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1.
Despite the antiquity of domestic cattle in the Sahara-Sahel, archaeological evidence from two sub-Saharan regions indicates that the first pastoralist colonization of sub-Saharan Africa may not have proceeded so smoothly as modern appearances suggest. The first appearance of cattle-based economies seems to have been delayed by as much as a thousand years after the first appearance of small stock, in both eastern and southern Africa. This article reviews the relevant archaeological evidence and argues that the lag in successful introduction of cattle stems from new animal diseases encountered by pastoral colonists entering biogeographic zones south of the Sahel. Diseases that are often fatal to cattle, including wildebeest-derived malignant catarrhal fever (WD-MCF), East Coast fever (ECF), foot-and-mouth disease (FMD), and Rift Valley fever (RVF), as well as trypanosomiasis, are described as probable barriers to the early entry of cattle-based economies into these regions.Malgré l'antiquité des animaux domestiques dans le Sahara-Sahel, les données archéologique de deux régions subsahariennes indiquent que les premières colonisations pastoraux des zones au sud du Sahel ne se propagèrent pas aussi promptement que suggèrent les apparences actuelles. En l'Afrique orientale et en l'Afrique du sud, l'apparition d'économies basées sur l'élevage des gros bovins paraît être retardée de quelque mille ans par rapport à l'apparition des petits ruminants domestiques dans ces mêmes régions. L'article recense les données archéologiques pertinentes et propose que le délai de l'introduction effective des gros bovins fût causée par des nouvelles maladies vétérinaires rencontrées par les premiers colonisateurs pastoraux entrant dans les zones biogéographiques au sud du Sahel. Des maladies fréquemment fatales aux gros bovins, telle que le coryza gangreneux, la thèleriose, la fièvre aphteuse, l'arbovirus des Bunyaviridae, aussi bien que la trypanosomiase, sont proposées comme des obstacles probables à la diffusion des économies à gros bovins dans ces régions.  相似文献   

2.
Denmark was one of several European nations which vied for West African trade between the seventeenth and nineteenth centuries. The Danes established more than thirty forts, trading lodges and plantations on the Gold Coast, and they played an important role in the development of African-European relations in the region. Traces of Danish outposts and the results of recent excavations at the Daccubie plantation are briefly surveyed. The available data illustrate the circumscribed nature of African-European interaction on the Gold Coast, providing insight into the context in which culture change occurred within African populations. The archaeological record of European expansion in Africa and elsewhere is used to illustrate the varying nature of European contact.
Résumé Le Danemark était l'une des nombreuses nations européennes qui rivalisaient pour le commerce avec l'Afrique occidentale entre le dix-septième et le dix-neuvième siècles. Les Danois établirent plus de trente forts, comptoirs commerciaux et plantations sur la Côte de l'Or, et jouèrent un rôle important dans le développement des relations afro-européennes dans la région. Des traces de postes coloniaux danois et les résultats d'excavations récentes à la plantation de Daccubie sont brièvement passés en revue. Les données existantes illustrent le caractère limité de l'interaction afro-européenne sur la Côte de l'Or, donnant des indications sur le contexte dans lequel un changement culturel se produisit parmi les populations africaines. Les témoignages archéologiques de l'expansion européenne en Afrique et ailleurs servent à illustrer la nature changeante du contact européen.
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3.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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4.
