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1.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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2.
Despite the antiquity of domestic cattle in the Sahara-Sahel, archaeological evidence from two sub-Saharan regions indicates that the first pastoralist colonization of sub-Saharan Africa may not have proceeded so smoothly as modern appearances suggest. The first appearance of cattle-based economies seems to have been delayed by as much as a thousand years after the first appearance of small stock, in both eastern and southern Africa. This article reviews the relevant archaeological evidence and argues that the lag in successful introduction of cattle stems from new animal diseases encountered by pastoral colonists entering biogeographic zones south of the Sahel. Diseases that are often fatal to cattle, including wildebeest-derived malignant catarrhal fever (WD-MCF), East Coast fever (ECF), foot-and-mouth disease (FMD), and Rift Valley fever (RVF), as well as trypanosomiasis, are described as probable barriers to the early entry of cattle-based economies into these regions.Malgré l'antiquité des animaux domestiques dans le Sahara-Sahel, les données archéologique de deux régions subsahariennes indiquent que les premières colonisations pastoraux des zones au sud du Sahel ne se propagèrent pas aussi promptement que suggèrent les apparences actuelles. En l'Afrique orientale et en l'Afrique du sud, l'apparition d'économies basées sur l'élevage des gros bovins paraît être retardée de quelque mille ans par rapport à l'apparition des petits ruminants domestiques dans ces mêmes régions. L'article recense les données archéologiques pertinentes et propose que le délai de l'introduction effective des gros bovins fût causée par des nouvelles maladies vétérinaires rencontrées par les premiers colonisateurs pastoraux entrant dans les zones biogéographiques au sud du Sahel. Des maladies fréquemment fatales aux gros bovins, telle que le coryza gangreneux, la thèleriose, la fièvre aphteuse, l'arbovirus des Bunyaviridae, aussi bien que la trypanosomiase, sont proposées comme des obstacles probables à la diffusion des économies à gros bovins dans ces régions.  相似文献   

3.
Archaeological investigations in the Lunsemfwa Drainage Basin of Zambia have yielded evidence that necessitates modification of current views about the nature of culture contact between hunter-gatherers and agriculturalists. Hypotheses of barter, theft or some kind of exchange network between the two communities are not supported. It is suggested that stone-tool-using foragers collected pottery from abandoned village sites and transported these back to their base camps. This hypothesis recognizes the significance of resource availability and of patterns of exploitation and settlement. Lack of regular contact during the period of co-existence was largely due to the environmental diversity of the region: the two populations occupied and utilized different areas and did not compete for the same resources.
Résumé Des recherches archéologiques dans le bassin du Lunsemfwa en Zambie ont fourni des indices qui nous obligent à modifier nos idées actuelles au sujet de la nature du contact culturel entre les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs. Les hypothèses de troc, de vol ou d'un réseau quelconque d'échanges entre les deux communautés ne sont pas soutenues. L'auteur suggère que les chasseurs-ceuilleurs qui utilisaient des outils lithiques ont ramassé de la céramique dans des villages abandonnés et l'ont rapportée à leurs camps de base. Cette hypothèse reconnaît l'importance de la disponibilité des ressources, et celle des systèmes d'exploitation et d'habitation. L'absence de contacts réguliers pendant la période de co-existence était due surtout à la diversité de l'environnement de la région; les deux populations ont occupé et utilisé des zones différentes et ne se sont pas fait concurrence pour les mêmes ressources.
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4.
Recent research in the easternmost area of the Maadi village-site near Cairo has yielded new data concerning both the nature of the occupation and the economy of the predynastic communities in Lower Egypt. Imported objects and raw materials, together with specialized crafts, have already suggested the existence of well organized village life, enriched by trading activities and foreign contacts, somehow related to expanding spheres of prestige. These conclusions are now amplified by evidence for a wide range of fully domesticated animal and plant species, including the remarkable occurrence of the domestic ass.Evaluation of both the artefacts and their distribution leads us to distinguish different areas in the site and to relate them to a long development through time. It is now necessary that more detailed typological comparisons be undertaken.
