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1.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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2.
The Nyanga agricultural complex through its cultivation terraces and ridges represents one of the most intensified agricultural systems in southern African prehistory. In such a well developed system of land management and use, iron tools played a crucial role in clearing the land for cultivation as well as for domestic building purposes. Important to this dimension is the need to understand iron production and use in prehistoric societies. This paper aims for the first time to look at iron technology in the Nyanga agricultural complex through an initial analysis of iron extraction remains such as ore, slag, and furnace fragments. As a result, the technical data obtained will be used to develop hypotheses which future research can engage. This paper is a preliminary statement toward developing an understanding of iron production to meet various purposes from the deeper past to the historical period.Le complexe agricole Nyanga avec ses terrasses et collines cultivées représente un des systèmes agricoles les plus intensifs de la préhistoire de l'Afrique du sud. Dans ce système d'organisation et d'exploitation bien développé les outils en fer jouent un rôle important dans la cultivation du sol et la construction des bâtiments. Il est nécessaire de bien connaître les méthodes de production et d'utilisation du fer dans les sociétés préhistoriques. Cet article traite pour la première fois de la technologie du fer dans le complexe agricole Nyanga en présentant des analyses préliminaires des restes de l'exploitation du fer tels les minerais, les scories et les fragments de fourneaux. Les résultats de l'étude de ces techniques vont servir à développer des hypothèses qui aideront à faire avancer les recherches futures. Cet article représente un essai préliminaire pour développer nos connaisaences sur la production du fer destiné à de multiples usages depuis les temps les plus reculés jusqu à la période préhistorique.  相似文献   

3.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

4.
Swahili ethnographic information was used to interpret eighteenth-century coral house excavations in Lamu, Kenya. The author was especially interested in learning the symbolic or social meaning of durable objects that were found in archaeological assemblages. It was learned that many of the artefacts found in the excavations are related to rituals performed in Swahili houses. The spaces within the house are ranked and used to teach social position. Features of coral houses, animal remains, infant burials, shells, ceramics, and beads can be shown to have symbolic meaning within the Swahili context.
Résumé L'auteur a utilisé des informations ethnographiques souahélies afin d'interpréter les fouilles de maisons en corail du 18e siècle à Lamu, Kenya. Elle s'intéressait surtout à connaître la signification symbolique ou sociale des objets non-périssables trouvés dans les assemblages archéologiques. Elle a appris que beaucoup des artefacts trouvés pendant les fouilles sont à rattacher aux rituels célébrés dans les maisons souahélies. Les espaces à l'intérieur de la maison sont classés et utilisés afin de montrer la position sociale. On peut démontrer que certaines particularités des maisons en corail, les restes de faune, les inhumations de tous petits enfants, la céramique et les grains de collier ont des significations symboliques dans leur contexte souahéli.
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5.
The Phalaborwa region in the Northern Province of South Africa has one of the richest copper- and iron-bearing deposits in southern Africa. These deposits have been worked for 1200 years and are still being worked. The abundance of ore reduction and metal production sites, dating mostly to the Late Iron Age, testifies to the importance of these deposits. Those sites that were excavated provide valuable insight into the industrial processes, economy, rituals, and use of animals by these specialized communities. The faunal remains reflect different lifestyles, but also indicate that animal husbandry was not of primary importance. The communities were focused predominantly on metal production. The soils and climate of the region are not very suitable for herding and agriculture. Subsequently products of the metal working activities such as hoes were used as replacement for cattle in bride wealth. La région Phalaborwa dans la province Nord d'Afrique de Sud constitue l'un des dépôts les plus riches de cuivre et de fer du sud d'Afrique. Ces dépôts ont été exploités pendant 1200 années et le sont toujours. L'importance de la réduction du minerais et de la production de métal de ces sites, datés pour la plupart sur la fin del'Age de Fer, témoignent de la richesse de ces dépôts. Deux sites qui furent fouillés, donnent des renseignements valables à propos des processus industriels, de l'économie, desrites et de l'utilisation des animaux par ces communautes spécialisées. Les ossements de la faune reflètent différents modes de view, mais indiquent également que l'économie animalière n'était pas de la première importance. Les sols et le climat de la région ne sont propices, ni à l'agriculture. D'autres produits issus du travail du fer, comme des houes, ont été utilisées en remplacement de l'élevage.  相似文献   

6.