Subsistence practices of the Kintampo cultural complex of sub-Saharan West Africa are now known to have included pearl millet cultivation, in addition to the utilization of tropical forest margin species such as oil palm. Charred plant remains recovered from the Birimi site, northern Ghana, suggest that the growing of pearl millet, possibly in uniform stands, was occurring amongst northerly Kintampo groups during the fourth millennium bp. The cultivation of this drought-tolerant crop facilitated the establishment of sedentary villages by providing a storable food resource enabling Kintampo people to survive the protracted dry season of the West African savanna.Nous savons maintenant que les pratiques de subsistance du complexe culturel Kintampo de l'Afrique de l'Ouest sub-saharien comprenaient la culture du mil à chandelle ainsi que l'utilisation d'espèces végétales qui poussaient en bordure de la forêt tropicale, comme le palmier à huile. Des restes de plantes carbonisé ont été récupérées du site du Birimi dans le Nord du Ghana; elles suggèrent que la pratique de la culture du mil à chandelle dont les plantations étaient peut-être déjà uniformes, se soit produite parmi les groupes Kintampo du Nord pendant le quatrième millénaire bp. La culture du mil à chandelle tolérait la sécheresse et avait ainsi facilité l'établissement de villages sédentaires car elle fournissait des ressources alimentaires entreposables. Cela permettait aux groupes Kintampo de survivre pendant la longue saison sèche de la savane de l'Afrique de l'Ouest.  相似文献   

5.
African archaeology has primarily been concerned with precolonial Africa. Consequently, the archaeology of colonial and postcolonial Africa has been neglected, in spite of the fundamental importance of how Africa's relationships with Eurasia after 1488 shaped its history. Although the slave trade was an important aspect of post-sixteenth century experiences of Africans, current research methodologies make the archaeology of slavery in Africa nearly impossible because evidence of the slave trade or slavery--including slave quarters, cemeteries, holding areas, shackles, and dungeons--can be interpreted in various ways. In this article I argue that the archaeology of slavery and the slave trade in Africa is possible. Like history and economics, archaeology is well placed to investigate slavery in Africa as it already does effectively in the Americas. Using the study of defensive rock shelters in Southeast Kenya as an example, I propose that the systematic archaeology of slavery in Africa is not only possible, but also should break new grounds and develop an innovative methodology for studying slavery. L'archéologie africaine a été principalement concernée par l'Afrique précoloniale. Par conséquent, l'archéologie de l'Afrique coloniale et postcoloniale a été oubliée, malgré l'importance fondamentale de la façon dont les rapports de l'Afrique avec Eurasia après 1488 ont tracé son histoire. Bien que le commerce d'esclaves soit un aspect important des expériences africaines du post-seizième siècle, les méthodologies courantes de recherches rendent l'archéologie de l'esclavage en Afrique presque impossible car l'évidence du commerce ou de l'esclavage - comprenant les quarts, les cimetières, les camps, des cachots, et des donjons des esclaves - peut être interprété de diverses manières. Dans cet article, j'argue du fait que l'archéologie de l'esclavage et le commerce d'esclaves en Afrique est possible. Comme l'histoire et les sciences économiques, l'archéologie est bien placée pour effectuer l'étude de l'esclavage en Afrique comme elle l'est déjà efficacement en Amérique. En utilisant l'étude des abris rocheux défensifs au Kenya du sud-est comme exemple, je propose que la systématique de l'archéologie de l'esclavage en Afrique est non seulement possible, mais devrait également permettre de franchir de nouveaux pas et de développer une méthodologie innovatrice dans l'étude de l'esclavage.  相似文献   

6.
The analysis of Middle Stone Age artefact assemblages from the 1984–8 Deacon excavation of Klasies River main site on the southern Cape coast of South Africa emphasizes its importance as a source of information on the Late Pleistocene period. The trends in artefact variability noted in the previous 1967–8 Singer and Wymer excavation are described in more detail and it is concluded on typological grounds that the cave 1B assemblages which are associated with the anatomically modern human mandible no. 41815 are of the order of 100,000 years old. Rare, unstandardized retouch and the persistence of time-restricted patterning in the Klasies River main site Middle Stone Age sequence over periods in excess of 20,000 years represent significant differences between Middle and some parts of Later Stone Age sequences. It is suggested that this may be a consequence of conservatism under relatively low-density demographic conditions rather than a reflection of the absence of modern behaviour among Middle Stone Age toolmakers.
