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1.
This paper examines the history of African metallurgy in the era of Atlantic trade. It reports on excavations at the John Reeder foundry site in St Thomas, Jamaica. The transfer of African technologies to the Caribbean reveals the plantation economy's dependence on African technical expertise, not merely slave labour. The comprehensive focus on the Atlantic world also informs archaeological investigations of African-European interaction in West Central Africa. The complexity of Atlantic technological history is characterized by a diverse range of dynamic interactions, rather than the inevitable decline of Africanderived systems. Only by identifying processes as well as products of African technological interaction will it be possible fully to reconstruct the forging of the African past.
Résumé Cet article examine l'histoire de la métallurgie africaine à l'ère du commerce atlantique. Il rend compte des excavations au site de la fonderie John Reeder, à St Thomas, en Jamaïque. Le transfert des technologies africaines aux Antilles révèle à quel point l'économie de plantation dépendait de l'expertise technique africaine, et pas seulement de l'esclavage. L'accent placé sur le monde atlantique inspire aussi les recherches archéologiques sur l'interaction afro-européenne à l'ouest de l'Afrique centrale. La complexité de l'histoire technologique atlantique est caractérisée par une gamme diverse d'interactions dynamiques, plutôt que par l'inévitable déclin des systèmes africains dérivés. Ce n'est qu'en identifiant les processus aussi bien que les produits de l'interaction technologique africaine qu'il sera possible de reconstruire complètement l'élaboration du passé africain.
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2.
The lakeshore site of Ishango in Zaïre has been interpreted as an early locus of a generalized fishing adaptation or aquatic civilization which spread rapidly across eastern and northern Africa during the wetter climatic conditions of the early to mid-Holocene. New evidence from Ishango implies that this adaptation may have developed in the late Pleistocene and that its technology subsequently diffused to other regions where it was associated with a range of lithic styles, varying economies, and occasional ceramics.
Résumé Le gisement lacustre d'Ishango au Zaïre a été interprété comme l'ancien locus d'une adaptation généralisée à la pêche ou d'une civilisation aquatique qui s'est étendue rapidement dans l'Afrique orientale et septentrionale au cours des conditions climatiques plus humides de la première moitié de l'Holocène. De nouveaux indices à Ishango impliquent que cette adaptation a pu se développer au cours du Pléistocène tardif, et que sa technologie s'est diffusée ultérieurement dans d'autres régions où elle était associée à toute une série de styles lithiques, à des économies variées, et de temps en temps à des céramiques.
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3.
The technology of the end products i.e. blades and points in Late Pleistocene stone artefact assemblages from Klasies River, South Africa, and the Nile Valley, Egypt, are compared. The comparison includes univariate and multivariate analysis of metrical attributes enhanced by graphical biplot displays. The end products in these assemblages are either dominantly points or blades and this is related to the core reduction strategy adopted. The MSA 11 from Klasies River and the Nubian Complex industry from the Nile Valley are point industries made in the Levallois tradition, while the MSA 1 from Klasies River and the Taramsan from the Nile Valley may be non-Levallois or adapted Levallois blade industries. Dating of the assemblages shows the changes between dominant core reduction strategies are sequential and time restricted in both South and North Africa. It is concluded that variability of the same kind occurs in Middle Stone Age and Middle Palaeolithic assemblages south and north of the Sahara in the early Late Pleistocene.Dans cet article, les technologies des produits recherchés, des lames et des pointes, pour certains ensembles lithiques de Klasies River, Afrique du Sud et la Vallée du Nil, Egypte, sont comparées. Cette comparaison implique des analyses univariées et multivariées de variables métriques biplot. Les produits recherchés sont bien des pointes que des lames, selon les stratégies dexploitation adoptées. Le MSA II de Klasies River et le Complexe nubien de la Vallée du Nil sont des industries à pointes issues de la tradition Levallois. Par contre, le MSA I de Klasies River et le Taramsien de la Vallée du Nil évoquent une technologie de production non-Levallois ou Levallois modifiée. Les éléments de datation disponibles indiquent que les changements dans la prépondérance des stratégies dexploitation senchaînent dans une séquence chronologique bien identifiable, aussibien dans lAfrique du Sud que lAfrique du Nord. On arrive à la conclusion quune variabilité du même caractère est attestée dans les ensembles du Middle Stone Age et du Paléolithique moyen au sud et au nord du Sahara, pendant le Pléistocène supérieur ancien.  相似文献   

4.