Résumé Des recherches récentes dans la partie orientale du site de l'ancien village de Maadi près du Caire ont fourni de nouvelles données concernant la nature de l'occupation et l'économie des communautés pré-dynastiques en Basse Egypte. Des objets et des matières premières importés, ainsi que les artisanats spécialisés, avaient déjà suggéré que la vie au village était bien organisée, et enrichie par le commerce et par des contacts avec l'étranger, et que ceci était lié d'une manière quelconque à des sphères de prestige en expansion. Ces conclusions sont maintenant amplifiées par les évidences de toute une série d'espèces d'animaux et de plantes tout à fait domestiquées, y compris l'occurrence remarquable de l'âne domestiqué. L'évaluation des trouvailles et de leur répartition nous amène à distinguer de différentes zones d'activité dans le gisement, et les rattache à un long développement à travers le temps. Des comparaisons typologiques plus détaillées devraient maintenant être entreprises.
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5.
Recent research at the remote depression of Bir Tarfawi, in the hyperarid Eastern Sahara, has revealed a sequence of four, or possibly five, Pleistocene lake-episodes. The first lake was probably associated with a Late Acheulean and the remaining four with a Middle Palaeolithic, specifically with a Denticulate Aterian, industry. Lithostratigraphic, macrofaunal and microfaunal analyses have permitted a quite detailed reconstruction of the local environment during the periods of the last two lakes; during the period of the fourth lake, local rainfall may have beenca 600 mm per annum but was rather less during the time of the fifth lake. Investigation of some of the many associated archaeological sites is revealing a complex pattern of specialized site-types, including living-sites, primary and secondary workshops and primary and secondary butchery-sites. Specific types of sites are closely related to the local landscape. Preliminary analyses from several experimental methods of chronometric dating suggest that almost all of the sequence falls within the Middle Pleistocene.
Résumé Des recherches récentes dans la dépression isolée de Bir Tarfawi dans le Sahara oriental hyperaride, ont révélé une séquence de quatre, ou peut être cinq, épisodes lacustres au Pléistocène. Le premier lac est probablement associé à un Acheuléen final, et les quatre autres au Paléolithique moyen, et spécifiquement à une industrie atérienne denticulée. Des analyses de lithostratigraphie, de macrofaune et de microfaune ont permis de reconstruire d'une façon assez détaillée l'environnement local pendant les périodes des deux derniers lacs. Pendant la période du quatrième lac, la pluviosité locale était peut être deca 600 mm par an, mais elle était un peu moindre à lépoque du cinquième lac. Les recherches dans certains des nombreux gisements archéologiques associés nous révèlent un schéma complexe de sites spécialisés, y compris des sites d'habitat, des ateliers primaires et secondaires, et des lieux de dépeçage primaires et secondaires. Certains types de gisement sont étroitement liés au paysage local. Des analyses préliminaires par plusieurs méthodes expérimentales de datation chronométrique suggèrent que presque toute la séquence appartient au Pléistocène moyen.
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6.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

7.
Allometry, or size-related variation, is shown to be an important factor in the bifaces of two separate assemblages from the Acheulean site of Kariandusi in Kenya. Such variation has functional and possibly stylistic implications. The paper gives a review of the archaeology of Kariandusi, and then investigates the question of size and shape variation in bifaces. The Upper Sites at Kariandusi, first investigated by L. S. B. Leakey, have yielded many obsidian bifaces which can be dated to approximately 0.7–1.0 myr ago. Material from the Lower Site, including many lava bifaces, is judged to be stratigraphically younger but probably in the same time range. We show by making comparisons with the neighbouring Acheulean sites of Kilombe and the Kapthurin Formation that allometry is present in biface assemblages at least 0.5 myr different in date; that similar principles of allometry operate in all the assemblages; and that where there are differences of allometric pattern, within-site variation is sometimes greater than variation between distant sites. We conclude that the size of a biface at least partly determines the shape in which it was made, and that sites in the time range ofHomo erectus and earlyHomo sapiens show surprisingly similar allometric patterns.
