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1.
This article sets forth the preliminary results of reconnaissance in a totally desertic part of the Malian Sahara, located between 19°30 N. to 22° N. and 0° to 6° W. Pleistocene sites with Acheulian and Aterian materials and Holocene sites are abundant and very rich. The latter, dating from 10,000 to 3500 bp, are correlated with two lacustrine periods and are associated with Sahelian floras and faunas. Burials have given well-preserved human remains. The economy included fishing, hunting and the collection of grass seeds. Certain sites raise the question of the chronological relationship between the Epipalaeolithic and the Neolithic.
Résumé Cet article présente les résultats préliminaires de la prospection d'une zone totalement désertique du Sahara malien, située entre 19°30 à 22° N. et 0° à 6° W. Les sites préhistoriques pléistocènes (acheuléens, atériens) et holocènes y sont très nombreux et très riches. Les plus récents (10,000 à 3500 bp), qui correspondent à deux périodes lacustres, sont associés à des faunes et des flores sahéliennes. Des sépultures ont livré des restes humains bien conservés; ces populations vivaient de la pêche, de la chasse et de la cueillette des graminées. Certains sites posent nettement le problème des relations chronologiques entre l'épipaléolithique et le néolithique.
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2.
This is the first attempt at synthesis of archaeological research conducted in Gabon between 1982 and 1988. Middle Stone Age, Late Stone Age, Neolithic, Early and Late Iron Age data are discussed in the context of earlier discoveries and of current research in Central Africa as a whole.Though the Middle Stone Age remains undated, its earliest component clearly preceded 40,000 bp. The Late Stone Age is datedca 9000–2500 bp, with an early Neolithic perhaps as old as 5000–3000 bp. A late Neolithic is firmly dated to 2600–2200 bp. Iron smelting is shown to have begunca 2500 bp in inland areas of Gabon andca 2000 bp near the coast.
Résumé On présente ici une première synthèse des données scientifiques obtenues au cours des travaux de 1982–1988 au Gabon. Les éléments relatifs au Middle Stone Age, au Late Stone Age, au Néolithique, aux Ages du Fer ancien et récent sont présentés. A chaque fois une discussion s'engage les mettant en relation avec le contexte global de l'Afrique Centrale ainsi qu'avec les découvertes antérieures.Quoique le MSA reste mal daté, il peut être démontré que les plus vieux outils ont au moins 40,000 ans d'âge. Le LSA quant à lui est circonscrit à la périodeca 9000–2500 bp, alors qu'un Néolithique ancien est peut-être situé vers 5000–3000 bp. Un Néolithique final est, lui, correctement daté vers 2600–2200 bp. Enfin, la fonte du fer est attestée à l'intérieur des terres dès 2500 bp alors que le littoral ne semble pas connaitre cette technologie avant 2000 bp.
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3.
Assessment of radiocarbon measurements from the central Sudan provides the following calendrical age estimates:Early Khartoum >7000-ca 5000 BC.Early Neolithic Groupca 4900-4450 BCMiddle Neolithic Groupca 4400-3800 BCLate Neolithic Groupca 3500-2700 BCThese estimates indicate that the early Neolithic settlements in the central Sudan were established at about the same time as those at Merimda Beni Salama in the Nile Delta and the Fayum. The Predynastic sites of Upper Egypt are later in age. The Badarian at Hemamieh is probably coeval with Shaheinab. Available dates on the Badarian are younger than those for some Khartoum Neolithic sites, but the Badarian is poorly dated.
Résumé L'evaluation de datations au radiocarbone du Soudan Central a fourni les âges absolus suivants:Early Khartoum >7000 c. 5000 BCGroupe du Néolithique inférieur c. 4900-4450 BCGroupe du Néolithique moyen c. 4400-3800 BCGroupe du Néolithique supérieur c. 3500-2700 BCCes résultats indiquent que les habitations néolithiques au Soudan Central furent établies à peu près à la même époque que celles à Merimda Beni Salama dans le Delta du Nil et au Fayoum. Les gisements prédynastiques de la Haute Egypte sont plus récents. Le Badarien à Hemamieh est probablement contemporain de Shaheinab. Les datations disponibles pour le Badarien sont plus récentes que celles de certains gisements néolithiques de Khartoum, mais le Badarien est mal daté.
