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1.
The 67-ha site of Sincu Bara was discovered and extensively excavated in the 1970s. Three primary aspects of its archaeological interest were its vast size, its location in the Middle Senegal Valley, where some of the earliest regional polities in West Africa arose, and the extensive and diverse assortment of copper-based metal artifacts it produced. Deposits with brass appeared to be associated with radiocarbon dates as early as the fifth century AD. It appeared that most of the deposits related to a single, long-lasting occupation by people who arrived with sophisticated copper-based metallurgy in the fifth century and remained at least until the eleventh century, without discernible modification in their material culture. Results of new excavations in 1991–1992 indicate that this interpretation must be substantially modified, since considerable change in material culture, including the introduction of copper-based metals between AD 800 and AD 900, has now been documented. This article summarizes the data from these new excavations and suggests that earlier interpretations were based largely on material from disturbed, severely mixed deposits, which gave a false picture of homogeneity through time.Les soixante sept héctares constituant le gisement du Sincu Bara étaient découverts et fouillés dans les années soixante dix. Son intérêt archéologique est lié aux trois aspects: sa grande superficie, sa location dans la vallée moyenne du Sénégal où les premières unités politiques de l'Afrique de l'Ouest existaient, et finalement, la diversité des objets métalliques en cuivre que le site a livrée. Il apparaît que la plupart des dépôts appartient à une seule occupation de longue durée par un peuple qui est arrivé pendant la cinquième siécle AD, en possession de la connaissance de métallurgie à base de cuivre et qui montrait au moins jusqu'au onzième siécle peu de modification dans leur culture materielle. Les résultats des fouilles de 1991–1992 montrent que cette interpretation doit être modifiée, car il y a eu du changement considérable dans le matèriel, comme l'introduction des métaux à base de cuivre entre AD 800–900. Dans cet article, nous avons résumé les résultats des nouvelles fouilles et nous suggérons que les anciennes interpretations ont été largement fondées sur du matériel perturbé, des dépôts mixtes qui donnaient une image fausse de l'homogenité pendant cette période.  相似文献   

2.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

3.
Despite the antiquity of domestic cattle in the Sahara-Sahel, archaeological evidence from two sub-Saharan regions indicates that the first pastoralist colonization of sub-Saharan Africa may not have proceeded so smoothly as modern appearances suggest. The first appearance of cattle-based economies seems to have been delayed by as much as a thousand years after the first appearance of small stock, in both eastern and southern Africa. This article reviews the relevant archaeological evidence and argues that the lag in successful introduction of cattle stems from new animal diseases encountered by pastoral colonists entering biogeographic zones south of the Sahel. Diseases that are often fatal to cattle, including wildebeest-derived malignant catarrhal fever (WD-MCF), East Coast fever (ECF), foot-and-mouth disease (FMD), and Rift Valley fever (RVF), as well as trypanosomiasis, are described as probable barriers to the early entry of cattle-based economies into these regions.Malgré l'antiquité des animaux domestiques dans le Sahara-Sahel, les données archéologique de deux régions subsahariennes indiquent que les premières colonisations pastoraux des zones au sud du Sahel ne se propagèrent pas aussi promptement que suggèrent les apparences actuelles. En l'Afrique orientale et en l'Afrique du sud, l'apparition d'économies basées sur l'élevage des gros bovins paraît être retardée de quelque mille ans par rapport à l'apparition des petits ruminants domestiques dans ces mêmes régions. L'article recense les données archéologiques pertinentes et propose que le délai de l'introduction effective des gros bovins fût causée par des nouvelles maladies vétérinaires rencontrées par les premiers colonisateurs pastoraux entrant dans les zones biogéographiques au sud du Sahel. Des maladies fréquemment fatales aux gros bovins, telle que le coryza gangreneux, la thèleriose, la fièvre aphteuse, l'arbovirus des Bunyaviridae, aussi bien que la trypanosomiase, sont proposées comme des obstacles probables à la diffusion des économies à gros bovins dans ces régions.  相似文献   

4.