Résumé L'analyse des industries lithiques de l'âge de la Pierre Moyen provenant des fouilles Deacon au site principal à Klasies River, sur la côte sud du cap de l'Afrique du Sud, souligne l'importance de ce site pour ses renseignements sur le Pléistocene récent. Les tendances de variabilité dans le matériel culturel déjà constatées dans les fouilles précédentes de Singer et Wymer (1967–8) sont présentées ici en davantage de détail. L'étude typologique amène à la conclusion que les industries de la grotte 1B, associées à la mandibule no. 41815 de forme humaine moderne, ont un âge approximative de 100,000 ans. La présence assez rare d'une retouche non-standardisée et la persistance des modalités, chronologiquement bien définies, dans la succession des industries de l'âge de la Pierre Moyen au site principal à Klasies River pendant des périodes de plus de 20,000 ans constituent des différences considérables entre l'âge de la Pierre Moyen et quelques phases de l'âge de la Pierre Récent. On propose que cela peut être la conséquence d'un conservatisme sous les conditions de densité démographique faible, plutôt qu'en déduire que la mode de comportement caractéristique de l'homme moderne manquait aux gens de l'âge de la Pierre Moyen.
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7.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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8.
Close examination of three early hominid crania from Africa yields taphonomic information long after they were excavated, and can contribute information relevant to their dating and taxonomic status. The condition of the bone and breaks and markings are reviewed in the Florisbad, Saldanha and Broken Hill (Kabwe) crania, indicating animal biting while the bone was still fresh in the first and last of these specimens. However, the damage to the base of the Kabwe cranium indicates that there may also have been breakage by hominids, including scorings near the margin of the squamous suture. No tooth marks are observed on the Saldanha cranium, but a depressed fracture and other lesions indicate hominid damage to fresh bone. Postmortem weathering indicates cranial thickness even greater than the original measurements, which implies a more primitive evolutionary status for Saldanha than for Kabwe. This view is supported by other morphological evidence, and suggests a considerably earlier date for Saldanha and a classification asHomo erectus.
Résumé L'examen à fond de trois crânes d'hominidés anciens de l'Afrique fournit des données taphonomiques longtemps après la fouille, et peut livrer informations quant à leur date et à leur statut taxonomique. L'état de l'os et les cassures et d'autres traces sont étudiés dans les crânes de Florisbad, Saldanha et Broken Hill (Kabwe); dans ceux de Florisbad et de Broken Hill on constate que l'os a été mordu par des animaux lorsqu'il était encore frais. Cependant les dégâts à la base du crâne de Kabwe—y compris des stries près du bord de la suture squameuse—indiquent qu'il peut aussi avoir été cassé par des hominidés.Il n'y a pas de traces de morsures sur le crâne de Saldanha, mais on y observe une fracture aplatie et d'autres lésions qui indiquent que l'os frais a été endommagé par des hominidés. A cause des altérations survenues après la mort, on constate que le crâne original était même plus épais que les premières mésures l'indiquaient, ce qui implique un statut évolutionnaire plus primitif pour Saldanha que pour Kabwe. Cette idée, renforcée par d'autres indices morphologiques, suggère que Saldanha est beaucoup plus ancien que l'on ne croyait, et doit être classifié commeHomo erectus.
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9.