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4.
Recent research at the remote depression of Bir Tarfawi, in the hyperarid Eastern Sahara, has revealed a sequence of four, or possibly five, Pleistocene lake-episodes. The first lake was probably associated with a Late Acheulean and the remaining four with a Middle Palaeolithic, specifically with a Denticulate Aterian, industry. Lithostratigraphic, macrofaunal and microfaunal analyses have permitted a quite detailed reconstruction of the local environment during the periods of the last two lakes; during the period of the fourth lake, local rainfall may have beenca 600 mm per annum but was rather less during the time of the fifth lake. Investigation of some of the many associated archaeological sites is revealing a complex pattern of specialized site-types, including living-sites, primary and secondary workshops and primary and secondary butchery-sites. Specific types of sites are closely related to the local landscape. Preliminary analyses from several experimental methods of chronometric dating suggest that almost all of the sequence falls within the Middle Pleistocene.
Résumé Des recherches récentes dans la dépression isolée de Bir Tarfawi dans le Sahara oriental hyperaride, ont révélé une séquence de quatre, ou peut être cinq, épisodes lacustres au Pléistocène. Le premier lac est probablement associé à un Acheuléen final, et les quatre autres au Paléolithique moyen, et spécifiquement à une industrie atérienne denticulée. Des analyses de lithostratigraphie, de macrofaune et de microfaune ont permis de reconstruire d'une façon assez détaillée l'environnement local pendant les périodes des deux derniers lacs. Pendant la période du quatrième lac, la pluviosité locale était peut être deca 600 mm par an, mais elle était un peu moindre à lépoque du cinquième lac. Les recherches dans certains des nombreux gisements archéologiques associés nous révèlent un schéma complexe de sites spécialisés, y compris des sites d'habitat, des ateliers primaires et secondaires, et des lieux de dépeçage primaires et secondaires. Certains types de gisement sont étroitement liés au paysage local. Des analyses préliminaires par plusieurs méthodes expérimentales de datation chronométrique suggèrent que presque toute la séquence appartient au Pléistocène moyen.
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5.
This paper examines the dynamics of the Neolithic occupation of the Dhar Tichitt region, southeastern Mauritania. On the basis of certain ecological constants, the growth cycle of plants, animal behaviour and patterns of settlement, the Dhar Tichitt Neolithic system appears to have been scheduled according to the seasonal availability of the most critical resource: water.
Résumé Dans cet article, nous nous attelons à l'analyse de la dynamique de l'occupation néolithique de la région du Dhar Tichitt, située en Mauritanie sud-orientale. Cette analyse est effectuée à partir de certaines constantes du milieu écologique, du cycle de croissance des plantes exploitées, du comportement des animaux chassés et élevés et enfin de la structure de l'implantation de sites. Sous ces differents éclairages, le système néolithique du Dhar Tichitt paraît s'être structuré par rapport à la disponibilité saisonnière de l'eau, qui était alors la ressource critique.
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6.
This paper is dedicated to Prof. Dr K. U. Leistikow on the occasion of his 60th birthday.The investigation of 320 charcoal samples from prehistoric sites in the Eastern Sahara furnishes evidence for a fundamental change of vegetation during the early and middle Holocene. Two ecological regions can be distinguished. In Egypt desert formations prevailed, consisting of the same vegetation elements as today though with a wider distribution, while in the Sudan tropical savannas occurred. Around 7000 bp the Sahelian vegetation zones were 500–600 km north of their present range, and 300–400 km around 5700 bp. The Sudanian flora of Fachi-Dogonboulo in Niger, datedca 7000 bp, points to a simultaneous shift of the vegetation zones in the Eastern and in the Central Sahara. With increasing desiccation from 5200 bp onwards, the savanna formations retreated to the south until their present position was reached by 3300 bp.