Mauermanshoek Shelter, in the Korannaberg of the eastern Free State, has traditional San hunter–gatherer rock art together with white finger-painted horsemen of uncertain authorship. The excavated material dates to between 3500 bp and approximately 200 bp. The lithic assemblages show little change throughout, but ceramics, glass beads, and domesticated animal remains appear in the uppermost levels. The issue of most interest is that of the shelter's occupancy in the last few hundred years. Historical records show that the ethnic composition of the eastern Free State was complex during this time and that there were both aggressive and cooperative interactions between the various groups. Kora pastoralists were notorious stock raiders and the secure identification of other people on the landscape was complicated by a tendency for early writers to call all raiders Kora. A combination of archaeological and historical evidence suggests that San occupied the shelter for most of its history but that Kora herders may have been responsible for the finger-painted horsemen somewhere between 1837 and 1851 when a Wesleyan Mission Station, Merumetsu, served the Kora of Korannaberg.La grotte de Mauermanshoek, située dans le Korannaberg, à l'est de la province du Free State, contient des peintres rupestres de tradition San, réalisées par des chasseurs/bergers, ainsi que des cavaliers blancs, peint avec le doigt, d'une origine incertaine. Le matériel qu'on a trouvé dans les fouilles daté d'une période entre 3500 bp et approximativement 200 bp. L'industrie lithique est très homogène sur l'ensemble du site, mais des céramiques, des perles de verre et des restes d'animaux domestiques sont présents aux niveaux supérieurs. L'occupation de l'abri pendant les quelques centaines d'années passées est d'un inérêt tout particulier. Selon les archives historiques, la composition ethnique de la partie est du Free State était, à l'époque, complexe et il y avait les interactions à la fois agressifs et coopératifs entre les groupes différents. Les pasteurs Kora sont bien connus pour leur réputation d'attaquer les troupeaux mais l'identification certaine des autres peuplades est compliquée par le fait que les premiers écrivains rapportaient tous les aggresseurs comme des Kora. Une combinaison d'indices archeologiques et historiques suggère que les San occupèrent cette grotte pour la plus grande partie de son histoire mais que des bergers Kora pourraient être à l'origine des cavaliers peints avec le doigt, probablement entre 1837–1851, la période durant laquelle une mission Wesleyan servait le Kora de la région du Korannaberg.  相似文献   

5.
Pottery containing abundant organic and siliceous particles of the swamp-dwelling spongeEunapius nitens occurs at occupation sites dated between 3500 and 1500 bp flanking the White Nile in central Sudan. Megascleres, gemmoscleres and gemmules in vast numbers are well preserved in the pottery, megascleres forming the temper. Common features of sponge pottery are: fine paste; wall thickness in the range 4 to 9 mm; internal scoring; deepish, steep-walled bowls with straight or slightly everted rims often decorated with chevron pattern; and a variety of well executed external decoration by incision, rouletting and stamping. Thorough study of the distribution, economy, affinities and chronology of the peoples practising this swamp-based technology is yet to be made. The pottery forms part of a wider tradition in the Nile basin.
Résumé Dans des sites d'habitat de 3500 à 1500 bp, le long du Nil Blanc, au Soudan central, se trouve une céramique contenant de nombreuses particules organiques et silicieuses de l'épongeEunapius nitens, qui habite les marais. D'énormes quantités de mégasclères, de gemmosclères et de gemmules sont bien préservées dans la céramique—les mégasclères en forment le dégraissant. Parmi les traits communs de la céramique à éponge sont: une pâte fine; des parois épaisses de 4 à 9 mm; des stries internes; des bols profonds à parois raides avec des bords droits ou un peu éversés, souvent décorés de chevrons; et une variété de décors externes bien exécutés par des incisions, des roulettes ou des estampages. On n'a pas encore fait une étude approfondie de la répartition, de l'économie, des affinités et de la chronologie des peuples qui pratiquaient cette technologie des marais. Cette poterie fait partie d'une tradition plus large dans le bassin du Nil.
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6.