This study is an attempt to provide a chronological seriation of pottery from Igbomina in northcentral Yorubaland. The ceramic sequence is developed using multivariate statistical analysis. From the K-means cluster analysis, ceramic collections that are roughly contemporaneous were grouped together; next the collections were seriated with multidimensional scaling to reveal whether they form a pattern that may be chronologically significant. Evaluation of the results of the pottery analysis from the Igbomina sites was based on the chronological division of Old Oyo pottery as well as on radiocarbon dating of associated material from excavated sites in the region. Pottery types from Old Oyo became known in Igbomina probably as early as the thirteenth century AD, and continued to occur in some areas until the late eighteenth century. The presence of Oyo pottery in Igbomina has important implications for the understanding of Oyo's relations with the northern Yoruba group and the frontier position of Igbomina during the Old Oyo Empire.Cette étude cherche à fournir une sériation chronologique de la céramique provenant de Igbomina situé dans la partie centrale du nord de Yorubaland. La séquene de céramique a été élaborée en utilisant une analyse statistique multidimensionnelle. Les collections de céramique plus ou moins contemporaines ont été groupées en se servant de la moyenne du facteur K de la classification ascendante hiérarchique, elles ont ensuite été ordonnées au moyen d'une analyse des proximités pour voir si elles formaient un schéma chronologique significatif. L'évaluation des résultats de l'analyse céramique des sites Iglomina est fondée sur les divisions chronologiques de la céramique Oyo ancienne ainsi que sur des dates radiocarbones obtenues sur du matériel en association provenant de sites fouillés dans la région. Les types de céramique de l'Oyo ancien sont probablement arrivés à Igbomina dès le 13ème siècle et ont continué à apparaître dans certains endroits jusqu'à la fin du 18ème siècle. La présence de la céramique Oyo à Igbomina comporte des implications importantes pour nos connaissances sur les relations des Oyo avec les groupes Yoruba du nord et sur la position de la frontière de Igbomina pendant l'empire Oyo ancien.  相似文献   

5.
Paleoclimatic data indicate that the Pleistocene/Holocene transition was a period of considerable ecological change in the Caledon Valley of the southern African interior. Stone artefact assemblages from sites in one part of this region, the Phutiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) Basin of western Lesotho, were analyzed in order to investigate whether changes in settlement and subsistence strategies during this period are also reflected in the organization of lithic technologies. It appears that although technological solutions to the problems of subsistence risk may have been emphasized during the late Pleistocene, social means, such as exchange, dominated at the Pleistocene/Holocene boundary. Subsequent innovation or adoption of new formal tool types suggests that both strategies were important from the middle Holocene onwards.Dans la vallée de Caledon à l'intérieur sud-africain les données paléoclimatiques indiquent que la transition du pléistocène à l'holocène était une période de changement écologique considérable. Les résultats des analyses des outils lithiques découverts aux gisements dans une partie de cette région, le Bassin de la Phuthiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) du Lesotho occidentale, sont présentées pour examiner si des changements aux stratégies de subsistance et de l'occupation des sites se réfletent à l'organisation des technologies lithiques. Il semble que on a employé les solutions technologiques pour éviter les risques de subsistance pendant le pléistocène tardif, mais que des solutions sociales, comme l'échange, prédominaient à la frontière pléistocène-holocène. L'innovation ou l'adoption plus tard des nouvelles outils lithiques suggère que tous les deux stratégies étaient importantes depuis le début du moyen Holocène.  相似文献   

6.
Archaeomineralogical fieldwork in south-eastern Nigeria combined with metallurgical analyses has now all but confirmed the local provenance of most of the metals used in manufacturing the bronze and copper vessels, ornaments and sculptures which were kept and buried at Igbo-Ukwu about the ninth or tenth century AD. This demonstration may further support the view that the technical skills and artistic inspiration of Igbo-Ukwu were largely locally evolved. Yet the lack of prototypes remains disconcerting. Such a large collection of exquisite bronze artwork and ritual objects is unparalleled for this region at that period; and attempts to explain the circumstances which gave rise to Igbo-Ukwu remain unsatisfactory. It is argued here that, whatever local factors, either religious or secular, may have obtained at that time, there was also an international one. Presumably this region was for a period producing a rare and geographically specific mineral then in high demand in the wider world. The bronzes may be in effect the by-product of that mining and production for export. It is suggested that the principal trade-routes then may not have crossed the Sahara to Muslim North Africa but have run eastward from the Lake Chad region to the Christian countries of the Nile. There may be a hint of this in certain of the bronze forms. Moreover, contact with Egypt, if not indirectly with lands beyond, is demonstrated at Igbo-Ukwu by the vast numbers of imported beads.