Résumé L'étude de 320 échantillons de charbons de bois provenants de sites préhistoriques du Sahara Oriental, met en évidence un changement important dans la végétation au cours de l'Holocène ancien et moyen. Deux régions écologiques peuvent être distinguées: en Egypte les formations désertiques étaient prédominantes, comprenant les mêmes éléments qu'aujourd'hui mais avec une plus large extension. A la même époche le Soudan connaissait une végétation de savanes tropicales. Autour de 7000 ans bp, la zone de végétation sahélienne se situait à 500–600 km plus au nord de sa limite actuelle, et vers 5700 ans bp elle était encore à 300–400 km. La flore soudanienne de Fachi-Dogonboulo, Niger, datée de 7000 ans bp, indique un déplacement simultané des zones de végétation au Sahara Oriental et Central. Sous l'effet d'un assèchement croissant à partir de 5200 ans bp, les formations de savane se sont retirées vers le sud, jusqu'à atteindre leur situation actuelle vers 3300 ans bp.
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7.
Pottery containing abundant organic and siliceous particles of the swamp-dwelling spongeEunapius nitens occurs at occupation sites dated between 3500 and 1500 bp flanking the White Nile in central Sudan. Megascleres, gemmoscleres and gemmules in vast numbers are well preserved in the pottery, megascleres forming the temper. Common features of sponge pottery are: fine paste; wall thickness in the range 4 to 9 mm; internal scoring; deepish, steep-walled bowls with straight or slightly everted rims often decorated with chevron pattern; and a variety of well executed external decoration by incision, rouletting and stamping. Thorough study of the distribution, economy, affinities and chronology of the peoples practising this swamp-based technology is yet to be made. The pottery forms part of a wider tradition in the Nile basin.
Résumé Dans des sites d'habitat de 3500 à 1500 bp, le long du Nil Blanc, au Soudan central, se trouve une céramique contenant de nombreuses particules organiques et silicieuses de l'épongeEunapius nitens, qui habite les marais. D'énormes quantités de mégasclères, de gemmosclères et de gemmules sont bien préservées dans la céramique—les mégasclères en forment le dégraissant. Parmi les traits communs de la céramique à éponge sont: une pâte fine; des parois épaisses de 4 à 9 mm; des stries internes; des bols profonds à parois raides avec des bords droits ou un peu éversés, souvent décorés de chevrons; et une variété de décors externes bien exécutés par des incisions, des roulettes ou des estampages. On n'a pas encore fait une étude approfondie de la répartition, de l'économie, des affinités et de la chronologie des peuples qui pratiquaient cette technologie des marais. Cette poterie fait partie d'une tradition plus large dans le bassin du Nil.
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8.
Résumé Au Gabonca 2400–2300 BP, les dernières cultures néolithiques des savanes de la moyenne vallée de l'Ogooué, succombent face à une rapide expansion de populations porteuses de fer. Cet événement, identifié sur des critères céramologiques et des mesures radiométriques, paraît situer l'arrivée des premiers métallurgistes — probablement Bantu — sur les berges de l'Ogooué.
In the savannas of the middle stretches of the Ogooué valley in Gabon,ca 2400–2300 bp, the last neolithic cultures succombed to the rapid expansion of ironworking populations. This event, identified on ceramic criteria and radiocarbon dates, may represent the arrival of the first Bantu ironworkers on the banks of the Ogooué.
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9.
The two type-sites of the Khartoum Mesolithic and Khartoum Neolithic (Khartoum Hospital and Shaheinab), in Central Sudan, were excavated at the end of the 1950s. The ceramics recovered from these sites, characterized by wavy line and dotted wavy line decoration, formed a cornerstone for identifying Mesolithic–Neolithic components along the Central Nile and across the Sahara-Sahel Belt. Moreover, they formed a model for an evolutionary sequence, and suggested a level of cultural uniformity for the Nilo-Sahara-Sahel Belt from the eighth to the fourth millennia BC. This paper examines these and other related issues.L'hôpital de Khartoum et Shaheinab, qui se situe au centre du Soudan, sont les deux sites archéologiques principaux de la civilisation mésolithique et néolithique. Ces deux sites furent découverts et excavés au cours des années 1950s. Les céramiques découvertes dans ces deux sites se caractérisent par leurs lignes continues et ondoyantes, et d'autres ondoyantes mais discontinues. Ces céramiques représentent la pierre angulaire pour les caractéristiques de la période mésolithiqueet néolithique dans le centre de la vallée du Nile et á travers la zone du Sahara-Sahel. De plus, elles ont constitué un modèle pour l'évolution et ont suggéré une certaine uniformité culturelle entre la vallée du Nile, le Sahara et le Sahel de huitième au quatrième millénaires avant J.-C. Cette recherche traite donc de ces points et d'autres aspects s'y rapportant.  相似文献   

10.