Paleoclimatic data indicate that the Pleistocene/Holocene transition was a period of considerable ecological change in the Caledon Valley of the southern African interior. Stone artefact assemblages from sites in one part of this region, the Phutiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) Basin of western Lesotho, were analyzed in order to investigate whether changes in settlement and subsistence strategies during this period are also reflected in the organization of lithic technologies. It appears that although technological solutions to the problems of subsistence risk may have been emphasized during the late Pleistocene, social means, such as exchange, dominated at the Pleistocene/Holocene boundary. Subsequent innovation or adoption of new formal tool types suggests that both strategies were important from the middle Holocene onwards.Dans la vallée de Caledon à l'intérieur sud-africain les données paléoclimatiques indiquent que la transition du pléistocène à l'holocène était une période de changement écologique considérable. Les résultats des analyses des outils lithiques découverts aux gisements dans une partie de cette région, le Bassin de la Phuthiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) du Lesotho occidentale, sont présentées pour examiner si des changements aux stratégies de subsistance et de l'occupation des sites se réfletent à l'organisation des technologies lithiques. Il semble que on a employé les solutions technologiques pour éviter les risques de subsistance pendant le pléistocène tardif, mais que des solutions sociales, comme l'échange, prédominaient à la frontière pléistocène-holocène. L'innovation ou l'adoption plus tard des nouvelles outils lithiques suggère que tous les deux stratégies étaient importantes depuis le début du moyen Holocène.  相似文献   

10.
Thousands of earthen mounds of varying sizes, presumed to be funerary monuments, occur throughout a 32,000 km2 area of western Senegal. Previous inventory work and extremely limited excavation have not adequately addressed basic questions such as the relation of tumulus sites to habitation sites, the relative chronology and cultural affinities of the tumulus phenomenon in the northern and southern parts of the tumulus zone, and the temporal and cultural relationship of the southern tumuli to the megalithic monuments whose distribution they partially overlap. We describe here the results of a field survey designed to provide preliminary data relevant to these questions. In addition to locating previously unreported habitation sites in several sectors, analysis of surface pottery has permitted recognition of several temporally differentiated assemblages associated with different types of sites encountered during the survey. The distinctive assemblages of the northern and southern tumulus zones indicate that mound construction should not be considered a unitary, homogeneous phenomenon in Senegal.
Résumé Des milliers de monticules de terre de dimensions variées, que l'on suppose être des monuments funéraires, sont éparpillés dans une zone de 32.000 km2 à l'ouest du Sénégal. Auparavant, des travaux d'inventaire et d'excavation extrêmement limités n'avaient pas suffisamment tenté de répondre aux questions fondamentales telles que le rapport des sites de tumulus aux sites d'habitation, la chronologie relative et les affinités culturelles du phénomène des tumulus au nord et au sud de la zone des tumulus, et le rapport temporel et culturel des tumulus du sud avec les monuments mégalithiques dont ils recouvrent partiellement la zone de répartition. Nous décrivons ici les résultats d'une étude sur le terrain conçue pour fournir des données préliminaires ayant trait à ces questions. En plus de déterminer des sites d'habitation non-signalés auparavant dans plusieurs secteurs, l'analyse d'objets en terre cuite trouvés en surface a permis de reconnaître plusieurs assemblages temporellement différenciés, associés à différents types de sites rencontrés au cours de cette étude. Les assemblages distinctifs des zones de tumulus au nord et au sud indiquent que la construction de monticules ne doit pas être considérée comme un phénomène unitaire et homogène au Sénégal.
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11.
This paper provides a preliminary account of archaeological research on sites of early pottery-using people in the coastal region of the Congo Republic. The results obtained are compared with observations from Botswana and used to amplify archaeological and lingustic data relevant to the transformations in social and productive forces that occurred across the western part of sub-equatorial Africa during the period when food production, metallurgy and long-distance trade were established. Particular attention is paid to evidence for developing economic and social relations between indigenous foragers and immigrant food producers.
Résumé Cet article offre les premiers résultats de recherches sur des sites qui emontent du début de l'utilisation de la potiere par des populations habitant la zone côtière de la République du Congo. Les résultats obtenus sont comparés avec des découvertes au Botswana pour developer les données archéologiques et linguistiques se rapportant à la transformation des forces sociales et productives qui se produisent à travers la partie occidentale de l'Afrique subéquatoriale durant la période où apparutent la production de nourrieture, la métallurgie et le commerce à longue distance. L'article s'attache plus particulièrement aux témoins du dévelopment de relations économiques et socials entre les indigènes, pcheurs/chasseurs, et les populations immigrantes de producteurs de nourriture.
