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1.
Ghana's past is being destroyed at a rapid rate. Although the Ghana Museums and Monuments Board has in some instances successfully intervened to stop the illicit trading of antiquities, the destruction of archaeological sites as a consequence of development over the past two decades has been staggering and the pace is accelerating. The potential of the legislation that established the Ghana Museums and Monuments Board and empowered it to manage and preserve the country's archaeological past has not been realized. The lack of political action, limited relevant public education, insufficient funding, and the poverty of the majority of the Ghanaian populace have allowed for the widespread destruction of both sites and historic buildings. Conspicuously, both the absence of integrated development planning by the Ghanaian government and the inability of development partners (both foreign and domestic) to recognize the potential value of cultural resources have contributed significantly to the continued loss of the archaeological record. While the antiquities trade is a continuing threat to Ghana's cultural resources, it is, in fact, tourism and economic development that pose the major menace to the country's archaeological past. This article reviews the history of cultural resource management in Ghana, including both traditional attitudes toward preservation and current legislation. Case studies are used to illustrate the problems faced. Actuellement le passé matériel du Ghana disparaît très rapidement. Le Conseil des musées et des monuments du Ghana a réussi à intervenir dans certains cas pour arrêter la traite illicite en antiquités. Toutefois, la croissance rapide du développement urbain au fil des derniers vingt ans a entraîné une énorme destruction de sites archéologiques qui ne fait qu'accroître. Les lois établissant le Conseil des musées et des monuments du Ghana lui ont en même temps accordé les pleins pouvoirs en mesure de la gestion et la préservation du passé archéologique du pays, malheureusement les possibilités de cette législation n'ont jamais été réalisées. Plusieurs éléments contribuent à la destruction très répandue de sites et de bâtiments historiques, dont le manque de prises de mesures politiques, d'éducation publique pertinente, de fonds, et la misère dans laquelle vivent la plus grande partie de la population ghanéenne. Il est évident que l'absence d'une planification intégrée pour le développement de la part du gouvernement ghanéen et l'incapacité des partenaires en développement (nationaux ainsi qu'internationaux) de reconnaître la valeur potentielle de ressources culturelles sont deux éléments supplémentaires clés qui contribuent de façon importante en la perte continue de vestiges archéologiques. La traite en objets antiques présente toujours une menace pour les ressources culturelles du Ghana. En fait le tourisme et le développement économique représentent une menace encore plus importante à la préservation du passé archéologique du pays. Cet article revoit l'histoire de la gestion des ressources culturelles au Ghana, comprenant à la fois les positions traditionnelles envers la préservation ainsi que la legislation actuelle. Des études de cas éclairent les problèmes actuels.  相似文献   

2.
Previous archaeological studies have indicated that the Yoruba polity of Ile–Ife and the Edo polity of Benin, both in southwest Nigeria, belonged to the same sphere of sociocultural interactions before the nineteenth century AD. The spatial and temporal dimensions of this interaction sphere have not, however, been understood, because the archaeological sequences of the areas between the two polities are largely unknown. One of these intervening areas is Ijesaland. The excavations conducted in Iloyi settlement, northern Ijesaland, provide a new set of data that not only fills a gap in the Ife–Benin interaction sphere but also offers new perspectives on the process of material culture homogenization in the Yoruba–Edo region during the first half of the second millennium. Calibrated radiocarbon dates show that Iloyi was occupied during the thirteenth–sixteenth centuries AD. Using the stylistic and iconographic characteristics of ceramics and the patterns of burial and sacrificial rituals as evidence, it is demonstrated that Iloyi was a sociopolitical and cultural frontier of Ile–Ife, and that Ijesaland was part of the Ife–Benin cultural corridor. The paper strengthens the earlier suggestions that the development of a kingship institution at Ile–Ife helped to widen the interaction networks in the region, an historical process that culminated in the trend toward regional cultural homogenization between the thirteenth and sixteenth centuries.Des études archéologiques antérieures ont indiqué que l'état Yoruba de Ile-Ife et l'état Edo du Benin, les deux dans le sud ouest du Nigeria, appartenaient à la même sphére socio-culturelle avant le dix-neuvième siècle après J.-C. Pourtant, les dimensions spacio-temporelles de cette interaction n'ont pas encore été entièrement comprises, car les séquences archéologiques des régions entre les deux états restent à découvrir. L'une de ces régions est Ijesaland. Les fouilles entreprises à Iloyi, situé au nord de Ijesaland, ont divulgué l'information nouvelle sur la sphére d'interaction entre Ife et Benin ainsi que révélé des nouvelles interprétations du développement de l'homogéneisation de la culture matérielle dans la région de Yoruba-Edo durant la premiére partie du deuxiéme millénaire. Sur la base de tests de carbone, on sait que Iloyi fut occupé de treizième au seizième siècle AD. Les caractéristiques stylistiques et iconographiques de la céramique ainsi que les procédés d'enterrement et les rites de sacrifices laissent à penser que Iloyi était situé à la frontiére socio-politique et culturelle de Ile-Ife et que Ijesaland faisait partie de la zone culturelle de Ife-Benin. Ceci renforce l'hypothése que le développement d'une institution royaliste à Ile-Ife à étendu les réseaux d'interaction de cette région—un processus historique qui culmina avec la tendance à l'homogéneisation régionale culturelle du treizième au seizième siécles.  相似文献   

3.
