sites archéologiques principaux de la civilisation mésolithique et néolithique. Ces deux sites furent découverts et excavés au cours des années 1950s. Les céramiques découvertes dans ces deux sites se caractérisent par leurs lignes continues et ondoyantes, et d'autres ondoyantes mais discontinues. Ces céramiques représentent la pierre angulaire pour les caractéristiques de la période mésolithiqueet néolithique dans le centre de la vallée du Nile et á travers la zone du Sahara-Sahel. De plus, elles ont constitué un modèle pour l'évolution et ont suggéré une certaine uniformité culturelle entre la vallée du Nile, le Sahara et le Sahel de huitième au quatrième millénaires avant J.-C. Cette recherche traite donc de ces points et d'autres aspects s'y rapportant.  相似文献   

14.
The remains of a complex stone- walled encampment at //Khauxa!nas in Namibia provide new insights into the social consequences of European contact with the pastoral Khoi. The Namibian evidence contradicts the general view that the eighteenth- century Khoi were little more than a colonial underclass. Details of layout and construction from //Khauxa!nas point to the rise of a hierarchical organization uniting autonomous households within a pastoral alliance. This development reflects the evolutionary potential of Khoi society at a crucial moment in its history, immediately prior to the rise of armed resistance against colonial rule.
Résumé Les vestiges d'un campement complexe ceinturé d'un mur de pierre à //Khauxa!nas en Namibie donnent des nouveaux aperçus des conséquences sociales du contact européen avec les Khoi pastoraux. L'évidence namibienne dément les vues générales que les Khoi du 18ème siècle n'étaient plus qu'une sous- classe coloniale. Les détails du plan et de la construction du campement de //Khauxa!nas mettent en évidence l'essor d'une organisation hiérarchique unifiant des ménages autonomes dans l'alliance pastorale. Ce développement reflète le potentiel évolutionniste social de la société Khoi d'un instant crucial de son histoire, immédiatement avant le soulèvement de la résistance armée contre l'autorité coloniale.
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15.
This study is an attempt to provide a chronological seriation of pottery from Igbomina in northcentral Yorubaland. The ceramic sequence is developed using multivariate statistical analysis. From the K-means cluster analysis, ceramic collections that are roughly contemporaneous were grouped together; next the collections were seriated with multidimensional scaling to reveal whether they form a pattern that may be chronologically significant. Evaluation of the results of the pottery analysis from the Igbomina sites was based on the chronological division of Old Oyo pottery as well as on radiocarbon dating of associated material from excavated sites in the region. Pottery types from Old Oyo became known in Igbomina probably as early as the thirteenth century AD, and continued to occur in some areas until the late eighteenth century. The presence of Oyo pottery in Igbomina has important implications for the understanding of Oyo's relations with the northern Yoruba group and the frontier position of Igbomina during the Old Oyo Empire.Cette étude cherche à fournir une sériation chronologique de la céramique provenant de Igbomina situé dans la partie centrale du nord de Yorubaland. La séquene de céramique a été élaborée en utilisant une analyse statistique multidimensionnelle. Les collections de céramique plus ou moins contemporaines ont été groupées en se servant de la moyenne du facteur K de la classification ascendante hiérarchique, elles ont ensuite été ordonnées au moyen d'une analyse des proximités pour voir si elles formaient un schéma chronologique significatif. L'évaluation des résultats de l'analyse céramique des sites Iglomina est fondée sur les divisions chronologiques de la céramique Oyo ancienne ainsi que sur des dates radiocarbones obtenues sur du matériel en association provenant de sites fouillés dans la région. Les types de céramique de l'Oyo ancien sont probablement arrivés à Igbomina dès le 13ème siècle et ont continué à apparaître dans certains endroits jusqu'à la fin du 18ème siècle. La présence de la céramique Oyo à Igbomina comporte des implications importantes pour nos connaissances sur les relations des Oyo avec les groupes Yoruba du nord et sur la position de la frontière de Igbomina pendant l'empire Oyo ancien.  相似文献   

16.
One aspect of an ethno-archaeological study of the pottery system of the Luo people of Kenya is examined. It was discovered that ceramic micro-styles, distinctive combinations of decorative, formal and technological features characteristic of the different potter communities in a 3000 km2 region of western Kenya, are the product of local traditions of manufacture perpetuated by women potters recruited from outside the communities as a result of a patrilocal post-marital residence system. An analysis of the interplay of a mother-in-law/daughter-in-law learning pattern, strong pressures for post-marital resocialization, and processes of potter interaction in the generation of ceramic styles is undertaken and some implications for archaeological attempts to use ceramic patterning to uncover prehistoric social organization are discussed.