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12.
The 67-ha site of Sincu Bara was discovered and extensively excavated in the 1970s. Three primary aspects of its archaeological interest were its vast size, its location in the Middle Senegal Valley, where some of the earliest regional polities in West Africa arose, and the extensive and diverse assortment of copper-based metal artifacts it produced. Deposits with brass appeared to be associated with radiocarbon dates as early as the fifth century AD. It appeared that most of the deposits related to a single, long-lasting occupation by people who arrived with sophisticated copper-based metallurgy in the fifth century and remained at least until the eleventh century, without discernible modification in their material culture. Results of new excavations in 1991–1992 indicate that this interpretation must be substantially modified, since considerable change in material culture, including the introduction of copper-based metals between AD 800 and AD 900, has now been documented. This article summarizes the data from these new excavations and suggests that earlier interpretations were based largely on material from disturbed, severely mixed deposits, which gave a false picture of homogeneity through time.Les soixante sept héctares constituant le gisement du Sincu Bara étaient découverts et fouillés dans les années soixante dix. Son intérêt archéologique est lié aux trois aspects: sa grande superficie, sa location dans la vallée moyenne du Sénégal où les premières unités politiques de l'Afrique de l'Ouest existaient, et finalement, la diversité des objets métalliques en cuivre que le site a livrée. Il apparaît que la plupart des dépôts appartient à une seule occupation de longue durée par un peuple qui est arrivé pendant la cinquième siécle AD, en possession de la connaissance de métallurgie à base de cuivre et qui montrait au moins jusqu'au onzième siécle peu de modification dans leur culture materielle. Les résultats des fouilles de 1991–1992 montrent que cette interpretation doit être modifiée, car il y a eu du changement considérable dans le matèriel, comme l'introduction des métaux à base de cuivre entre AD 800–900. Dans cet article, nous avons résumé les résultats des nouvelles fouilles et nous suggérons que les anciennes interpretations ont été largement fondées sur du matériel perturbé, des dépôts mixtes qui donnaient une image fausse de l'homogenité pendant cette période.  相似文献   

13.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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14.
This study is an attempt to provide a chronological seriation of pottery from Igbomina in northcentral Yorubaland. The ceramic sequence is developed using multivariate statistical analysis. From the K-means cluster analysis, ceramic collections that are roughly contemporaneous were grouped together; next the collections were seriated with multidimensional scaling to reveal whether they form a pattern that may be chronologically significant. Evaluation of the results of the pottery analysis from the Igbomina sites was based on the chronological division of Old Oyo pottery as well as on radiocarbon dating of associated material from excavated sites in the region. Pottery types from Old Oyo became known in Igbomina probably as early as the thirteenth century AD, and continued to occur in some areas until the late eighteenth century. The presence of Oyo pottery in Igbomina has important implications for the understanding of Oyo's relations with the northern Yoruba group and the frontier position of Igbomina during the Old Oyo Empire.Cette étude cherche à fournir une sériation chronologique de la céramique provenant de Igbomina situé dans la partie centrale du nord de Yorubaland. La séquene de céramique a été élaborée en utilisant une analyse statistique multidimensionnelle. Les collections de céramique plus ou moins contemporaines ont été groupées en se servant de la moyenne du facteur K de la classification ascendante hiérarchique, elles ont ensuite été ordonnées au moyen d'une analyse des proximités pour voir si elles formaient un schéma chronologique significatif. L'évaluation des résultats de l'analyse céramique des sites Iglomina est fondée sur les divisions chronologiques de la céramique Oyo ancienne ainsi que sur des dates radiocarbones obtenues sur du matériel en association provenant de sites fouillés dans la région. Les types de céramique de l'Oyo ancien sont probablement arrivés à Igbomina dès le 13ème siècle et ont continué à apparaître dans certains endroits jusqu'à la fin du 18ème siècle. La présence de la céramique Oyo à Igbomina comporte des implications importantes pour nos connaissances sur les relations des Oyo avec les groupes Yoruba du nord et sur la position de la frontière de Igbomina pendant l'empire Oyo ancien.  相似文献   

15.