The site of Lukenya Hill, Kenya, is one of the richest Later Stone Age (LSA) sites in East Africa. Its sequence documents the increasing manufacture of microlithic tools, one of the hallmarks of hunter–gatherer behavioral modernity (Bar-Yosef and Kuhn, 1999). This paper presents results of excavations at the LSA site of GvJm62, Lukenya Hill, and analysis of site formation processes on this inselberg rock shelter. It examines lithic assemblages from GvJm62 and four other Pleistocene-dated LSA sites at Lukenya Hill. Differences in raw material use, typology, and chronology indicate that there are three different kinds of LSA industries in the sampled sites at Lukenya Hill. Changes in technology, activities, and land use patterns can explain the differences among these three industries. The Lukenya Hill sequence is compared with other East African LSA industries.Le gisement de Lukenya Hill en Kenya est un des gisements les plus riches du type Paleolithique Superieure en Afrique de l'Est. La sequence demonstre l'éxistence et ensuite le fréquence des outils microlithiques. Cet article présent les résultats des fouilles du gisement de GvJm62 à Lukenya Hill et présent un étude des methodes de formation du gisement. On examine les outils lithiques de GvJm62 et quatre autres gisements à Lukenya Hill. Les differences des types des matières premiers, de la chronologie, et des types d'outils suggèrent qu'il y a trois types d'industrie à Lukenya Hill. On peut expliquer ces differences par changements en la technologie, les activités et les modèles de l'utilisation de la terre. La séquence à Lukenya Hill est comparée avec les autres industries Est Africain.  相似文献   

7.
Discovery of the uses and later the invention of fire-making are fundamental to humanity. Following reports over the last decade of traces of fire found on Lower Pleistocene archaeological sites in eastern Africa, the dating of the control of fire by hominids has become a controversial issue. In this paper we critically review the contexts and, in the light of a battery of archaeometric techniques, the nature of reported instances of fire from Koobi Fora and Chesowanja in Kenya, and from Gadeb and the Middle Awash in Ethiopia. We conclude with a discussion of the roles fire may have played in the lifeways of early Pleistocene savanna-living hominids.
Résumé La découverte des usages du feu et ensuite de sa préparation est fondamentale pour l'humanité. Suite à des rapports au cours de la dernière décennie signalant des traces de feu relevées dans des sites archéologiques du Pléistocène inférieur dans l'est de l'Afrique, la datation du contrôle du feu par les hominiens est devenu une source de controverse. Dans cet article, nous révisons d'un oeil critique les contextes et la nature des cas de feu signalés à Koobi Fora et à Chesowanja au Kenya, et à Gadeb et dans l'Awash moyen en Éthiopie, à la lumière d'une suite de techniques archéometriques. Suit en conclusion une discussion sur les rôles qu'aurait pu jouer le feu dans les modes de vie des hominiens vivant dans les savannes du Pléistocène inférieur.
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8.
Within West African prehistory, perhaps no period remains more mysterious than that between the Terminal Pleistocene and the mid-Holocene. This time period is shared by diverse macrolithic and microlithic industries. The macrolithic phenomenon has remained ill-defined, with most occurrences being generally lumped together as a single group, or attributed to earlier time periods. Recent archaeological investigations in the Vallée du Serpent and southern Gourma regions of Mali have revealed Holocene macrolithic assemblages quite different from the well-known bifacial traditions of Cap Manuel and Manianbougou, but not without parallels from elsewhere in the Sahel and Savanna. The most important of the Vallée du Serpent sites is that of Sirakoro-Ancien, where worked stone aggregations are associated with several rings of laterite cobbles believed to be the remnants of structures. Its lithic industry consists of massive flakes, perhaps removed directly from local outcrops, and smaller flakes from prepared cores as well as formal tools. Geomorphological and archaeological evidence suggests an age of the Vallée du Serpent sites somewhere between 9000 and 6000 bp. A new synthesis based upon sites investigated by the authors and the predominantly Francophone literature is presented in order to shed light upon this neglected portion of African prehistory.
Résumé Dans toute la préhistoire de l'Afrique occidentale, aucune période ne reste peut-être plus mystérieuse que celle située entre la fin du Pléistocène et le milieu de l'Holocène. Diverses industries macrolithiques et microlithiques se partagent cette période. Le phénomène macrolithique reste mal défini, la plupart des exemples en sont généralement rassemblés en un seul groupe, ou attribués à des périodes antérieures. Des recherches archéologiques effectuées dans les régions de la vallée du Serpent et du sud du Gourma au Mali ont révélé des collections macrolithiques de l'Holocène bien différentes des traditions bifaciales bien connues de Cap Manuel et Manianbougou, mais non sans parallèles ailleurs dans le Sahel et la Savanne. Le plus important des sites de la vallée du Serpent est celui de SirakoroAncien où des agrégats de pierres travaillées sont associés à plusieurs cercles de galets en latérite que l'on pense être des restes de structures. Cette industrie lithique consiste en éclats massifs, peut-être retirés directement de couches géologiques locales, et en éclats plus petits provenant de nucleus préparés ainsi que des outils. Des preuves géomorphologiques et archéologiques suggèrent que les sites de la vallée du Serpent ont entre 9000 et 6000 ans. Une nouvelle synthèse, fondée sur les sites étudiés par les auteurs et des documents principalement en français, est présentée afin d'éclairer cette partie négligée de la préhistoire africaine.