The debate surrounding the origins of the Egyptian Neolithic and Predynastic has, over the past few decades, come to rest on the neighboring Saharan region as the most likely source of influence. Although there is some evidence for the appearance of domesticates in the Western Desert before food-producing communities emerged in Upper and Lower Egypt, there is a strong case for the introduction of Saharan artifacts and technologies to the Nile Valley communities. This paper examines this argument in relation to the Western Desert region of the Dakhleh Oasis (South Central Egypt). The intent of the paper is to recognize the role Dakhleh played in the cultural development of the Egyptian Neolithic and Predynastic and whether this can clearly be seen through artifact parallels. Les parties débattant des origines de l'Egypte néolithique et pré-dynastique ont fini, au cours des dernières décennies, par conclure que la région voisine du Sahara était leur source d'influence la plus vraisemblable. Bien que certaines preuves existent de l'apparition de plantes et d'animaux domestiques dans le Désert occidental avant l'émergence de communautés produisant des aliments en Basse et Haute Egypte, de solides arguments émergent en faveur de l'introduction d'objets fabriqués et de technologies dans les communautés de la Vallée du Nil. L'exposé en question examine cet argument par rapport à la région du Désert occidental de l'Oasis de Dakhla (centre-sud de l'Egypte). Le but de cet exposé est de reconnaître le rôle de Dakhla dans le développement culturel de l'Egypte néolithique et pré-dynastique et de déterminer si oui ou non celui-ci peut clairement être identifié, de façon parallèle, au travers d'objets fabriqués.  相似文献   

11.
Résumé L'article propose une classification générale de la poterie ancienne décorée à la roulette, dans la Région des Grands Lacs et en Afrique de l'Est. Un premier groupe de poterie, appelé ici W, caractérisé principalement par la roulette torsadée, est produit vraisemblablement dèsca 800 AD; cette poterie pourrait avoir été diffusée de la région Est vers la zone interlacustre par le sud du Lac Victoria. L'hypothèse que le groupe W est associé à des populations de langues sud-nilotiques permet de reconsidérer les débuts du Deuxième Age du fer en Afrique interlacustre. Cet article suggère l'installation de groupes de pasteurs sud-nilotes dans la zone interlacustre; leurs rapports avec les autochtones sont examinés, en particulier le cas du Rwanda.Le groupe X (roulette nouée) apparaît en Ouganda dans les premiers siècles du second millénaire, suivi du groupe Y (roulette torsadée fine); à partir de 1500 AD, ils remplacent le groupe W dans la région interlacustre. Dans cet ensemble céramique, que l'on sait associé à des groupes de langues ouest-nilotiques venus du nord, une distinction est suggérée entre trois styles régionaux, qui sont mis en relation avec l'histoire des migrations de leurs producteurs.
This article offers a general classification of the ancient roulette-decorated pottery from the Great Lakes Region and from East Africa. A first pottery group, here named W, mainly characterised by twisted string roulette, appears as early asca 800 AD; this pottery might have been introduced to the interlacustrine area from the east and south of Lake Victoria. The hypothesis that the W group was associated with speakers of Southern-Nilotic languages is relevant to our view of the beginning of the Late Iron Age in interlacustrine Africa. This article suggests the establishment of pastoralist groups of Southern-Nilotic speakers in the interlacustrine zone and also examines their contacts with local populations, giving special attention to Rwanda.The X group (knotted string roulette) appears in Uganda in the first centuries of the second millennium, followed by the Y group (thin twisted string roulette). Fromca 1500 AD these groups replaced the W group in the interlacustrine area. In these last groups, which are associated with Western-Nilotes coming from the north, a distinction is made between three regional styles which are further correlated with the history of their makers.
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12.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

13.
Different raw material procurement strategies are attested in the limestone stretch of the Egyptian Nile Valley. Chert cobbles from Nile terraces or from their derived deposits were generally used. Four main procurement strategies have been recognized. During the Middle Palaeolithic intensive surface collecting was the most common strategy. However, open quarrying techniques involving features such as ditches are also attested. True subterranean mining with vertical shafts and underground galleries was known by the Early Upper Palaeolithic at 35,000 years BP. Extracted nodules were processed at the procurement sites. The study of the reduction strategies has proved valuable in gaining a better understanding of the Palaeolithic sequence of the Egyptian Nile Valley.