Résumé Un travail archéominéralogique de terrain au sud-est du Nigeria, combiné avec des analyses métallurgiques confirme maintenant la provenance locale des métaux utilisés pour la fabrication des récipients en bronze et en cuivre, des ornements et des sculptures gardés et enterrés à Igbo-Ukwu aux alentours du 9ème et 10ème siècles. Ceci renforce l'hypothèse que les techniques et l'inspiration artistique résultent à Igbo-Ukwu d'une évolution locale. Mais l'absence de prototypes reste déconcertante. Une collection aussi importante d'oeuvres d'art en bronze et objects rituels si raffinés est sans parallèle dans cette région à cette période et les tentatives pour expliquer les circonstances qui conduisirent à l'apparition d'Igbo-Ukwu restent peu satisfaisantes. Cependant, et quels que soient les facteurs locaux, religieux ou profanes qui existaient à cette période, un facteur international a dû jouer. Il est possible que cette région ait pendant une certaine période produit un minéral rare et géographiquement localisé faisant à l'époque l'objet d'une grande demande bien audelà de la région. Les bronzes pourraient donc être les sous-produits d'activités d'extraction et de production destinées à l'exportation. Il est aussi suggéré qu'à cette époque, les principales routes du commerce ne traversaient peut-être pas le Sahara pour joindre l'Afrique du Nord musulmane, mais allaient plutôt en direction de l'Est à partir de la région du Lac Tchad jusqu'aux pays chrétiens du Nil. L'indice pourrait en être la forme de certains bronzes. De plus, des contacts avec l'Egypte, si pas indirectement avec des pays au-delà, sont démontrés par la présence à igbo-Ukwu d'un grand nombre de perles importées.
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7.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

8.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

9.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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10.
Recent research in the easternmost area of the Maadi village-site near Cairo has yielded new data concerning both the nature of the occupation and the economy of the predynastic communities in Lower Egypt. Imported objects and raw materials, together with specialized crafts, have already suggested the existence of well organized village life, enriched by trading activities and foreign contacts, somehow related to expanding spheres of prestige. These conclusions are now amplified by evidence for a wide range of fully domesticated animal and plant species, including the remarkable occurrence of the domestic ass.Evaluation of both the artefacts and their distribution leads us to distinguish different areas in the site and to relate them to a long development through time. It is now necessary that more detailed typological comparisons be undertaken.
Résumé Des recherches récentes dans la partie orientale du site de l'ancien village de Maadi près du Caire ont fourni de nouvelles données concernant la nature de l'occupation et l'économie des communautés pré-dynastiques en Basse Egypte. Des objets et des matières premières importés, ainsi que les artisanats spécialisés, avaient déjà suggéré que la vie au village était bien organisée, et enrichie par le commerce et par des contacts avec l'étranger, et que ceci était lié d'une manière quelconque à des sphères de prestige en expansion. Ces conclusions sont maintenant amplifiées par les évidences de toute une série d'espèces d'animaux et de plantes tout à fait domestiquées, y compris l'occurrence remarquable de l'âne domestiqué. L'évaluation des trouvailles et de leur répartition nous amène à distinguer de différentes zones d'activité dans le gisement, et les rattache à un long développement à travers le temps. Des comparaisons typologiques plus détaillées devraient maintenant être entreprises.
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11.
Recent research at Qasr Ibrim in Egyptian Nubia shows that, during the last 3000 years, this hill-top site commanding a long stretch of the Nile in the First Cataract region was usually controlled by polities centered further to the south — Napatan, Meroitic and Christian. Even when controlled by northerners — Greek, Roman or Turkish — is was still a frontier post. It is suggested that this evidence, showing that the frontier between the states dominating the Lower and Middle Nile was located as far north as the First Cataract, helps explain the lack of Mediterranean influence in the Upper Nile basin and, beyond, in sub-Saharan Africa. The Nubian Corridor was, in fact, blocked so far north that it is best described as a cul de sac.