This paper reports the combined preliminary results of the Italian Mission to Kassala and the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project. Both groups have been carrying out extensive survey and test excavations in the Southern Atbai of the East Central Sudan, between the Atbara and Gash Rivers. This work has led to the recognition of a previously unknown culture area and ceramic tradition which spans about 5000 years and, at its peak, probably covered about 100,000 sq. km east of the Nile. This ceramic tradition, the Atbai Tradition, is associated with the development of large villages (over 10 ha) during the 4th millennium bc.
Résumé Le présent article rapporte les résultats préliminaires combinés de la Mission italienne à Kassala et du projet Butana entrepris en commun par les universités de Khartoum et Southern Methodist. Ces deux groupes ont réalisé des reconnaissances archéologiques extensives et des sondages dans le sud de l'Atbai, dans la partie centrale orientale du Soudan, entre les rivières Atbara et Gash. Leur travail a mené à la reconnaissance d'une civilisation et d'une tradition céramique auparavant inconnues qui durèrent quelque 5000 ans et qui couvraient à leur apogée environ 100,000 km2 à l'est du Nil. Cette tradition céramique, la tradition Atbai, est associée au développement des grands villages (de plus de 10 ha) au cours du 4e millénaire avant notre ère.
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7.
This paper describes new rock art sites in the region east of Idfu, where at least 50 sites with several thousands of petroglyphs offer huge potential for future research. Site ET-A/WB 4 provides the largest representation of a boat yet discovered in the Eastern Desert; it is part of a scene extending over about 10 m of rock with boats, animals and human figures in procession. This scene and another one from site ET-A/WB 5 can be dated to the transition from the prehistoric to the dynastic periods. All sites in the Wadi el-Barramiya are endangered due to their location near a main road used by construction works and visitors.
Résumé Dans cet article quelques sites à gravures rupestres récemment découverts dans la région à l'est d'Idfu sont décrits. Une cinquantaine de ces sites avec des milliers de pétroglyphes présentent un potentiel énorme pour les recherches futures. Le site ET-A/WB 4 nous donne la représentation d'un bâteau la plus grande connue jusqu' à présent dans le désert oriental d'Egypte. Cette représentation cependant ne constitue qu'un morceau d'un tableau qui se prolonge sur environ 10 m de la surface rocheuse avec des bâteaux, des animaux et des formes humaines en cortège. Ce tableau ainsi qu'un autre du site ET-A/WB 5 peut être situé chronologiquement à la transition de l'époque préhistorique et l'époque dynastique. Tous les sites du Wadi el-Barramiya sont menacés en raison de leur proximité d'une grande route fréquentée par les touristes et aussi par les travaux publics.
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8.
Circular concentrations of stone fragments or pebbles occur widely in the Sahara, mostly on the great alluvial plains or along the foot of the escarpments. They are interpreted as fireplaces, but associated archaeological remains are usually scarce. More than 50 radiocarbon dates indicated that these features are of neolithic age, ranging fromca 9000 toca 3500 bp, with a maximum occurrence at 5800–5000 bp. In some regions they are extremely rare, elsewhere their density may exceed 30 per square kilometre. There are several reasons for attributing these fireplaces to neolithic cattle herders.
Résumé Il y a de nombreuses concentrations circulaires de fragments de pierre ou de galets au Sahara; ils se trouvent surtout dans les grandes plaines alluviales, ou le long du pied des escarpements. On les interprète comme des foyers, mais d'habitude on n'y trouve que très peu de restes archéologiques qui y sont associés. Plus de 50 datations au radiocarbone ont indiqué que ces sites datent du Néolithique, s'échelonnant deca 9000 àca 3500 bp, avec une forte concentration entre 5800 et 5000 bp. Dans certaines régions ces sites sont très rares, tandis qu'ailleurs leur densité peut être supérieure à 30 par kilomètre carré. Pour plusieurs raisons on attribue ces foyers à des pasteurs des boeufs du Néolithique.
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9.