Résumé Différentes stratégies d'obtention de matière première ont été reconnues dans la zone calcaire de la vallée du Nil égyptien. En majorité, ce sont des galets de chert qui ont été utilisés. Les stratégies d'obtention se classent en quatre types. Au Paléolithique Moyen la méthode la plus fréquente était la collection intensive en surface. Mais il y eut aussi une technique d'exploitation en profondeur, à l'aide de tranchées à ciel ouvert. Une véritable extraction minière avec des puits verticaux et des galleries souterraines fut pratiquée dès le début du Paléolithique Supérieur, vers 35.000 BP. Les galets extraits étaient réduits sur les sites d'exploitation mêmes. L'étude des processus de réduction nous a permis de mieux comprendre la séquence paléolithique de la vallée du Nil égyptien.
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14.
Examination of African barbed bone points recovered from Holocene sites provides a context to interpret three Late Pleistocene occurrences from Katanda and Ishango, Zaire, and White Paintings Shelter, Botswana. In sites dated to ca. 10,000 BP and younger, such artifacts are found widely distributed across the Sahara Desert, the Sahel, the Nile, and the East African Lakes. They are present in both ceramic and aceramic contexts, sometimes associated with domesticates. The almost-universal presence of fish remains indicates a subsistence adaptation which incorporates a riverine/lacustrine component. Typologically these points exhibit sufficient similarity in form and method of manufacture to be subsumed within a single African tradition. They are absent at Fayum, where a distinct Natufian form occurs. Specimens dating to ca. 20,000 BP at Ishango, possibly a similar age at White Paintings Shelter, and up to 90,000 BP at Katanda clearly fall within this same African tradition and thus indicate a very long-term continuity which crosses traditionally conceived sub-Saharan cultural boundaries. L'étude des pointes barbelées en os del' Holocène africaine fournit un contexte à l'interprétation de trois gisements du Pleistocene superieure, notamment, Katanda et Ishango (en République Démocratique du Congo, ex-Zaire), et White Paintings Shelter au Botswana. Cettes pointes ont une distribution étendue à travers le Sahara, le Sahel, le Nil et les grands lacs du rift d'Afrique orientale, notamment sur certains sites datant de 10,000 ans avant notre ère. Ces pointes sont associées avec des types d'industries céramiques ou acéramiques, avec ou sans squelettes de faune domestiques, mais toujours avec des squelettes de poisson, indiquent une subsistence comportant des ressources lacustres ou riveraines. Sur le plan typologique, cettes pointes présentent une telle ressemblance, soit de forme, soit de manufacture, qu'elles constituent une tradition unique africaine. Au Fayum en Egypte, les formes des pointes rappellent, par contre, plutôt les series Natufiennes du Levant. Les pointes barbelées d'Ishango, datant de 20,000 ans environ, celles de White Paintings Shelter, datant probablement de la même époque, et celles de Katanda datant au maximum de 90,000 ans BP, appartiennent à la même tradition africaine, ce qu montre ainsi l'existence d'une continuité de très longue durée àtravers les frontières culturelles traditionelles.  相似文献   

15.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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16.