Résumé Les recherches menées à Qasr Ibrim dans la Nubie égyptienne ces dernières années montrent que ce site, qui domine du sommet d'une colline une partie assez grande du Nil dans la région de la première cataracte, a été controlé pendant les trois derniers millénaires par une série de royaumes dont les centres se situaient plus au sud — royaumes de Napata et Meröe, royaume chrétien. Qasr Ibrim restait un poste frontière même quand il passait sous contrôle des peuples du nord — grecques, romains ou turques. Ces données, qui montrent que la frontière entre les royaumes qui dominaient le bas Nil et ceux qui dominaient le moyen Nil se trouvaient très au nord jusqu'à la première cataracte, peuvent nous aider à comprendre l'absence d'influences méditerranéennes dans le bassin de l'haut Nil et au délà, dans l'Afrique au sud du Sahara. A vrai dire, le coloir nubien était barré autant au nord qu'il mérite d'être considéré plutôt comme une impasse.
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12.
The East African Neolithic has been attributed to the migration of food- producing populations from the Sudan and Ethiopia. The migrants are thought to have entered the region via northern Kenya. Attempts have been made not only to reconstruct the routes taken by those migrants, but also to establish their linguistic and/or ethnic identity. These attempts have treated Neolithic pottery wares as discrete cultural entities and correlated them with specific linguistic and/or ethnic groups. The main problem with this approach is that it minimizes the contribution that contact and exchange or trade may have made to culture change. It also denies the groups concerned the dynamism that appears to have characterized their relationships with each other and with their environment. The present paper offers an alternative interpretation of the Neolithic phenomenon. The similarities and differences in material culture, like the ones that have been used to define the pottery wares in question, are reflections of the dynamic relationships that existed between the people responsible for its production and consumption. Production and consumption of the wares could have taken place among individuals living in a given area or among different villages or communities living as far apart as the Central Rift and the Lake Victoria basin.
Résumé Le néolithique de l'Est de l'Afrique a été attribué à des migrations de populations productrices de nourriture en provenance du Soudan et d'Ethiopie. On pense que ces migrations ont pénétré dans la région via le Nord du Kenya. Des tentatives ont été faites, non seulement pour reconstruire les routes empruntées par ces migrants, mais aussi pour établier leur identité linguistique et/ou ethnique. Ces tentatives ont utilisé les différents groupes de poterie néolithiques comme autant d'entités culturelles discrètes et les ont mises en relation avec des groupes linguistiques ou ethniques spécifiques. Le problème principal avec cette approche est qu'elle minimise la contribution que les contacts, les échanges ou le commerce ont pu avoid sur le changement culturel. Elle ne prend pas non plus en compte le dynamisme qui semble avoir caractérisé leurs relations entre elles et avec leur environnement. Le présent article tente d'offrir une interprétation alternative au phénomène néolithique. Ceci est réalisé en utilisant un modèle interprétatif que reconnaît que les humains ont des capacitiés intellectuelles et technologiques multiples et que les décisions et actions individuelles sont reflétées par les restes matériels des sociétés auxquels appartiennent les individus. Par conséquent, les similarités et les différences dans la culture matérielle comme celles qui ont été utilisées pour définir les groupes de poterie dont il est question sont le reflect de relations dynamiques qui existaient entre les peuples responsables de sa production et de sa consommation. La production et la consommation de ces groupes peuvent s'êtres produites parmi des individus vivant dans une région donnée ou parmi différents villages ou communautés vivant aussi éloignées l'une de l'autre que le Rift Central et le bassin du Lac Victoria.
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13.