The rock shelter of Shum Laka, situated in the Grassfields of northwestern Cameroon, was occupied during the later Pleistocene and Holocene. Plant remains reveal that there were no drastic changes in the immediate environment of the shelter between 30,000 and 10,000 bp. The industry is microlithic during this entire period. Quartz was deliberately chosen as the preferred raw material and there were no changes in technology or raw material usage over time. A comparison with similar sites in the northeastern Democratic Republic of Congo reveals that the microlithic quartz tradition was apparently appropriate for the exploitation of a wide variety of environmental settings. This flexibility may represent an adequate technological response to the environmental changes in Central Africa at the end of the Pleistocene.L'abri sous roche de Shum Laka, situé dans les Grassfields au nord-ouest du Cameroun, a été occupé depuis la fin du Pléistocène. Les restes de plantes montrent qu'il n'y a pas eu de changements importants dans l'environnement immédiat de l'abri entre 30,000 et 10,000 bp. L'industrie est microlithique pendant toute cette période. Le choix du quartz comme matière première préferentielle était délibéré par ailleurs, ni la technologie, ni l'utilisation des matières premières n'ont subi de modifications conséquentes au cours de cette période. Une comparaison avec des sites similaires du nord-est de la République Démocratique du Congo nous montre que la tradition microlithique sur quartz aurait été appropriée dans l'exploitation d'une grande variété d'écosystèmes. Cette flexibilité pourrait traduire une réponse technologique adéquate face aux changements environnementaux qui ont eu lieu en Afrique Centrale à la fin du Pléistocène.  相似文献   

10.
The sparse archaeological remains attributed to pastoralists in north-central Kenya include quantities of smelting debris. A preliminary investigation suggests that smelting sites occur in two distinct locations: a majority in the lowlands at mountain bases or plains oases, and a minority on low mountain ridges. Mountain-base sites would offer direct access to the natural and human resources required for smelting ores, forging iron, and exchanging finished implements. At ridge-top sites, however, these resources would be inaccessible. Descendants of the last Maa-speaking smelters suggest that pre-colonial blacksmiths may periodically have resettled in mountains to continue their craft in the face of intense interethnic conflict. The conflict hypothesis is evaluated against oral traditions and archaeological evidence.
Résumé Les vestiges archéologiques attribués aux pastoralistes de la région nord-centrale du Kenya comprennent des quantités de débris de fonte. Une investigation préliminaire suggère que des gisements de fondeurs se trouvent dans deux situations différentes: la plupart sont dans la plaine au pied des montagnes ou dans des oasis, tandis qu'une minorité de gisements se trouve sur de basses crêtes de montagnes. Les gisements au pied des montagnes offriraient un acces direct aux ressources naturelles et humaines necessaires pour fondre les minérais, forger le fer, et échanger des outils achevés. Par contre, dans les gisements de crête, ces ressources seraient inaccessibles. Les descendants des derniers fondeurs de langue Maa suggèrent que des forgerons précoloniaux ont peut-être ré-occupé les montagnes périodiquement et poursuivi leur métier face aux conflits intenses entre différents groupes ethniques. L'hypothèse du conflit est evaluée par rapport aux traditions orales et aux vestiges archéologiques.
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11.
This study is an attempt to provide a chronological seriation of pottery from Igbomina in northcentral Yorubaland. The ceramic sequence is developed using multivariate statistical analysis. From the K-means cluster analysis, ceramic collections that are roughly contemporaneous were grouped together; next the collections were seriated with multidimensional scaling to reveal whether they form a pattern that may be chronologically significant. Evaluation of the results of the pottery analysis from the Igbomina sites was based on the chronological division of Old Oyo pottery as well as on radiocarbon dating of associated material from excavated sites in the region. Pottery types from Old Oyo became known in Igbomina probably as early as the thirteenth century AD, and continued to occur in some areas until the late eighteenth century. The presence of Oyo pottery in Igbomina has important implications for the understanding of Oyo's relations with the northern Yoruba group and the frontier position of Igbomina during the Old Oyo Empire.Cette étude cherche à fournir une sériation chronologique de la céramique provenant de Igbomina situé dans la partie centrale du nord de Yorubaland. La séquene de céramique a été élaborée en utilisant une analyse statistique multidimensionnelle. Les collections de céramique plus ou moins contemporaines ont été groupées en se servant de la moyenne du facteur K de la classification ascendante hiérarchique, elles ont ensuite été ordonnées au moyen d'une analyse des proximités pour voir si elles formaient un schéma chronologique significatif. L'évaluation des résultats de l'analyse céramique des sites Iglomina est fondée sur les divisions chronologiques de la céramique Oyo ancienne ainsi que sur des dates radiocarbones obtenues sur du matériel en association provenant de sites fouillés dans la région. Les types de céramique de l'Oyo ancien sont probablement arrivés à Igbomina dès le 13ème siècle et ont continué à apparaître dans certains endroits jusqu'à la fin du 18ème siècle. La présence de la céramique Oyo à Igbomina comporte des implications importantes pour nos connaissances sur les relations des Oyo avec les groupes Yoruba du nord et sur la position de la frontière de Igbomina pendant l'empire Oyo ancien.  相似文献   

12.