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9.
One aspect of an ethno-archaeological study of the pottery system of the Luo people of Kenya is examined. It was discovered that ceramic micro-styles, distinctive combinations of decorative, formal and technological features characteristic of the different potter communities in a 3000 km2 region of western Kenya, are the product of local traditions of manufacture perpetuated by women potters recruited from outside the communities as a result of a patrilocal post-marital residence system. An analysis of the interplay of a mother-in-law/daughter-in-law learning pattern, strong pressures for post-marital resocialization, and processes of potter interaction in the generation of ceramic styles is undertaken and some implications for archaeological attempts to use ceramic patterning to uncover prehistoric social organization are discussed.
Résumé L'article examine un aspect d'une étude ethno-archéologique du système céramique du peuple Luo de Kenya. On a trouvé que des micro-styles céramiques, des combinaisons distinctives de traits décoratifs, formels et technologiques qui caractérisent les différentes communautés de potières dans une région de 3000 kilomètres carrés au Kenya occidental, sont le produit de traditions locales de fabrication. Ces traditions sont perpétuées par des potières recrutées hors des communautés à cause d'un système de résidence patrilocale après le mariage. L'auteur entreprend une analyse de l'interaction entre trois éléments dans la formation des styles céramiques: une tendance d'enseignement des méthodes de fabrication à belle-fille par belle-mère, des pressions intensives vers une resocialisation après le mariage, et des processus d'interaction entre potières. Elle discute quelques implications pour les archéologues qui essaient d'utiliser la structuration de la céramique afin de découvrir l'organisation sociale préhistorique.
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10.
The majority of the neolithic pottery from Dhar Tichitt and Oualata bears abundant plant impressions on its surface. The present study involves direct examination of these impressions and comparsion with a control series in the laboratory. The criteria for differentiation between impressions made by wild and cultivatedPennisetum are clearly defined. In the pottery from Oued Chebbi (Dhar Oualata), the existence of many many impressions of pearl millet (Pennisetum), including both wild and cultivated strains, is confirmed. It is concluded that the area around Dhar Tichitt and Oualata belongs to a non-centre zone of origin (Harlan 1975) and that,ca 3000 bp, its inhabitants knew how to use cultivated strains in an area where wild strains were also found in some abundance.
Résumé La céramique néolithique des dhars Tichitt et Oualata présente une abondance d'empreintes végétales en surface. La présente étude—basée sur la lecture directe des empreintes sur la céramique—s'appuye sur une série de référence fabriquée en laboratoire. Les critères de différenciation, dans le genrePennisetum, des empreintes de formes sauvages et de formes cultivées sont clairement précisées. L'existence, dans les céramiques de Oued Chebbi, de nombreuses empreintes de mil du genrePennisetum et, parmi celles-ci, de formes cultivées, est affirmée. Les différentes analyses d'empreintes permettent de penser que le secteure des dhars Tichitt et Oualata appartient à la zone d'origine non-centre définie par J. Harlan (1975) et qu'aux alentours de 3000 ans bp, ses habitants savaient exploiter des formes cultivées dans un cadre où les populations de forme sauvage avaient une certaine abondance.
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11.