The external connections of Igbo-Ukwu, in the forest belt of south-eastern Nigeria, around the ninth century AD, are demonstrated by the large numbers of glass beads, apparently of Egyptian manufacture, and are implicit in the rich collection of bronze artwork that lacks known prototypes. Although the metals were mined locally, the labor and the expert alloying and casting of numerous ritual or ornamental objects indicate an accumulation of wealth derived from distant trade of special commodities. The identification of these commodities, however, and the routes by which they—and in the reverse direction the beads—would have traveled, remain unsatisfactorily resolved. A preference is repeated here for an eastern Sahelian routing from Lake Chad to the Middle Nile kingdoms (Alwa and Makuria/Dongola), then at their height, thus avoiding the Sahara. The alternative direction suggested recently (Insoll, T., and Shaw, T. (1997) Gao and Igbo-Ukwu: Beads, interregional trade and beyond. African Archaeological Review, 14:9–23), through Gao on the Niger bend and across the west-central Sahara, seems less likely on grounds of geography and chronology. The essential items of merchandise deriving from Igbo-Ukwu are unlikely to be those commonly assumed for sub-Saharan Africa, notably ivory and slaves, but would have been more local and precious, presumably metals. The bronzes stored and buried at Igbo-Ukwu might be regarded as by-products of this export activity. Demands in the Nile Valley for tin (for bronze alloying) and for silver, both of which occur in the ores exploited, deserve consideration. A call is made for comparative study of metals and their uses between the Middle Nile and West Africa in the first millennium AD—a neglected subject owing to the intellectual gulf that persists between Africanists and Egyptologists.Les contacts extérieurs d'Igbo-Ukwu, dans la région forestière du sud-est du Nigéria, vers le 9e siècle après J. C., sont indiqués par les très nombreuses perles de verre, apparemment de fabrication Égyptienne. Ils sont aussi suggérés par un ensemble remarquable d'objects en bronze dont on ne connaît aucun prototype. Bien que les métaux proviennent de la région, le travail, et aussi l'alliage et la fonte très spécialisés de nombreux objects rituels ou décoratifs, indiquent une accumulation de richesse résultant du commerce à longues distances de produits recherchés. Pourtant, l'identification de ceux-ci, et les itinéraires pour leur transport—et, en sens inverse, ceux des perles—restent hypothétique. Nous réiterons une préférence pour une route est-Sahelien, de Lac Tchad jusqu'aux royaumes du Nil Moyen (Alwa et Makouria/Dongola), à leur apogée à cette époque, et donc évitant le Sahara. L'autre direction, proposée récemment (dans cette revue par Insoll et Shaw), via Gao sur la boucle du Niger et à travers le Sahara ouest-central, semble moins probable pour les raisons géographiques et chronologiques. Les objets principaux de ce commerce qui provenaient d'Igbo-Ukwu ne seraient pas ceux qui sont normalement imaginés pour l'Afrique Sub-saharienne, notamment l'ivoire et les esclaves; ce seraient des produits plus locaux et précieux, vraisemblablement des métaux. Les bronzes enterrés à Igbo-Ukwu pourraient être les sous-produits de cette activité destinée à l'exportation. La demande dans la vallée du Nil pour l'étain (pour l'alliage du bronze) et pour l'argent, qui existent tous les deux dans les minerais du sud-est du Nigéria, mérite considération. Il faut qu'on fasse des recherches comparatives sur les métaux et leurs emplois entre le Nil Moyen et l'Afrique de l'Ouest durant le premier millénaire après J. C.—un sujet négligé à cause du fossé intellectuel qui persiste entre les études Africanistes et Égyptologiques.  相似文献   

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Archaeological and ethnohistorical investigations were conducted in the area around the town of Ngala in Borno State, Nigeria, situated immediately south of Lake Chad. Four mounds were excavated. Comparison with data from excavations and ethnohistorical studies provided a fairly complete picture of the settlement and cultural history of that most environmentally peculiar region. It is now evident that Late Neolithic settlers established themselves around 1000 CalBC in permanent hamlets with year-round occupation and a subsistence based not only on gathering, hunting and fishing but also on cattle herding and probably the cultivation of domesticated Pennisteum. Certainly, cultivation is attested after the onset of the Early Iron Age around 500 CalBC. Although from then on we see a steady development toward further complexity with the establishment of compact villages during the middle of the first millennium CalAD and the foundation of local principalities during the fourteenth century AD it was not before the fifteenth to sixteenth centuries AD, that the mode of subsistence and the political and societal structure typical for the area today was fully developed. By then, the wider region came under control of the Borno Empire, a situation which lasted up to the early colonial days at the onset of the twentieth century. Des recherches archéologiques et ethnohistoriques ont été conduites dans les environs de la ville de Ngala (état du Borno, Nigeria) située immédiatement au sud du lac Tchad. Quatre tertres d'habitat ont été fouillés. La comparaison des matériaux excavés avec ceux des fouilles antérieures, complétée par des analyses ethnohistoriques, a permis de reconstituer de manière assez complète l'évolution du peuplement et la succession des cultures dans cette zone qui se distingue par des conditions environnementales particulières. Il est clair aujourd'hui que les colons du Néolithique récent se sont installés, vers 1000 CalBC, dans des hameaux permanents occupés toute l'année, et que leur subsistance n'était pas uniquement basée sur la chasse, la collecte et la pêche, mais probablement aussi sur l'élevage et la culture du Pennisteum domestique. Certainement l'agriculture est attestée au début de l'Age du fer Ancien, vers 500 CalBC. A partir de ce moment, on observe certes une évolution régulière et soutenue vers plus de complexité, avec l'apparition de gros villages dans le courant du premier millénaire CalAD, et la fondation, au quatorzième siècle, de principautés locales, mais ce n'est pas avant les quinzième et seizième siècles que le mode de subsistance et la structure socio-politique qui caractérisent cette région aujourd'hui se sont véritablement mis en place. A partir de ce moment, la zone à laquelle appartient notre domaine d'étude a été intégrée dans l'empire du Bornou, une situation qui s'est maintenue jusqu'au début de la période coloniale, à l'aube du vingtième siècle.  相似文献   

18.