The paper examines the regional scale research in the Middle Nile Valley within the context of historical development of archaeology of Nubia and Central Sudan. This historical overview is put in the context of archaeological theory, especially the concept of landscape archaeology. A discussion of various theoretical issues is followed by the presentation of the natural, economic, political, cultural and sacred landscapes of Nubia and Central Sudan. Past field research is presented and the emerging trends are identified.La présente communication examine la recherche à l'échelle régionale dans la vallée du Nil Moyen dans le contexte du développement historique de l'archéologie de la Nubie et du Soudan central. Ce survol historique est situé dans le contexte de l'archéologie théorique, particulièrement l'archéologie du paysage. Une discussion des problèmes théoriques est suivie d'une présentation des paysages naturel, économique, politique, culturel et sacré de la Nubie et du Soudan central. Les recherches antérieures sont aussi présentées et les nouvelles tendances sont identifiées.  相似文献   

16.
The technology of the end products i.e. blades and points in Late Pleistocene stone artefact assemblages from Klasies River, South Africa, and the Nile Valley, Egypt, are compared. The comparison includes univariate and multivariate analysis of metrical attributes enhanced by graphical biplot displays. The end products in these assemblages are either dominantly points or blades and this is related to the core reduction strategy adopted. The MSA 11 from Klasies River and the Nubian Complex industry from the Nile Valley are point industries made in the Levallois tradition, while the MSA 1 from Klasies River and the Taramsan from the Nile Valley may be non-Levallois or adapted Levallois blade industries. Dating of the assemblages shows the changes between dominant core reduction strategies are sequential and time restricted in both South and North Africa. It is concluded that variability of the same kind occurs in Middle Stone Age and Middle Palaeolithic assemblages south and north of the Sahara in the early Late Pleistocene.Dans cet article, les technologies des produits recherchés, des lames et des pointes, pour certains ensembles lithiques de Klasies River, Afrique du Sud et la Vallée du Nil, Egypte, sont comparées. Cette comparaison implique des analyses univariées et multivariées de variables métriques biplot. Les produits recherchés sont bien des pointes que des lames, selon les stratégies dexploitation adoptées. Le MSA II de Klasies River et le Complexe nubien de la Vallée du Nil sont des industries à pointes issues de la tradition Levallois. Par contre, le MSA I de Klasies River et le Taramsien de la Vallée du Nil évoquent une technologie de production non-Levallois ou Levallois modifiée. Les éléments de datation disponibles indiquent que les changements dans la prépondérance des stratégies dexploitation senchaînent dans une séquence chronologique bien identifiable, aussibien dans lAfrique du Sud que lAfrique du Nord. On arrive à la conclusion quune variabilité du même caractère est attestée dans les ensembles du Middle Stone Age et du Paléolithique moyen au sud et au nord du Sahara, pendant le Pléistocène supérieur ancien.  相似文献   

17.
Recent research in the easternmost area of the Maadi village-site near Cairo has yielded new data concerning both the nature of the occupation and the economy of the predynastic communities in Lower Egypt. Imported objects and raw materials, together with specialized crafts, have already suggested the existence of well organized village life, enriched by trading activities and foreign contacts, somehow related to expanding spheres of prestige. These conclusions are now amplified by evidence for a wide range of fully domesticated animal and plant species, including the remarkable occurrence of the domestic ass.Evaluation of both the artefacts and their distribution leads us to distinguish different areas in the site and to relate them to a long development through time. It is now necessary that more detailed typological comparisons be undertaken.