Until recently the Grassfields (western Cameroon), cradle of the Bantu languages, were an unknown zone from the archaeological point of view. The excavations of Shum Laka rock shelter by de Maret and his team brought the most complete sequence in West Africa, spanning the Late Pleistocene and the Holocene. After 20 millennia of microlithic tradition (Late Stone Age), a new culture, with macrolithic tools, polishing and pottery (Stone to Metal Age), slowly developed ca. 7000 B.P. onwards. From this early period on, forest hunting was associated with the exploitation of Canarium schweinfurthii. Around 4000 B.P., an industry with waisted axes, blades, and pottery had emerged. With a striking technological continuity, this culture survived throughout the Iron Age. Increasing importance and diversity of trees exploited through the Stone to Metal Age and the Iron Age suggests arboriculture. Regional comparisons show that, between 5000 and 2500 B.P., an original culture developed in the Grassfields and the Cross River basin.Jusqu'à récemment, les Grassfields (Cameroun occidental), berceau des langues bantoues, étaient inconnus d'un point de vue archéologique. Les fouilles de l'abri de Shum Laka par de Maret et son équipe permirent d'établir la plus complète séquence d'Afrique occidentale, embrassant la fin du Pléistocène et l'Holocène. Après 20,000 millénaires de traditions microlithiques (Age de la Pierre Récent), une nouvelle culture, caractérisée par l'apparition d'outils macrolithiques, de polissage et de poterie (Age de la Pierre au Métal), se développe lentement à partir de 7000 B.P. Dès le début, la chasse en forêt est associée à l'exploitation de Canarium schweinfurthii. Vers 4000 B.P. une industrie avec haches à gorge, lames et poterie a émergé. Dans une continuité technologique surprenante, cette culture survivra à l'Age du Fer. L'arboriculture est suggérée par l'importance et la diversification des arbres exploités durant l'Age de la Pierre au Métal et l'Age du Fer. Des comparaisons régionales montrent que, entre 5000 et 2500 B.P., une culture originale se développe dans les Grassfields et le bassin de la Cross River.  相似文献   

12.
This paper describes Late Stone Age assemblages of quartz tools and debitage from sites near Luano Hot Spring, Chingola, Zambia. Formal tools at the Luano rock shelter site suggest a Nachikufan II to Nachikufan III sequence according to the traditional terminology. However, analysis of the debitage demonstrates that all levels of the site represent a single Late Stone Age technological tradition. Differences in formal tool frequencies at this site are better explained as activity facies. The implications of these results for our understanding of local Late Stone Age-Iron Age contacts are discussed.
Résumé Cet article décrit des ensemblages d'outils et d'éclats de débitage sur quartz de l'Age de la Pierre Récent provenant de sites proches des sources thermales de Luano, près de Chingola, en Zambie. Les outils de l'abri sous roche de Luano suggèrent une séquence allant du Nachikufien II au Nachikufien III selon la terminologie traditionnelle, cependant l'analyse du débitage montre que toutes les couches du gisement correspondent à une seule tradition technologique de l'Age de la Pierre Récent. Dans ce gisement, les différences de fréquences des types d'outils s'expliqueraient par des facies résultant d'activités différentes. Les implications de ces résultats pour l'etude locale des contacts entre l'Age de la Pierre Récent et l'Age du fer sont discutées ici.
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13.
The recent archaeological campaign (regional site survey and excavations at the mound complex of Akumbu) has demonstrated that the Méma, a dry Sahelian region with a scattered population, was intensively occupied during the Iron Age. This intense occupation, certainly associated with better environmental conditions, extends back to the Late Stone Age. During the regional survey more than 100 Iron Age sites and nearly 30 Late Stone Age sites were identified; their size, surface material and features, and location on geomorphological zones were recorded. A series of radiocarbon dates spanning the fourth to fourteenth centuries ad obtained from the excavations at the Iron Age mound complex of Akumbu and a preliminary analysis of the pottery from both the excavations and the survey permitted the determination of a broad chronology of occupation. Numerous slag heaps (associated with smelting furnace remains) found during the survey and imported goods uncovered during the excavations at Akumbu indicate that both iron production and long-distance trade played an important role in the Méma economy.
Résumé Une campagne archéologique (reconnaissance et fouilles) exécutée en 1989–1990 a montré que le Méma, une région sahelienne de grande sécheresse à population actuellement éparse, était intensément peuplé pendant la période de l'Age du Fer. Cette intense occupation, certainement liée à de meilleures conditions climatiques, semble remonter à la période du néolithique. Au cours de la reconnaissance, conduite à l'échelle régionale, plus d'une centaine de sites datant de l'Age du Fer et environ une trentaine de sites néolithiques furent identifiés, enregistrés et décrits en termes de leurs dimensions, matériels et caractéristiques de surface, et environnement. Une série de datations au radiocarbone, obtenue lors de la fouille sur le complexe de buttes d'habitat de Akumbu, dans la partie ouest du Méma, indique une occupation s'étendant du quatrième siècle au quatorzième siècle de notre ère. La découverte d'imposants amas de scories, associés à des restes de hauts fourneaux, et objets exotiques trouvés lors des fouilles à Akumbu, attestent que la production de fer et le commerce à longue distance jouaient tous les deux un important rôle dans l'économie du Méma.