Résumé Il est démontré que l'allométrie ou variation dimensionnelle, est un facteur important des bifaces de deux collections séparées du site acheuléen de Kariandusi au Kénya. Une telle variation a des implications fonctionnelles et peut-être aussi stylistiques. Cet article examine l'archéologie de Kariandusi, puis étudie la question des variations de dimensions et de formes dans les bifaces. Les sites plus élevés de Kariandusi, que L.S.B. Leakey a été le premier à fouiller, ont donné de nombreux bifaces d'obsidienne que l'on peut dater d'environ 0,7–1,0 million d'années. Le matériel obtenu dans le site inférieur, y compris de nombreux bifaces en lave, est jugé plus récent stratigraphiquement, mais probablement de la même période. En faisant des comparaisons avec les sites acheuléens voisins de Kilombe et de la Formation Kapthurine, nous démontrons que l'allométrie est présente dans des collections de bifaces dont les dates diffèrent d'au moins 0,5 million d'années; que des principes d'allométrie similaires s'appliquent à toutes les collections; et que lorsqu'il y a des différences de schéma allométrique, la variation au sein d'un même site est souvent plus importante que la variation entre des sites distants. Nous concluons que la dimension d'un biface détermine au moins partiellement sa forme, et que les sites de la période de l'Homo erectus et du début de la période de l'Homo sapiens présentent des schémas allométriques étonamment semblables.
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8.
Numerous scholars have outlined what they believed to be the consequences of the advent of iron technology in sub-Saharan Africa: increased food production using more efficient bush clearing tools; increased population densities; larger and more stable communities; increased trade, specialization and social differentiation; and the embryonic rise of modern politics. (Davidson 1974.) However, little has been demonstrated in the field.A regional study of the Bassar iron industry of northern Togo has shown that the rise of large-scale iron production may lead to higher population densities, larger and more stable communities, a more aggregated settlement pattern in the ore zone, and increased craft specialization and trade. However, it does not necessarily result in a significant increase in the degree of political centralization. The Bassar data also suggest that even the appearance of relatively small scale iron production may generate similar trends, albeit at more modest levels.
Résumé De nombreux auteurs ont décrit ce qu'ils proposent d'avoir été les conséquences de l'adoption de la technologie de fer dans l'Afrique au sud du Sahara: augmentation de la production de nourriture à l'aide des outils plus efficaces pour débroussailler le paysage; augmentation des densités de population; communautés plus grandes et plus stables; croissance de la commerce, de la specialisation artisanale et de la differentiation sociale; et naissance embryonique de la politique moderne (Davidson 1974). Cependant il n 'y a que très peu de ce schéma qui a été validé par les recherches sur le terrain.Une étude régionale de l'industrie du fer des Bassar du nord de Togo a montré que l'essor de la production de fer à grande échelle peut aboutir à des densités de population plus hauts, des communautés plus grands et plus stables, une répartition de l'habitat plus agrégée dans la zone des minerais de fer, et l'augmentation de la specialisation artisanale et du commerce. Cependant il n'aboutit pas obligatoirement à une centralisation importante au niveau politique. Les résultats fournis par cette étude des Bassar nous amènt à proposer aussi que même l'apparition de la production modeste de fer peut donner naissance à des développements comparables, mais d'un ampleur plus restreint.
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9.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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10.
Close examination of three early hominid crania from Africa yields taphonomic information long after they were excavated, and can contribute information relevant to their dating and taxonomic status. The condition of the bone and breaks and markings are reviewed in the Florisbad, Saldanha and Broken Hill (Kabwe) crania, indicating animal biting while the bone was still fresh in the first and last of these specimens. However, the damage to the base of the Kabwe cranium indicates that there may also have been breakage by hominids, including scorings near the margin of the squamous suture. No tooth marks are observed on the Saldanha cranium, but a depressed fracture and other lesions indicate hominid damage to fresh bone. Postmortem weathering indicates cranial thickness even greater than the original measurements, which implies a more primitive evolutionary status for Saldanha than for Kabwe. This view is supported by other morphological evidence, and suggests a considerably earlier date for Saldanha and a classification asHomo erectus.