Résumé Des recherches récentes dans la partie orientale du site de l'ancien village de Maadi près du Caire ont fourni de nouvelles données concernant la nature de l'occupation et l'économie des communautés pré-dynastiques en Basse Egypte. Des objets et des matières premières importés, ainsi que les artisanats spécialisés, avaient déjà suggéré que la vie au village était bien organisée, et enrichie par le commerce et par des contacts avec l'étranger, et que ceci était lié d'une manière quelconque à des sphères de prestige en expansion. Ces conclusions sont maintenant amplifiées par les évidences de toute une série d'espèces d'animaux et de plantes tout à fait domestiquées, y compris l'occurrence remarquable de l'âne domestiqué. L'évaluation des trouvailles et de leur répartition nous amène à distinguer de différentes zones d'activité dans le gisement, et les rattache à un long développement à travers le temps. Des comparaisons typologiques plus détaillées devraient maintenant être entreprises.
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18.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

19.
This paper examines the history of African metallurgy in the era of Atlantic trade. It reports on excavations at the John Reeder foundry site in St Thomas, Jamaica. The transfer of African technologies to the Caribbean reveals the plantation economy's dependence on African technical expertise, not merely slave labour. The comprehensive focus on the Atlantic world also informs archaeological investigations of African-European interaction in West Central Africa. The complexity of Atlantic technological history is characterized by a diverse range of dynamic interactions, rather than the inevitable decline of Africanderived systems. Only by identifying processes as well as products of African technological interaction will it be possible fully to reconstruct the forging of the African past.
Résumé Cet article examine l'histoire de la métallurgie africaine à l'ère du commerce atlantique. Il rend compte des excavations au site de la fonderie John Reeder, à St Thomas, en Jamaïque. Le transfert des technologies africaines aux Antilles révèle à quel point l'économie de plantation dépendait de l'expertise technique africaine, et pas seulement de l'esclavage. L'accent placé sur le monde atlantique inspire aussi les recherches archéologiques sur l'interaction afro-européenne à l'ouest de l'Afrique centrale. La complexité de l'histoire technologique atlantique est caractérisée par une gamme diverse d'interactions dynamiques, plutôt que par l'inévitable déclin des systèmes africains dérivés. Ce n'est qu'en identifiant les processus aussi bien que les produits de l'interaction technologique africaine qu'il sera possible de reconstruire complètement l'élaboration du passé africain.
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20.
Archaeological investigations in the Lunsemfwa Drainage Basin of Zambia have yielded evidence that necessitates modification of current views about the nature of culture contact between hunter-gatherers and agriculturalists. Hypotheses of barter, theft or some kind of exchange network between the two communities are not supported. It is suggested that stone-tool-using foragers collected pottery from abandoned village sites and transported these back to their base camps. This hypothesis recognizes the significance of resource availability and of patterns of exploitation and settlement. Lack of regular contact during the period of co-existence was largely due to the environmental diversity of the region: the two populations occupied and utilized different areas and did not compete for the same resources.
Résumé Des recherches archéologiques dans le bassin du Lunsemfwa en Zambie ont fourni des indices qui nous obligent à modifier nos idées actuelles au sujet de la nature du contact culturel entre les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs. Les hypothèses de troc, de vol ou d'un réseau quelconque d'échanges entre les deux communautés ne sont pas soutenues. L'auteur suggère que les chasseurs-ceuilleurs qui utilisaient des outils lithiques ont ramassé de la céramique dans des villages abandonnés et l'ont rapportée à leurs camps de base. Cette hypothèse reconnaît l'importance de la disponibilité des ressources, et celle des systèmes d'exploitation et d'habitation. L'absence de contacts réguliers pendant la période de co-existence était due surtout à la diversité de l'environnement de la région; les deux populations ont occupé et utilisé des zones différentes et ne se sont pas fait concurrence pour les mêmes ressources.
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