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14.
The bovid fossils from Elandsfontein, south-western Cape Province, South Africa, comprise 7257 individually numbered specimens from 18 species. Taxonomic comparisons with Olduvai Gorge and other African sites and the high percentage of extinct forms imply that the bones accumulated in the earlier part of the Middle Quaternary, probably sometime between 700,000 and 400,000 years ago. By extension, this is also the most likely age for the skull cap of archaicHomo sapiens (Saldanha Man) and for the occasional late Acheulean stone artifacts that accompany the animal bones. In keeping with geomorphological observations and other aspects of the fauna, the bovids indicate a relatively grassy and moist environment, apparently during an interglaciation that differed significantly from the Holocene. Geomorphological context, the frequent occurrence of partial skeletons, bone damage, and skeletal part representation suggest that carnivore feeding on carcasses scattered across a Mid-Quaternary land surface was probably the main factor shaping the Elandsfontein bone assemblage. Porcupines may also have played a role, but there is little evidence for human activity. The Elandsfontein assemblage thus provides a useful control for comparison with bone accumulations where context, associations, and bone damage indicate that people were heavily involved. For example, there are very few young animals in the otherwise attritional profile of giant buffalo from Elandsfontein, probably because carnivores often rapidly and completely consumed young carcasses. This suggests that few young carcasses would be available for human scavenging and thus that archaeological attritional profiles in which young individuals are common probably reflect active human hunting, at least of young animals.
Résumé Les fossiles de bovidés d'Elandsfontein, sud-ouest de la Province du Cap, Afrique du Sud, comportent 7257 spécimens numérotés appartenant à 18 espèces. Les comparaisons taxonomiques avec Olduvai Gorge et d'autres sites africains, ainsi que le haut pourcentage de formes éteintes, indiquent que les os ont dû s'accumuler durant la partie la plus ancienne du Quaternaire moyen, probablement entre 700,000 et 400,000 ans. Par extension, il semble que ce soit aussi l'âge le plus probable de la calotte cranienne d'une forme archaïque d'Homo sapiens (l'homme de Saldanha) ainsi que des quelques outils de l'Acheuléen récent qui accompagnaient les ossements d'animaux. En accord avec les observations géomorphologiques et d'autres aspects de la faune, les bovidés indiquent un environnement relativement humide et herbeux, évidemment durant un interglaciaire qui differe de façon significative de l'Holocène. Le contexte géomorphologique, la présence fréquente de squelettes incomplets, les os endommagés et les parties du squelette représentées suggèrent que des carnivores se nourrissaient des carcasses dispersées sur un terrain du Quaternaire moyen sont le principal facteur de la formation de l'assemblage osseux d'Elandsfontein. Les porc-épics ont peut-être aussi joué un rôle, mais il y a peu de signes de l'activité humaine. L'assemblage d'Elandsfontein est donc un témoin utile pour des comparaisons avec d'autres accumulations de faune, dans lesquelles le contexte, les associations et l'état des os indiquent que les hommes y ont joué un rôle important. Par exemple, très peu d'animaux jeunes sont représentés dans le profil par ailleurs attritionel du buffle géant d'Elandsfontein, probablement parce que les carnivores dévoraient souvent rapidement et entièrement les carcasses jeunes. Ceci indique que très peu de carcasses jeunes étaient disponibles pour les charognards humains et que les profils archéologiques attritionels dans lesquels les animaux jeunes sont fréquents reflètent probablement une chasse humaine active, tout au moins d'animaux jeunes.
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15.
The future of African archaeology has recently been a major focus of attention by African archaeologists. This article looks at anticipated major advances, and at the expectations and desires of young African archaeologists in the advancement of the discipline. The major constraints to research are identified and solutions to these problems are suggested.
Résumé Le futur de l'archéologie africaine est devenu récemment un sujet de préoccupation majeur pour les archéologues africains. Cet article passe en revue les progrès principaux que l'on peut en attendre ainsi que les espoirs et les souhaits des jeunes archéologues africains en ce qui concerne le développement de la discipline. Les principales contraintes affectant la recherche sont identifiées et des solutions sont proposées à ces problèmes.
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16.