This article briefly examines the consequences of the European presence on the Gold Coast, focusing on archaeological, ethnographic, and historical data from the African settlement of Elmina, Ghana. Documentary sources indicate that there was extensive change in sociopolitical institutions, economic relations, and other aspects of Gold Coast society in the centuries following the advent of European trade in the late fifteenth century. Archaeological survey and excavation of some 30 structures at Elmina similarly indicates a great deal of change in construction technology and material culture during the post-European contact period. However, examination of artefact patterning and associations indicates that in certain respects there was little change in terms of people's shared world view and belief systems. This picture can be contrasted with data from sites in other areas which may have experienced a great deal of culture change during the post-European contact period.
Résumé Cet article examine brièvement les conséquences de la présence européenne sur la Côte de l'Or, se penchant plus particulièrement sur les données archéologiques, ethnographiques et historiques du site d'Elmina au Ghana. Les sources documentaries indiquent qu'un changement de grande envergure affectant les institutions socio-politiques, les relations économiques et d'autres aspects de la société de la Côte de l'Or pris place durant les siècles suivant l'arrivée du commerce européen à la fin du quinzième siècle. Un survey archéologique et les fouilles d'environ 30 structures à Elmina, indiquent aussi qu'un changement étendu des techniques de construction et de la culture matérielle s'effectue après la période de contact européen. Toutefois, l'étude de la distribution et des associations des objets, indique que le système de croyance et l'idée du monde partagée par cette société furent peu affectés.Cette image peut être comparée avec les données obtenues sur d'autres sites ayant fait l'expérience d'un changement culturel important pendant la période postérieure aux contacts européens.
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14.
Instead of the usual assumption that the Sanga cattle of Africa arose from the crossing of taurine cattle (Bos taurus) from North Africa or the Middle East with humped cattle (Bos indicus) originating in the Indian sub-continent, it is argued that they are of ancient autochthonous origin and have come to be mixed with taurine and humped cattle probably only in the last few hundred years, which is why they share a mosaic of characters with the other two taxa. Much more work needs to be done on the osteology of Sangas and of cattle remains from archaeological sites in Africa, but if this model proves to be correct African cattle should be regarded as a taxon of equal status toBos taurus andBos indicus.
Résumé Au lieu de l'hypothèse habituelle selon laquelle le bétail Sanga africain provient du croisement du bétail taurin (Box taurus) d'Afrque du Nord ou du Moyen Orient avec le bétail à bosse (Bos indicus) dont l'origine est le sous-continent indien, nous pensons que ce bétail a une origine autochtone ancienne et que les croisements avec les bétails taurins et à bossus n'ont probablement eu lieu que durant les quelques dernières centaines d'années, ce qui explique pourquoi ils partagent une mosaïque de caractères avec les deux autres taxa. De nombreuses recherches restent à faire sur l'ostéologie des Sanga ainsi que sur les restes de bétail des sites archéologiques africains, mais si ce modèle s'avère correct, le bétail africain devra être regardé comme un taxon équivalent à celui deBos taurus etBos indicus.
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15.
A later Pleistocene Khoisan peopling of eastern Africa has been suggested by most researchers. The evidence cited consists of a few isolated crania, archaeological occurrences described as Wilton, rock paintings and scattered populations of present-day hunter-gatherers speaking languages with clicks and viewed as bearing some physical resemblances to living Khoisan groups. When these different lines of evidence are evaluated, it is clear that there is no strong basis for retaining the concept of later Pleistocene Khoisan populations in eastern Africa. Instead, the available data suggest that the later Pleistocene and Holocene eastern Africans were tall, linear peoples.
Résumé La plupart des chercheurs proposent que l'est de l'Afrique a été peuplé pendant le Pléistocène tardif par des gens Khoisan. Les témoignages citées par ces auteurs consistent en quelques crânes isolés, des mobiliers archêologiques catégorisés comme du type Wilton, des peintures rupestres, et la répartition actuelle de quelques groupes sociaux bien parsemés de chasseurs-cueilleurs qui parlent des langues avec des claquements et qu'on pense à ressembler physiquement à quelques peuples Khoisan d'aujourd'hui. Quand ces lignes de raisonnement sont évaluées individualement, il se manifeste qu'il n'y a aucune base solide qui peut nous justifier à garder l'hypothèse de la présence des gens Khoisan dans l'est de l'Afrique pendant le Pléistocène tardif. Au contraire, les données disponibles nous amènent à penser que les gens est-africains au Pléistocène tardif ainsi qu'à l'Holocene étaient de haute taille et mince.