Résumé L'article examine un aspect d'une étude ethno-archéologique du système céramique du peuple Luo de Kenya. On a trouvé que des micro-styles céramiques, des combinaisons distinctives de traits décoratifs, formels et technologiques qui caractérisent les différentes communautés de potières dans une région de 3000 kilomètres carrés au Kenya occidental, sont le produit de traditions locales de fabrication. Ces traditions sont perpétuées par des potières recrutées hors des communautés à cause d'un système de résidence patrilocale après le mariage. L'auteur entreprend une analyse de l'interaction entre trois éléments dans la formation des styles céramiques: une tendance d'enseignement des méthodes de fabrication à belle-fille par belle-mère, des pressions intensives vers une resocialisation après le mariage, et des processus d'interaction entre potières. Elle discute quelques implications pour les archéologues qui essaient d'utiliser la structuration de la céramique afin de découvrir l'organisation sociale préhistorique.
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17.
Recent research at the remote depression of Bir Tarfawi, in the hyperarid Eastern Sahara, has revealed a sequence of four, or possibly five, Pleistocene lake-episodes. The first lake was probably associated with a Late Acheulean and the remaining four with a Middle Palaeolithic, specifically with a Denticulate Aterian, industry. Lithostratigraphic, macrofaunal and microfaunal analyses have permitted a quite detailed reconstruction of the local environment during the periods of the last two lakes; during the period of the fourth lake, local rainfall may have beenca 600 mm per annum but was rather less during the time of the fifth lake. Investigation of some of the many associated archaeological sites is revealing a complex pattern of specialized site-types, including living-sites, primary and secondary workshops and primary and secondary butchery-sites. Specific types of sites are closely related to the local landscape. Preliminary analyses from several experimental methods of chronometric dating suggest that almost all of the sequence falls within the Middle Pleistocene.
Résumé Des recherches récentes dans la dépression isolée de Bir Tarfawi dans le Sahara oriental hyperaride, ont révélé une séquence de quatre, ou peut être cinq, épisodes lacustres au Pléistocène. Le premier lac est probablement associé à un Acheuléen final, et les quatre autres au Paléolithique moyen, et spécifiquement à une industrie atérienne denticulée. Des analyses de lithostratigraphie, de macrofaune et de microfaune ont permis de reconstruire d'une façon assez détaillée l'environnement local pendant les périodes des deux derniers lacs. Pendant la période du quatrième lac, la pluviosité locale était peut être deca 600 mm par an, mais elle était un peu moindre à lépoque du cinquième lac. Les recherches dans certains des nombreux gisements archéologiques associés nous révèlent un schéma complexe de sites spécialisés, y compris des sites d'habitat, des ateliers primaires et secondaires, et des lieux de dépeçage primaires et secondaires. Certains types de gisement sont étroitement liés au paysage local. Des analyses préliminaires par plusieurs méthodes expérimentales de datation chronométrique suggèrent que presque toute la séquence appartient au Pléistocène moyen.
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18.
This paper examines the history of African metallurgy in the era of Atlantic trade. It reports on excavations at the John Reeder foundry site in St Thomas, Jamaica. The transfer of African technologies to the Caribbean reveals the plantation economy's dependence on African technical expertise, not merely slave labour. The comprehensive focus on the Atlantic world also informs archaeological investigations of African-European interaction in West Central Africa. The complexity of Atlantic technological history is characterized by a diverse range of dynamic interactions, rather than the inevitable decline of Africanderived systems. Only by identifying processes as well as products of African technological interaction will it be possible fully to reconstruct the forging of the African past.
Résumé Cet article examine l'histoire de la métallurgie africaine à l'ère du commerce atlantique. Il rend compte des excavations au site de la fonderie John Reeder, à St Thomas, en Jamaïque. Le transfert des technologies africaines aux Antilles révèle à quel point l'économie de plantation dépendait de l'expertise technique africaine, et pas seulement de l'esclavage. L'accent placé sur le monde atlantique inspire aussi les recherches archéologiques sur l'interaction afro-européenne à l'ouest de l'Afrique centrale. La complexité de l'histoire technologique atlantique est caractérisée par une gamme diverse d'interactions dynamiques, plutôt que par l'inévitable déclin des systèmes africains dérivés. Ce n'est qu'en identifiant les processus aussi bien que les produits de l'interaction technologique africaine qu'il sera possible de reconstruire complètement l'élaboration du passé africain.