Cultural development in the middle Nile Valley from 10,000 to 2000 bp was characterized by significant subsistence changes — from hunting/gathering and simple aquatic resource exploitation to cultivation of domestic sorghum. Research in the Atbara and Khartoum regions enables us to identify distinct technological phases relating to resource diversification as well as specialization. Pottery was an important technological innovation which had far-reaching consequences for development of a more diversified use of aquatic and cereal resources. A basic distinction is made between cultivation and domestication as two separate but interdependent processes — the first a socio-economic process relating to peoples' activities, the second a biological process relating to morphological changes in the plants. Cultivation is considered to be evolutionarily prior and to have constituted the selection pressures which led to the emergence of domesticated plants. Cultivation of sorghum was practised from the 6th millennium bp but domesticated sorghum emerged only around 2000 bp. Specialized pastoralism and the use of secondary products like milk and blood appear to have become important in the late 6th millennium bp. An attempt is made to connect the development of technological traditions with that of Nilo-Saharan and Cushitic languages.
Résumé Le developpement culturel dans la vallée du Nil moyen est caractérisé par un changement significatif du mode de subsistance: de chasseurs/cueilleurs exploitant de simple ressources aquatiques à celui de cultivateurs de sorgho domestiqué.Les recherches dans la région d'Atbara et de Khartoum ont permis de mettre en evidence des phases technologiques distinctes correspondant à la diversification et à la spécialisation des ressources. L'introduction de la poterie est une innovation technologique importante conduisant au développement de la diversification dans l'utilisation des ressources aquatiques et des céréales. La culture et la domestication sont considérées comme des processus distincts mais interdépendants — le premier étant un processus socio-économique lié aux activités humaines et le deuxième un processus biologique lié aux changements morphologiques des plantes.D'un point de vue evolutionniste, on considère que la culture s'est développée en premier, fournissant les pressions de selection qui conduisirent à l'émergence des plantes domestiquées. La culture du sorgho a été pratiquée à partir du sixième millénaire bp, cependant que le sorgho domestique n'émerge qu'aux environs de 2000 bp.Le pastoralisme specialisé et l'utilisation des produits secondaires tels que le lait et le sang semblent avoir pris de l'importance vers la fin du sixième millénaire bp.Un essai de corrélation du developpement des traditions technologiques avec ceux des langus de famille Nilo-saharienne et Couchitique est présenté.
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13.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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14.
The site of Lukenya Hill, Kenya, is one of the richest Later Stone Age (LSA) sites in East Africa. Its sequence documents the increasing manufacture of microlithic tools, one of the hallmarks of hunter–gatherer behavioral modernity (Bar-Yosef and Kuhn, 1999). This paper presents results of excavations at the LSA site of GvJm62, Lukenya Hill, and analysis of site formation processes on this inselberg rock shelter. It examines lithic assemblages from GvJm62 and four other Pleistocene-dated LSA sites at Lukenya Hill. Differences in raw material use, typology, and chronology indicate that there are three different kinds of LSA industries in the sampled sites at Lukenya Hill. Changes in technology, activities, and land use patterns can explain the differences among these three industries. The Lukenya Hill sequence is compared with other East African LSA industries.Le gisement de Lukenya Hill en Kenya est un des gisements les plus riches du type Paleolithique Superieure en Afrique de l'Est. La sequence demonstre l'éxistence et ensuite le fréquence des outils microlithiques. Cet article présent les résultats des fouilles du gisement de GvJm62 à Lukenya Hill et présent un étude des methodes de formation du gisement. On examine les outils lithiques de GvJm62 et quatre autres gisements à Lukenya Hill. Les differences des types des matières premiers, de la chronologie, et des types d'outils suggèrent qu'il y a trois types d'industrie à Lukenya Hill. On peut expliquer ces differences par changements en la technologie, les activités et les modèles de l'utilisation de la terre. La séquence à Lukenya Hill est comparée avec les autres industries Est Africain.  相似文献   

15.
Recent research in the easternmost area of the Maadi village-site near Cairo has yielded new data concerning both the nature of the occupation and the economy of the predynastic communities in Lower Egypt. Imported objects and raw materials, together with specialized crafts, have already suggested the existence of well organized village life, enriched by trading activities and foreign contacts, somehow related to expanding spheres of prestige. These conclusions are now amplified by evidence for a wide range of fully domesticated animal and plant species, including the remarkable occurrence of the domestic ass.Evaluation of both the artefacts and their distribution leads us to distinguish different areas in the site and to relate them to a long development through time. It is now necessary that more detailed typological comparisons be undertaken.