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16.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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17.
Close examination of three early hominid crania from Africa yields taphonomic information long after they were excavated, and can contribute information relevant to their dating and taxonomic status. The condition of the bone and breaks and markings are reviewed in the Florisbad, Saldanha and Broken Hill (Kabwe) crania, indicating animal biting while the bone was still fresh in the first and last of these specimens. However, the damage to the base of the Kabwe cranium indicates that there may also have been breakage by hominids, including scorings near the margin of the squamous suture. No tooth marks are observed on the Saldanha cranium, but a depressed fracture and other lesions indicate hominid damage to fresh bone. Postmortem weathering indicates cranial thickness even greater than the original measurements, which implies a more primitive evolutionary status for Saldanha than for Kabwe. This view is supported by other morphological evidence, and suggests a considerably earlier date for Saldanha and a classification asHomo erectus.
Résumé L'examen à fond de trois crânes d'hominidés anciens de l'Afrique fournit des données taphonomiques longtemps après la fouille, et peut livrer informations quant à leur date et à leur statut taxonomique. L'état de l'os et les cassures et d'autres traces sont étudiés dans les crânes de Florisbad, Saldanha et Broken Hill (Kabwe); dans ceux de Florisbad et de Broken Hill on constate que l'os a été mordu par des animaux lorsqu'il était encore frais. Cependant les dégâts à la base du crâne de Kabwe—y compris des stries près du bord de la suture squameuse—indiquent qu'il peut aussi avoir été cassé par des hominidés.Il n'y a pas de traces de morsures sur le crâne de Saldanha, mais on y observe une fracture aplatie et d'autres lésions qui indiquent que l'os frais a été endommagé par des hominidés. A cause des altérations survenues après la mort, on constate que le crâne original était même plus épais que les premières mésures l'indiquaient, ce qui implique un statut évolutionnaire plus primitif pour Saldanha que pour Kabwe. Cette idée, renforcée par d'autres indices morphologiques, suggère que Saldanha est beaucoup plus ancien que l'on ne croyait, et doit être classifié commeHomo erectus.
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18.
The dominant model of relations between Zhizo- and Leopard's Kopje-ceramic using groups in northern South Africa, southwestern Zimbabwe, and eastern Botswana between AD 1000 and 1300 has been one of hostile invasion by Leopard's Kopje groups, who are thought to have forced Zhizo groups into eastern Botswana (Huffman, 1978, 1986a, 1996). Leopard's Kopje groups are thereupon thought to have set about the process of nascent state formation in the absence of any significant contact, other than violence or intermittent intermarriage (Denbow, 1982, 1983, 1986; Huffman, 1986a, 1996), with their Zhizo (i.e., Toutswe) neighbors to the west. More recently, Denbow (1990) has modified his position to include trade in exotic goods as a regular feature of Leopard's Kopje–Zhizo relations. Radiocarbon and ceramic data from the Iron Age site Leokwe Hill, in combination with the available ceramic data and a reanalysis of the ceramics from the site Schroda, indicate that current interpretations of the relations between Zhizo and Leopard's Kopje groups need to be reconsidered. New hypotheses are presented that posit that the nature and intensity of interaction between these groups was more far-reaching than is currently thought.Le modéle dominant des relations entre les groupes qui ont utilisés les ceramiques Zhizo et ceux qui ont utilisés celles de Leopard's Kopje dans le nord de l'Afrique du Sud, sud-est du Zimbabwe et l'est du Botswana entre AD 1000 et 1300, a été l'invasion hostile par les groupes de Leopard's Kopje, qui, l'on pense avoir forcé les groupes Zhizo dans l'est du Botswana (Huffman, 1978, 1986a, 1996). Les groupes de Leopard's Kopje sont pensés avoir établi le procédée de l'état de formation (nascent) en l'absence de tous contacts significatifis, autre que la violence ou des mariages consanguins intermittents (Denbow, 1982, 1983, 1986; Huffman, 1986a, 1996), avec leur Zhizo (c.à.d. Toutwse) voisins à l'ouest. Récemment, Denbow (1990) a modifié sa position pour inclure le commerce des produits exotics comme une caractéristique réguliere des relations entre Leopard's Kopje et Zhizo. Le radiocarbonne et les données en céramique du site de l'âge de fer Leokwe Hill, en combinaison avec les données de céramiques disponibles et une ré-analyse des céramiques du site Schroda, indiquent que les interprétations des relations entre Zhizo et les groupes de Leopard's Kopje doivent être reconsidêrées. Des nouvelles hypothéses sont présentées qui proposent que la nature et l'intensité des interactions entre ses groupes étaient d'ptune portée bien plus grande que nous le pensons actuellement.Sashi-Limpopo Archaeological Project  相似文献   

19.