Résumé L'examen à fond de trois crânes d'hominidés anciens de l'Afrique fournit des données taphonomiques longtemps après la fouille, et peut livrer informations quant à leur date et à leur statut taxonomique. L'état de l'os et les cassures et d'autres traces sont étudiés dans les crânes de Florisbad, Saldanha et Broken Hill (Kabwe); dans ceux de Florisbad et de Broken Hill on constate que l'os a été mordu par des animaux lorsqu'il était encore frais. Cependant les dégâts à la base du crâne de Kabwe—y compris des stries près du bord de la suture squameuse—indiquent qu'il peut aussi avoir été cassé par des hominidés.Il n'y a pas de traces de morsures sur le crâne de Saldanha, mais on y observe une fracture aplatie et d'autres lésions qui indiquent que l'os frais a été endommagé par des hominidés. A cause des altérations survenues après la mort, on constate que le crâne original était même plus épais que les premières mésures l'indiquaient, ce qui implique un statut évolutionnaire plus primitif pour Saldanha que pour Kabwe. Cette idée, renforcée par d'autres indices morphologiques, suggère que Saldanha est beaucoup plus ancien que l'on ne croyait, et doit être classifié commeHomo erectus.
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11.
Archaeomineralogical fieldwork in south-eastern Nigeria combined with metallurgical analyses has now all but confirmed the local provenance of most of the metals used in manufacturing the bronze and copper vessels, ornaments and sculptures which were kept and buried at Igbo-Ukwu about the ninth or tenth century AD. This demonstration may further support the view that the technical skills and artistic inspiration of Igbo-Ukwu were largely locally evolved. Yet the lack of prototypes remains disconcerting. Such a large collection of exquisite bronze artwork and ritual objects is unparalleled for this region at that period; and attempts to explain the circumstances which gave rise to Igbo-Ukwu remain unsatisfactory. It is argued here that, whatever local factors, either religious or secular, may have obtained at that time, there was also an international one. Presumably this region was for a period producing a rare and geographically specific mineral then in high demand in the wider world. The bronzes may be in effect the by-product of that mining and production for export. It is suggested that the principal trade-routes then may not have crossed the Sahara to Muslim North Africa but have run eastward from the Lake Chad region to the Christian countries of the Nile. There may be a hint of this in certain of the bronze forms. Moreover, contact with Egypt, if not indirectly with lands beyond, is demonstrated at Igbo-Ukwu by the vast numbers of imported beads.
Résumé Un travail archéominéralogique de terrain au sud-est du Nigeria, combiné avec des analyses métallurgiques confirme maintenant la provenance locale des métaux utilisés pour la fabrication des récipients en bronze et en cuivre, des ornements et des sculptures gardés et enterrés à Igbo-Ukwu aux alentours du 9ème et 10ème siècles. Ceci renforce l'hypothèse que les techniques et l'inspiration artistique résultent à Igbo-Ukwu d'une évolution locale. Mais l'absence de prototypes reste déconcertante. Une collection aussi importante d'oeuvres d'art en bronze et objects rituels si raffinés est sans parallèle dans cette région à cette période et les tentatives pour expliquer les circonstances qui conduisirent à l'apparition d'Igbo-Ukwu restent peu satisfaisantes. Cependant, et quels que soient les facteurs locaux, religieux ou profanes qui existaient à cette période, un facteur international a dû jouer. Il est possible que cette région ait pendant une certaine période produit un minéral rare et géographiquement localisé faisant à l'époque l'objet d'une grande demande bien audelà de la région. Les bronzes pourraient donc être les sous-produits d'activités d'extraction et de production destinées à l'exportation. Il est aussi suggéré qu'à cette époque, les principales routes du commerce ne traversaient peut-être pas le Sahara pour joindre l'Afrique du Nord musulmane, mais allaient plutôt en direction de l'Est à partir de la région du Lac Tchad jusqu'aux pays chrétiens du Nil. L'indice pourrait en être la forme de certains bronzes. De plus, des contacts avec l'Egypte, si pas indirectement avec des pays au-delà, sont démontrés par la présence à igbo-Ukwu d'un grand nombre de perles importées.