Numerous scholars have outlined what they believed to be the consequences of the advent of iron technology in sub-Saharan Africa: increased food production using more efficient bush clearing tools; increased population densities; larger and more stable communities; increased trade, specialization and social differentiation; and the embryonic rise of modern politics. (Davidson 1974.) However, little has been demonstrated in the field.A regional study of the Bassar iron industry of northern Togo has shown that the rise of large-scale iron production may lead to higher population densities, larger and more stable communities, a more aggregated settlement pattern in the ore zone, and increased craft specialization and trade. However, it does not necessarily result in a significant increase in the degree of political centralization. The Bassar data also suggest that even the appearance of relatively small scale iron production may generate similar trends, albeit at more modest levels.
Résumé De nombreux auteurs ont décrit ce qu'ils proposent d'avoir été les conséquences de l'adoption de la technologie de fer dans l'Afrique au sud du Sahara: augmentation de la production de nourriture à l'aide des outils plus efficaces pour débroussailler le paysage; augmentation des densités de population; communautés plus grandes et plus stables; croissance de la commerce, de la specialisation artisanale et de la differentiation sociale; et naissance embryonique de la politique moderne (Davidson 1974). Cependant il n 'y a que très peu de ce schéma qui a été validé par les recherches sur le terrain.Une étude régionale de l'industrie du fer des Bassar du nord de Togo a montré que l'essor de la production de fer à grande échelle peut aboutir à des densités de population plus hauts, des communautés plus grands et plus stables, une répartition de l'habitat plus agrégée dans la zone des minerais de fer, et l'augmentation de la specialisation artisanale et du commerce. Cependant il n'aboutit pas obligatoirement à une centralisation importante au niveau politique. Les résultats fournis par cette étude des Bassar nous amènt à proposer aussi que même l'apparition de la production modeste de fer peut donner naissance à des développements comparables, mais d'un ampleur plus restreint.
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17.
African archaeology has primarily been concerned with precolonial Africa. Consequently, the archaeology of colonial and postcolonial Africa has been neglected, in spite of the fundamental importance of how Africa's relationships with Eurasia after 1488 shaped its history. Although the slave trade was an important aspect of post-sixteenth century experiences of Africans, current research methodologies make the archaeology of slavery in Africa nearly impossible because evidence of the slave trade or slavery--including slave quarters, cemeteries, holding areas, shackles, and dungeons--can be interpreted in various ways. In this article I argue that the archaeology of slavery and the slave trade in Africa is possible. Like history and economics, archaeology is well placed to investigate slavery in Africa as it already does effectively in the Americas. Using the study of defensive rock shelters in Southeast Kenya as an example, I propose that the systematic archaeology of slavery in Africa is not only possible, but also should break new grounds and develop an innovative methodology for studying slavery. L'archéologie africaine a été principalement concernée par l'Afrique précoloniale. Par conséquent, l'archéologie de l'Afrique coloniale et postcoloniale a été oubliée, malgré l'importance fondamentale de la façon dont les rapports de l'Afrique avec Eurasia après 1488 ont tracé son histoire. Bien que le commerce d'esclaves soit un aspect important des expériences africaines du post-seizième siècle, les méthodologies courantes de recherches rendent l'archéologie de l'esclavage en Afrique presque impossible car l'évidence du commerce ou de l'esclavage - comprenant les quarts, les cimetières, les camps, des cachots, et des donjons des esclaves - peut être interprété de diverses manières. Dans cet article, j'argue du fait que l'archéologie de l'esclavage et le commerce d'esclaves en Afrique est possible. Comme l'histoire et les sciences économiques, l'archéologie est bien placée pour effectuer l'étude de l'esclavage en Afrique comme elle l'est déjà efficacement en Amérique. En utilisant l'étude des abris rocheux défensifs au Kenya du sud-est comme exemple, je propose que la systématique de l'archéologie de l'esclavage en Afrique est non seulement possible, mais devrait également permettre de franchir de nouveaux pas et de développer une méthodologie innovatrice dans l'étude de l'esclavage.  相似文献   

18.