Résumé Des recherches récentes dans la partie orientale du site de l'ancien village de Maadi près du Caire ont fourni de nouvelles données concernant la nature de l'occupation et l'économie des communautés pré-dynastiques en Basse Egypte. Des objets et des matières premières importés, ainsi que les artisanats spécialisés, avaient déjà suggéré que la vie au village était bien organisée, et enrichie par le commerce et par des contacts avec l'étranger, et que ceci était lié d'une manière quelconque à des sphères de prestige en expansion. Ces conclusions sont maintenant amplifiées par les évidences de toute une série d'espèces d'animaux et de plantes tout à fait domestiquées, y compris l'occurrence remarquable de l'âne domestiqué. L'évaluation des trouvailles et de leur répartition nous amène à distinguer de différentes zones d'activité dans le gisement, et les rattache à un long développement à travers le temps. Des comparaisons typologiques plus détaillées devraient maintenant être entreprises.
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16.
Résumé Isenya est le premier site acheuléen fouillé sur les hauts plateaux du Kenya. Sa richesse en vestiges lithiques et fauniques en fait dès maintenant un gisement important pour la connaissance des hominidés du Pléistocène moyen. Isenya est inclus dans un contexte sédimentaire fluviatile, indiquant que les hommes préhistoriques se sont installés sur une barre sableuse, le long d'une rivière qui était alors peut-être pérenne. La convergence des informations géologiques et archéologiques permet d'expliquer la mise en place des vestiges, la positionin situ de plusieurs niveaux d'occupation superposés, le faible degré de perturbation qu'ils ont subi, et l'origine essentiellement anthropique des associations os/pierres. L'industrie lithique est caractérisée par une grande abondance de bifaces et de hachereaux dont les proportions varient dans le temps. Une première analyse de l'ensemble apporte d'ores et déjà des indications sur les comportements techniques: les chaînes opératoires sont décryptées, depuis l'acquisition des matériaux jusqu'à l'obtention des outils. La faune associée à cet outillage est dominée par des animaux de savane ouverte (Alcelaphini etAntilopini). Son étude détaillée mettra en évidence les stratégies d'acquisition du gibier et son mode de consommation. Attirés, entre autres raisons, par la proximité de l'eau et des affleurements de phonolite, source principale de matière première pour l'outillage, les hominidés ont occupé cet enfroit de façon répétée dans un court laps de temps, selon une périodicité à rapprocher sans doute des comportements de subsistance.
Isenya is the first Acheulian site excavated in the Eastern Highlands of Kenya. Very rich lithic and faunal remains in a fluviatile sedimentary context indicate hominid activity on a sandy bar next to a river, which was perhaps perennial. Microstratigraphy and archaeological data permit reconstruction of the processes by which the remains were deposited. Severalin situ occupation layers show only a slight degree of perturbation. The bone assemblage is of anthropic origin, and the lithic industry is characterized by an abundance of bifacial pieces, level VI being particularly rich in cleavers. From the analysis of the lithic industry we can obtain some idea of hominid technological behaviour, most notably the operational chains of tool production from the procurement of raw materials to the knapping sequences. The fauna associated with the lithic materials is dominated by animals of the open savanna (Alcelaphini andAntilopini); and its detailed study will allow us to specify the strategies used in the procurement of game and its subsequent consumption. Without doubt, the reasons for hominid occupation at this particular site will be impossible to explain fully. However, choice of this location, where evidence for several different activities has been uncovered, should be considered in terms of the proximity both of water and of outcrops of phonolite, the principal raw material for tool-making. Repeated occupation by hominids over a short time may, perhaps, correspond to the periodicity of their subsistence behaviour.
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17.
Assessment of radiocarbon measurements from the central Sudan provides the following calendrical age estimates:Early Khartoum >7000-ca 5000 BC.Early Neolithic Groupca 4900-4450 BCMiddle Neolithic Groupca 4400-3800 BCLate Neolithic Groupca 3500-2700 BCThese estimates indicate that the early Neolithic settlements in the central Sudan were established at about the same time as those at Merimda Beni Salama in the Nile Delta and the Fayum. The Predynastic sites of Upper Egypt are later in age. The Badarian at Hemamieh is probably coeval with Shaheinab. Available dates on the Badarian are younger than those for some Khartoum Neolithic sites, but the Badarian is poorly dated.