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12.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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13.
The debate surrounding the origins of the Egyptian Neolithic and Predynastic has, over the past few decades, come to rest on the neighboring Saharan region as the most likely source of influence. Although there is some evidence for the appearance of domesticates in the Western Desert before food-producing communities emerged in Upper and Lower Egypt, there is a strong case for the introduction of Saharan artifacts and technologies to the Nile Valley communities. This paper examines this argument in relation to the Western Desert region of the Dakhleh Oasis (South Central Egypt). The intent of the paper is to recognize the role Dakhleh played in the cultural development of the Egyptian Neolithic and Predynastic and whether this can clearly be seen through artifact parallels. Les parties débattant des origines de l'Egypte néolithique et pré-dynastique ont fini, au cours des dernières décennies, par conclure que la région voisine du Sahara était leur source d'influence la plus vraisemblable. Bien que certaines preuves existent de l'apparition de plantes et d'animaux domestiques dans le Désert occidental avant l'émergence de communautés produisant des aliments en Basse et Haute Egypte, de solides arguments émergent en faveur de l'introduction d'objets fabriqués et de technologies dans les communautés de la Vallée du Nil. L'exposé en question examine cet argument par rapport à la région du Désert occidental de l'Oasis de Dakhla (centre-sud de l'Egypte). Le but de cet exposé est de reconnaître le rôle de Dakhla dans le développement culturel de l'Egypte néolithique et pré-dynastique et de déterminer si oui ou non celui-ci peut clairement être identifié, de façon parallèle, au travers d'objets fabriqués.  相似文献   

14.
The analysis of Middle Stone Age artefact assemblages from the 1984–8 Deacon excavation of Klasies River main site on the southern Cape coast of South Africa emphasizes its importance as a source of information on the Late Pleistocene period. The trends in artefact variability noted in the previous 1967–8 Singer and Wymer excavation are described in more detail and it is concluded on typological grounds that the cave 1B assemblages which are associated with the anatomically modern human mandible no. 41815 are of the order of 100,000 years old. Rare, unstandardized retouch and the persistence of time-restricted patterning in the Klasies River main site Middle Stone Age sequence over periods in excess of 20,000 years represent significant differences between Middle and some parts of Later Stone Age sequences. It is suggested that this may be a consequence of conservatism under relatively low-density demographic conditions rather than a reflection of the absence of modern behaviour among Middle Stone Age toolmakers.
Résumé L'analyse des industries lithiques de l'âge de la Pierre Moyen provenant des fouilles Deacon au site principal à Klasies River, sur la côte sud du cap de l'Afrique du Sud, souligne l'importance de ce site pour ses renseignements sur le Pléistocene récent. Les tendances de variabilité dans le matériel culturel déjà constatées dans les fouilles précédentes de Singer et Wymer (1967–8) sont présentées ici en davantage de détail. L'étude typologique amène à la conclusion que les industries de la grotte 1B, associées à la mandibule no. 41815 de forme humaine moderne, ont un âge approximative de 100,000 ans. La présence assez rare d'une retouche non-standardisée et la persistance des modalités, chronologiquement bien définies, dans la succession des industries de l'âge de la Pierre Moyen au site principal à Klasies River pendant des périodes de plus de 20,000 ans constituent des différences considérables entre l'âge de la Pierre Moyen et quelques phases de l'âge de la Pierre Récent. On propose que cela peut être la conséquence d'un conservatisme sous les conditions de densité démographique faible, plutôt qu'en déduire que la mode de comportement caractéristique de l'homme moderne manquait aux gens de l'âge de la Pierre Moyen.
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For much of the African continent archaeological fieldwork is still at an exploratory stage. There must be a great difference between the known archaeological evidence, on which we base our hypotheses, and the evidence that remains to be discovered. There must, in addition, be a veritable gulf between the archaeological evidence we have and the prehistoric human behaviour that we seek to understand. The following paper discusses recent field work in southern Borno in the light of these ideas. This fieldwork aimed to test an hypothesis about human exploitation of the area before 3000 bp but succeeded instead in revealing a substantial number of later sites in a part of an area already previously investigated by the writer. So far as earlier sites are concerned, this new fieldwork suggests that future archaeological exploration should be concentrated on the northern end of the Mandara Mountains and on the deposits at their base. The overall lesson of this fieldwork, however, seems to be that the harder you look, the more you find—although you may not find what you are looking for.