Assessment of radiocarbon measurements from the central Sudan provides the following calendrical age estimates:Early Khartoum >7000-ca 5000 BC.Early Neolithic Groupca 4900-4450 BCMiddle Neolithic Groupca 4400-3800 BCLate Neolithic Groupca 3500-2700 BCThese estimates indicate that the early Neolithic settlements in the central Sudan were established at about the same time as those at Merimda Beni Salama in the Nile Delta and the Fayum. The Predynastic sites of Upper Egypt are later in age. The Badarian at Hemamieh is probably coeval with Shaheinab. Available dates on the Badarian are younger than those for some Khartoum Neolithic sites, but the Badarian is poorly dated.
Résumé L'evaluation de datations au radiocarbone du Soudan Central a fourni les âges absolus suivants:Early Khartoum >7000 c. 5000 BCGroupe du Néolithique inférieur c. 4900-4450 BCGroupe du Néolithique moyen c. 4400-3800 BCGroupe du Néolithique supérieur c. 3500-2700 BCCes résultats indiquent que les habitations néolithiques au Soudan Central furent établies à peu près à la même époque que celles à Merimda Beni Salama dans le Delta du Nil et au Fayoum. Les gisements prédynastiques de la Haute Egypte sont plus récents. Le Badarien à Hemamieh est probablement contemporain de Shaheinab. Les datations disponibles pour le Badarien sont plus récentes que celles de certains gisements néolithiques de Khartoum, mais le Badarien est mal daté.
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20.
Four models of modern human origins were described and discussed by Aiello (Aiello, L. (1993) American Anthropologist 95: 73–96. She distinguished them as the African Replacement Model, the African Hybridization and Replacement Model, the Assimilation Model, and the Multiregional Model. All of these models have been modified and refined following further research and development by their proponents, but this is now leading to some confusion in testing the models. Whereas developments of the African Replacement Model have often been given distinct names, quite different versions of the Multiregional Model are still referred to under the original name. New ways of distinguishing the models are proposed, and the suggestion is made that some versions of the Multiregional Model should now be subsumed under the Assimilation Model, while others could perhaps be known under the term Multiregional Model 2.Quatre modèles représentant les origines de l'homme moderne furent décrits et discutés par Aiello (1993): le Modèle Africain de Remplacement (African Replacement Model), le Modèle Africain d'Hybridisation et de Remplacement (African Hybridization and Replacement Model), le Modèle d'Assimilation (Assimilation Model) et le Modèle Multirégional (Multiregional Model). Suite à de nouvelles recherches et de nouveaux développements, chacun de ces modèles a été modifié et affiné par ses partisans, ce qui, à ce jour, a mené à une certaine confusion lorsqu'il s'agit de tester ces modèles. Alors que les développements issus du Modèle Africain de Remplacement ont souvent reçu des noms à part, plusieurs variantes, toutes plutôt différentes les unes des autres, du Modèle Multirégional ne sont toujours connues que par leur nom d'origine. Ici je présente de nouvelles propositions ayant comme but de faciliter la distinction entre différents modèles. Je propose également que certaines variantes du Modèle Multirégional devraient à présent être comprises dans le Modèle d'Assimilation, tandis que d'autres pourraient peut-être prendre le nom de Modèle Multirégional 2 (Multiregional Model 2).  相似文献   

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