Résumé L'evaluation de datations au radiocarbone du Soudan Central a fourni les âges absolus suivants:Early Khartoum >7000 c. 5000 BCGroupe du Néolithique inférieur c. 4900-4450 BCGroupe du Néolithique moyen c. 4400-3800 BCGroupe du Néolithique supérieur c. 3500-2700 BCCes résultats indiquent que les habitations néolithiques au Soudan Central furent établies à peu près à la même époque que celles à Merimda Beni Salama dans le Delta du Nil et au Fayoum. Les gisements prédynastiques de la Haute Egypte sont plus récents. Le Badarien à Hemamieh est probablement contemporain de Shaheinab. Les datations disponibles pour le Badarien sont plus récentes que celles de certains gisements néolithiques de Khartoum, mais le Badarien est mal daté.
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18.
The paper examines the regional scale research in the Middle Nile Valley within the context of historical development of archaeology of Nubia and Central Sudan. This historical overview is put in the context of archaeological theory, especially the concept of landscape archaeology. A discussion of various theoretical issues is followed by the presentation of the natural, economic, political, cultural and sacred landscapes of Nubia and Central Sudan. Past field research is presented and the emerging trends are identified.La présente communication examine la recherche à l'échelle régionale dans la vallée du Nil Moyen dans le contexte du développement historique de l'archéologie de la Nubie et du Soudan central. Ce survol historique est situé dans le contexte de l'archéologie théorique, particulièrement l'archéologie du paysage. Une discussion des problèmes théoriques est suivie d'une présentation des paysages naturel, économique, politique, culturel et sacré de la Nubie et du Soudan central. Les recherches antérieures sont aussi présentées et les nouvelles tendances sont identifiées.  相似文献   

19.
Examination of the spatial organization of prehistoric farming hamlets in southwestern Zambia permits certain suggestions about the structure of prehistoric economic and social practice. Slash-and-burn agriculture facilitated the movement of farmers into favoured microenvironments. Its extensive land requirements regulated population growth and encouraged territorial expansion. After the ninth century AD, a cyclical use of agricultural opportunities was instituted. Through this time, social constraints concentrated the dispersed population within single microenvironments. Subsequent adaptation to the simultaneous use of diverse microenvironments was supported by the expansion of herding activities and the role of cattle in maintaining socio-political prestige.
Résumé L'étude de l'organisation spatiale des hameaux agricoles préhistoriques du Sud-Ouest de la Zambie nous permet d'avancer certaines suggestions au sujet de la structure des pratiques économiques et sociales pendant la préhistoire. La culture sur brûlis de forêt a facilité la déplacement des agriculteurs vers des microenvironnements Préférés—et comme ces défrichements utilisaient beaucoup de terrain, ils ont réglé la croissance démographique, et ont encouragé l'expansion territoriale. Après le neuvième siècle après J.C., une utilisation cyclique des possibilités agricoles s'est établie. Pendant cette période des contraintes sociales ont concentré la population dispersée dans des microenvironnements particuliers. L'adaptation plus tard à l'utilisation simultanée de microenvironnements divers était soutenue par l'expansion de l'élevage et par le rôle du bétail dans le maintien du prestige socio-politique.
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20.
Subsistence practices of the Kintampo cultural complex of sub-Saharan West Africa are now known to have included pearl millet cultivation, in addition to the utilization of tropical forest margin species such as oil palm. Charred plant remains recovered from the Birimi site, northern Ghana, suggest that the growing of pearl millet, possibly in uniform stands, was occurring amongst northerly Kintampo groups during the fourth millennium bp. The cultivation of this drought-tolerant crop facilitated the establishment of sedentary villages by providing a storable food resource enabling Kintampo people to survive the protracted dry season of the West African savanna.Nous savons maintenant que les pratiques de subsistance du complexe culturel Kintampo de l'Afrique de l'Ouest sub-saharien comprenaient la culture du mil à chandelle ainsi que l'utilisation d'espèces végétales qui poussaient en bordure de la forêt tropicale, comme le palmier à huile. Des restes de plantes carbonisé ont été récupérées du site du Birimi dans le Nord du Ghana; elles suggèrent que la pratique de la culture du mil à chandelle dont les plantations étaient peut-être déjà uniformes, se soit produite parmi les groupes Kintampo du Nord pendant le quatrième millénaire bp. La culture du mil à chandelle tolérait la sécheresse et avait ainsi facilité l'établissement de villages sédentaires car elle fournissait des ressources alimentaires entreposables. Cela permettait aux groupes Kintampo de survivre pendant la longue saison sèche de la savane de l'Afrique de l'Ouest.  相似文献   

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