The technology of the end products i.e. blades and points in Late Pleistocene stone artefact assemblages from Klasies River, South Africa, and the Nile Valley, Egypt, are compared. The comparison includes univariate and multivariate analysis of metrical attributes enhanced by graphical biplot displays. The end products in these assemblages are either dominantly points or blades and this is related to the core reduction strategy adopted. The MSA 11 from Klasies River and the Nubian Complex industry from the Nile Valley are point industries made in the Levallois tradition, while the MSA 1 from Klasies River and the Taramsan from the Nile Valley may be non-Levallois or adapted Levallois blade industries. Dating of the assemblages shows the changes between dominant core reduction strategies are sequential and time restricted in both South and North Africa. It is concluded that variability of the same kind occurs in Middle Stone Age and Middle Palaeolithic assemblages south and north of the Sahara in the early Late Pleistocene.Dans cet article, les technologies des produits recherchés, des lames et des pointes, pour certains ensembles lithiques de Klasies River, Afrique du Sud et la Vallée du Nil, Egypte, sont comparées. Cette comparaison implique des analyses univariées et multivariées de variables métriques biplot. Les produits recherchés sont bien des pointes que des lames, selon les stratégies dexploitation adoptées. Le MSA II de Klasies River et le Complexe nubien de la Vallée du Nil sont des industries à pointes issues de la tradition Levallois. Par contre, le MSA I de Klasies River et le Taramsien de la Vallée du Nil évoquent une technologie de production non-Levallois ou Levallois modifiée. Les éléments de datation disponibles indiquent que les changements dans la prépondérance des stratégies dexploitation senchaînent dans une séquence chronologique bien identifiable, aussibien dans lAfrique du Sud que lAfrique du Nord. On arrive à la conclusion quune variabilité du même caractère est attestée dans les ensembles du Middle Stone Age et du Paléolithique moyen au sud et au nord du Sahara, pendant le Pléistocène supérieur ancien.  相似文献   

19.
The Aterian has a huge geographic extension covering all North Africa, although it was not supposed to exist in the mountain ranges of the central Sahara. Its chronological context is not yet definitively determined and it is still difficult to say whether the Aterian tools are technological, typological, functional, or chronological markers. Recent surveys and excavations at Uan Tabu and Uan Afuda, two rock-shelters located in the central Tadrart Acacus, provide the first chronological, environmental and archaeological indications on this Late Pleistocene human occupation in the area. The lack of organic matter led us to perform OSL and TL analyses on sand. L'Atérien a une énorme extension géographique qui couvre tout le Nord de l'Afrique, tandis qu'on ne pensait pas qu'il existait dans les montagnes du Sahara central. Son contexte culturel n'est pas définitivement déterminé et il est encore difficile de dire si les instruments atériens sont des indicateurs téchnologiques, typologiques, fonctionels ou culturels. Reconnaissances et fouilles récentes à Uan Tabu et Uan Afuda, deux abris situés dans l'Acacous central, fournissent les premières indications sur la chronologie, l'environnement et l'archéologie de l'Atérien dans la région. L'absence de la substance organique, nous a porté à faire des déterminations OSL et TL sur les sables.  相似文献   

20.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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