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19.
Late Quaternary rock-shelter deposits from the Mau Escarpement in Kenya preserve abundant large mammal remains, particularly in Holocene deposits. Taphonomic analysis indicates that people accumulated the Holocene archaeofauna and that, after discard, ravaging carnivores had little impact on the assemblage. The hunters concentrated on small bovids of the forest throughout the occupation, avoiding the larger more dangerous game that must have been abundant. This pattern differs significantly from that documented over the last 100 years for the Okiek hunter-gatherers of the Mau montane forest. Complete carcasses of small bovids were typically transported to the site, and the introduction of pottery had no apparent effect on carcass transport and butchery. Slightly greater bone destruction is evident at the time of the middle Holocene dry phase, and this may relate to more intense grease rendering. Domestic caprines appearedca 4000 years ago, about 900 years after pottery, but small wild bovids dominated the economy until about 3000 years ago when the resident hunter-gatherers became specialized caprine herders.
Résumé Les dépôts de cet abri sous roche, escarpement de Mau, Kenya, et en particulier les dépôts holocènes, ont preservé une faune abondante de mammiferes larges. L'analyse taphonomique indique que les carnivores n'ont eu que peu d'effet sur la distribution de l'archéofaune holocène accumulée par les humains. La chasse fut concentrée sur les petits bovidés de la forêt pendant toute l'occupation du site, évitant les animaux plus larges et plus dangereux qui devaient cependant être abondant. Cette image diverge de façon significative de celle obtenue pour les Okiek (chasseurs/cueilleurs de la forêt de montagne de Mau), pour les 100 dernières années.Les carcasses complètes des petits bovidés étainent habituellement transportées sur le site et l'introduction de la poterie ne semble pas avoir eu d'effet apparent sur le transport des carcasses ou leur démembrement. Durant la phase sèche de l'Holocène moyen, une destruction un peu plus étendue des os est évidente et pourrait être attribuée à une exploitation de la graisse plus intense. Les caprinés domestiques apparaissent aux environs de 4000 ans, plusieurs centaines d'années après la potterie, mais les petits bovidés sauvages dominent l'économie jusqu'aux environs de 3000 ans, lorsque les chasseurs/cueilleurs résidents se spécialisent dans la garde des caprinés.
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20.
Archaeological research in Lesotho over the last 120 years is reviewed. Particular emphasis is given to P. Carter's excavation and survey project in eastern Lesotho and to contract archaeology projects in other parts of the country. Current research and projects involving the study of rock art are also considered. The archaeological potential of Lesotho for addressing a number of themes is discussed. These themes include the reconstruction of prehistoric seasonal mobility patterns, hunter-gatherer adaptations at the Last Glacial Maximum and relations between hunter-gatherer and farming populations. Lesotho's geographical situation lends itself to examining these questions across two distinct ecological gradients, but the richness of its rock art also demonstrates its potential for investigating Stone Age social relations. The importance of developing a more effective national archaeological infrastructure is stressed.
Résumé Les recherches archéologiques des 120 dernières années sont passées en revue. L'accent est mis tout particuliérement sur les fouilles et le survey conduits dans l'est du Lesotho par P. Carter ainsi que sur les contrats de recherches archéologiques dans d'autres régions du pays. Les recherches en cours et les projets comprennant l'étude de l'art rupestre sont aussi passés en revue.Le potentiel archéologique du Lesotho pour l'étude d'un certain nombre de thèmes est discuté. Ces thèmes comprennent la reconstruction des mouvements saisoniers et des adaptations des chasseurs/cueilleurs durant le dernier maximum glaciaire ainsi que les relations entre les chasseurs/cueilleurs et les populations fermières. Le Lesotho, de par sa situation géographique, permet d'examiner ces questions au travers de deux niveaux écologiques distincts, cependant que la richesse de son art rupestre démontre son potentiel pour étudier les relations sociales durant l'Age de la Pierre. L'importance du développement d'une infrastructure archéologique nationale plus poussée est soulignée.
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