Résumé Presque partout en Afrique, le travail archéologique sur le terrain n'en est qu'au stade exploratoire. Il y a sans doute un grand écart entre les données archéologiques connues sur lesquelles se fondent nos hypothèses, et les faits qu'il reste à découvrir. De plus, il existe vraisemblablement un veritable gouffre entre les données archéologiques que nous possédons et le comportement humain préhistorique que nous cherchons à comprendre. Le présent article discute les recherches récentes au sud du Borno en tenant compte de ces idées. Ces travaux visaient la mise à l'essai d'une hypothèse portant sur l'exploitation humaine de la région avant 3000 ans bp mais en vint plutôt à révéler un nombre considérable de sites plus tardifs dans une aire déjà étudiée par l'auteur dans la même région. Quant aux sites de date plus éloignée, les nouveaux travaux sur le terrain suggèrent que l'exploration archéologique devrait dorénavant se concentrer sur l'extrémité nord des montagnes Mandara et sur les dépôts à leurs pieds. Il en ressort surtout, cependant, que plus on cherche, plus on découvre, bien qu'on ne trouve pas toujours ce que l'on cherchait.
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16.
Circular concentrations of stone fragments or pebbles occur widely in the Sahara, mostly on the great alluvial plains or along the foot of the escarpments. They are interpreted as fireplaces, but associated archaeological remains are usually scarce. More than 50 radiocarbon dates indicated that these features are of neolithic age, ranging fromca 9000 toca 3500 bp, with a maximum occurrence at 5800–5000 bp. In some regions they are extremely rare, elsewhere their density may exceed 30 per square kilometre. There are several reasons for attributing these fireplaces to neolithic cattle herders.
Résumé Il y a de nombreuses concentrations circulaires de fragments de pierre ou de galets au Sahara; ils se trouvent surtout dans les grandes plaines alluviales, ou le long du pied des escarpements. On les interprète comme des foyers, mais d'habitude on n'y trouve que très peu de restes archéologiques qui y sont associés. Plus de 50 datations au radiocarbone ont indiqué que ces sites datent du Néolithique, s'échelonnant deca 9000 àca 3500 bp, avec une forte concentration entre 5800 et 5000 bp. Dans certaines régions ces sites sont très rares, tandis qu'ailleurs leur densité peut être supérieure à 30 par kilomètre carré. Pour plusieurs raisons on attribue ces foyers à des pasteurs des boeufs du Néolithique.
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17.
This paper is dedicated to Prof. Dr K. U. Leistikow on the occasion of his 60th birthday.The investigation of 320 charcoal samples from prehistoric sites in the Eastern Sahara furnishes evidence for a fundamental change of vegetation during the early and middle Holocene. Two ecological regions can be distinguished. In Egypt desert formations prevailed, consisting of the same vegetation elements as today though with a wider distribution, while in the Sudan tropical savannas occurred. Around 7000 bp the Sahelian vegetation zones were 500–600 km north of their present range, and 300–400 km around 5700 bp. The Sudanian flora of Fachi-Dogonboulo in Niger, datedca 7000 bp, points to a simultaneous shift of the vegetation zones in the Eastern and in the Central Sahara. With increasing desiccation from 5200 bp onwards, the savanna formations retreated to the south until their present position was reached by 3300 bp.
Résumé L'étude de 320 échantillons de charbons de bois provenants de sites préhistoriques du Sahara Oriental, met en évidence un changement important dans la végétation au cours de l'Holocène ancien et moyen. Deux régions écologiques peuvent être distinguées: en Egypte les formations désertiques étaient prédominantes, comprenant les mêmes éléments qu'aujourd'hui mais avec une plus large extension. A la même époche le Soudan connaissait une végétation de savanes tropicales. Autour de 7000 ans bp, la zone de végétation sahélienne se situait à 500–600 km plus au nord de sa limite actuelle, et vers 5700 ans bp elle était encore à 300–400 km. La flore soudanienne de Fachi-Dogonboulo, Niger, datée de 7000 ans bp, indique un déplacement simultané des zones de végétation au Sahara Oriental et Central. Sous l'effet d'un assèchement croissant à partir de 5200 ans bp, les formations de savane se sont retirées vers le sud, jusqu'à atteindre leur situation actuelle vers 3300 ans bp.