Paleoclimatic data indicate that the Pleistocene/Holocene transition was a period of considerable ecological change in the Caledon Valley of the southern African interior. Stone artefact assemblages from sites in one part of this region, the Phutiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) Basin of western Lesotho, were analyzed in order to investigate whether changes in settlement and subsistence strategies during this period are also reflected in the organization of lithic technologies. It appears that although technological solutions to the problems of subsistence risk may have been emphasized during the late Pleistocene, social means, such as exchange, dominated at the Pleistocene/Holocene boundary. Subsequent innovation or adoption of new formal tool types suggests that both strategies were important from the middle Holocene onwards.Dans la vallée de Caledon à l'intérieur sud-africain les données paléoclimatiques indiquent que la transition du pléistocène à l'holocène était une période de changement écologique considérable. Les résultats des analyses des outils lithiques découverts aux gisements dans une partie de cette région, le Bassin de la Phuthiatsana ea Thaba Bosiu (PTB) du Lesotho occidentale, sont présentées pour examiner si des changements aux stratégies de subsistance et de l'occupation des sites se réfletent à l'organisation des technologies lithiques. Il semble que on a employé les solutions technologiques pour éviter les risques de subsistance pendant le pléistocène tardif, mais que des solutions sociales, comme l'échange, prédominaient à la frontière pléistocène-holocène. L'innovation ou l'adoption plus tard des nouvelles outils lithiques suggère que tous les deux stratégies étaient importantes depuis le début du moyen Holocène.  相似文献   

19.
Acheulean faunal samples from southern Africa usually contain taxa which are unknown in Upper Pleistocene or Holocene contexts and which suggest that the associated artifacts date mainly from the Middle Pleistocene or possibly the late Lower Pleistocene, between perhaps 1,000,000 and 130,000 years ago. Together with sedimentological evidence, the faunas also indicate that the associated Acheulean people enjoyed unusually moist conditions. There is in fact no evidence for Acheulean presence under conditions as dry as, or drier than, historic ones. The available faunas come mainly from open-air contexts where natural deaths, carnivore killing and scavenging, and possible human hunting and butchering are scrambled, and no direct inferences can be drawn about Acheulean hunting ability. However, if it is fair to extrapolate backwards from their better-documented Middle Stone Age successors, Acheulean people probably rarely, if ever, killed the large ungulates that are so common in their sites.
Résumé Parmi les ensembles de la faune acheuléenne provenant de l'Afrique du sud se trouvent souvent des taxa qui sont inconnus dans les gisements de l'âge holocène ou du pleistocène supérieur. Cette observation nous amène à suggérer que les outils associés avec cette faune datent principalement du Pleistocène moyen ou peut-être même du Pleistocène inférieur tardif, dans la période, 1,000,000 à 130,000 BP environ. Ces faunes, considérées conjointement avec les témoignages sédimentologiques, montrent que ces gens acheuléens ont profités d'un climat anormalement humide. A vrai dire, il n'y a aucune preuve d'une occupation acheuléenne dans des conditions aussi sèches ou plus sèches que celles de l'époque historique. La plupart des faunes dont on dispose aujourd'hui proviennent des gisements de plein-air ou les évidences de la mortalité naturelle, les restes de la proie des carnassiers, et par l'homme sont mélangées, et nous ne sommes pas permis d'en déduire des conclusions au sujet de la compétence des populations acheuléennes au niveau de la chasse. Si cependant on peut extrapoler en arrière de leurs successeurs mieux connus de l'âge de la pierre moyen, il est vraisemblable que les hommes acheuléens n'ont jamais, ou presque jamais, tués les grands ongulés dont les restes sont si nombreux dans leur sites.
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20.
Prehistoric images are particularly versatile and difficult to grasp. In a few cases of historical continuity, local cultural glosses provide researchers with a rich corpus of data and help in the interpretation of the imagery. Such approaches contribute to the interpretation of the material in a frozen time perspective. Their impact on the development of archaeological methodologies enabling researchers to deal with strictly prehistoric image making traditions without any known descendant communities remains to be felt. This paper is an attempt to develop a subtle and robust archaeological methodology for the study of prehistoric images. The suggested approaches are replicable, and conclusions are falsifiable.Les images préhistoriques sont particulièrement versatiles, et leur sens difficile à cerner en raison de leur polysémie. Dans une poignée de cas, là ou il y a continuité historique, les chercheurs ont reussi à constituer une riche documentation sur les pratiques culturelles liées à l'utilisation des images. Ils/elles parviennent ainsi à des niveaux d'interpretation très detaillée, dans une conception paradoxalement réifiée des sociétés en question, conservant des pratiques culturelles inchangées pendant des millénaires. L'impact de telles approches sur l'élaboration de bonnes méthodes archéologique est négligeable. Dans la plupart des cas, les images et les vestiges matériels sont le uniques témoins des sociétés préhistoriques étudiées. Cet article s'efforce de developper des méthodes, à la fois subtiles et robustes, permettant une analyse systématique des images préhistoriques. Les méthodes proposées sont réplicables, et les conclusions refutables.  相似文献   

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