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Recent research at Qasr Ibrim in Egyptian Nubia shows that, during the last 3000 years, this hill-top site commanding a long stretch of the Nile in the First Cataract region was usually controlled by polities centered further to the south — Napatan, Meroitic and Christian. Even when controlled by northerners — Greek, Roman or Turkish — is was still a frontier post. It is suggested that this evidence, showing that the frontier between the states dominating the Lower and Middle Nile was located as far north as the First Cataract, helps explain the lack of Mediterranean influence in the Upper Nile basin and, beyond, in sub-Saharan Africa. The Nubian Corridor was, in fact, blocked so far north that it is best described as a cul de sac.
Résumé Les recherches menées à Qasr Ibrim dans la Nubie égyptienne ces dernières années montrent que ce site, qui domine du sommet d'une colline une partie assez grande du Nil dans la région de la première cataracte, a été controlé pendant les trois derniers millénaires par une série de royaumes dont les centres se situaient plus au sud — royaumes de Napata et Meröe, royaume chrétien. Qasr Ibrim restait un poste frontière même quand il passait sous contrôle des peuples du nord — grecques, romains ou turques. Ces données, qui montrent que la frontière entre les royaumes qui dominaient le bas Nil et ceux qui dominaient le moyen Nil se trouvaient très au nord jusqu'à la première cataracte, peuvent nous aider à comprendre l'absence d'influences méditerranéennes dans le bassin de l'haut Nil et au délà, dans l'Afrique au sud du Sahara. A vrai dire, le coloir nubien était barré autant au nord qu'il mérite d'être considéré plutôt comme une impasse.
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Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

20.
The recent archaeological campaign (regional site survey and excavations at the mound complex of Akumbu) has demonstrated that the Méma, a dry Sahelian region with a scattered population, was intensively occupied during the Iron Age. This intense occupation, certainly associated with better environmental conditions, extends back to the Late Stone Age. During the regional survey more than 100 Iron Age sites and nearly 30 Late Stone Age sites were identified; their size, surface material and features, and location on geomorphological zones were recorded. A series of radiocarbon dates spanning the fourth to fourteenth centuries ad obtained from the excavations at the Iron Age mound complex of Akumbu and a preliminary analysis of the pottery from both the excavations and the survey permitted the determination of a broad chronology of occupation. Numerous slag heaps (associated with smelting furnace remains) found during the survey and imported goods uncovered during the excavations at Akumbu indicate that both iron production and long-distance trade played an important role in the Méma economy.
Résumé Une campagne archéologique (reconnaissance et fouilles) exécutée en 1989–1990 a montré que le Méma, une région sahelienne de grande sécheresse à population actuellement éparse, était intensément peuplé pendant la période de l'Age du Fer. Cette intense occupation, certainement liée à de meilleures conditions climatiques, semble remonter à la période du néolithique. Au cours de la reconnaissance, conduite à l'échelle régionale, plus d'une centaine de sites datant de l'Age du Fer et environ une trentaine de sites néolithiques furent identifiés, enregistrés et décrits en termes de leurs dimensions, matériels et caractéristiques de surface, et environnement. Une série de datations au radiocarbone, obtenue lors de la fouille sur le complexe de buttes d'habitat de Akumbu, dans la partie ouest du Méma, indique une occupation s'étendant du quatrième siècle au quatorzième siècle de notre ère. La découverte d'imposants amas de scories, associés à des restes de hauts fourneaux, et objets exotiques trouvés lors des fouilles à Akumbu, attestent que la production de fer et le commerce à longue distance jouaient tous les deux un important rôle dans l'économie du Méma.
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