This paper describes the results of the 1974 excavations at Porc Epic Cave, Dire Dawa. Following a summary of Dr M.A.J. Williams' interpretation of the stratigraphic succession and geological history of the cave and its contained deposits, the cultural sequence is described and an explanatory model presented. The 1974 excavation showed the Middle Stone Age layers to be sealed under a massive dripstone, except in the front part of the cave where erosion and later deposition had produced the seeming mixing of Middle and Later Stone Age artifacts observed by the 1933 excavators. Artifacts are associated with comminuted and often burnt bone round what appear to be hearths. Tools consist predominantly of points, scrapers and edge damaged blade and flake forms. The specialized nature of the retouched and utilized tools, together with the relative inaccessibility of the cave and the comminuted nature of the bone waste, suggest the possible use of the cave as a hunting camp at seasons when game migrated into the escarpment from the Afar Plains. The wide-ranging habits of the occupants are attested by the presence of obsidian and basalt artifacts, the raw material for which is not found in the immediate vicinity of the site. On the basis of the human jaw fragment discovered in 1933, the Middle Stone Age occupants of the cave are said to show both neanderthal and non-neanderthal features. Hydration dates for obsidian artifacts from the Middle Stone Age deposit indicate that the cave was occupied between about 61,000 and 77,500 bp. These results confirm that the Proc Epic occurrences are of comparable age to those from Middle Stone Age localities in other parts of the continent.
Résumé Cet article décrit les résultats des fouilles de 1974 à la grotte du Porc Epic, à Dire Dawa. Suivant un résumé de l'interprétation de la succession stratigraphique compilé par M. A. J. Williams et l'histoire géologique de la grotte et de ses dépôts, la séquence culturelle est décrite et un modèle explicatif est présenté. La fouille de 1974 a révélé que les couches du Middle Stone Age ont été scellées sous une épaisse couche de concrétion calcaire, sauf dans la partie avant de la caverne où l'érosion et une déposition ultérieure ont produit le mélange apparent des outillages du Middle et du Later Stone Age observé par les fouilleurs en 1933. Les industries sont associés à des fragments d'os souvent brûlés, autour de ce qui semble être des foyers. Les outils consistent surtout de pointes, de grattoirs et de formes de lames et d'éclats à bords endommagés. La nature spécialisée des outils retouchés et utilisés, ainsi que l'inaccessibilité relative de la grotte et l'aspect fragmenté des restes osseux, suggèrent l'usage possible de la grotte comme camp de chasse durant les saisons de migration du gibier vers l'escarpement des plaines des Afars. Les déplacements des occupants sur un vaste terrain sont attestés par la présence d'outils en obsidienne et en basalte, deux matériaux qui ne sont pas trouvés dans les environs immédiats du site. En se fondant sur un fragment de mâchoire humaine découvert en 1933, les occupants de la grotte au Middle Stone Age semblent démontrer des traits néanderthaliens et non-néanderthaliens. Les dates obtenues par la méthode d'hydratation des pièces en obsidienne provenant du dépôt du Middle Stone Age indiquent que la grotte fut occupée entre environ 61,000 et 77,500 bp. Ces résultats confirment que les activités dans la grotte du Porc Epic sont d'un âge comparable à celles des localités du Middle Stone Age trouvées ailleurs dans le continent.
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4.
This article sets forth the preliminary results of reconnaissance in a totally desertic part of the Malian Sahara, located between 19°30 N. to 22° N. and 0° to 6° W. Pleistocene sites with Acheulian and Aterian materials and Holocene sites are abundant and very rich. The latter, dating from 10,000 to 3500 bp, are correlated with two lacustrine periods and are associated with Sahelian floras and faunas. Burials have given well-preserved human remains. The economy included fishing, hunting and the collection of grass seeds. Certain sites raise the question of the chronological relationship between the Epipalaeolithic and the Neolithic.
Résumé Cet article présente les résultats préliminaires de la prospection d'une zone totalement désertique du Sahara malien, située entre 19°30 à 22° N. et 0° à 6° W. Les sites préhistoriques pléistocènes (acheuléens, atériens) et holocènes y sont très nombreux et très riches. Les plus récents (10,000 à 3500 bp), qui correspondent à deux périodes lacustres, sont associés à des faunes et des flores sahéliennes. Des sépultures ont livré des restes humains bien conservés; ces populations vivaient de la pêche, de la chasse et de la cueillette des graminées. Certains sites posent nettement le problème des relations chronologiques entre l'épipaléolithique et le néolithique.
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5.
This paper reports the combined preliminary results of the Italian Mission to Kassala and the joint University of Khartoum/Southern Methodist University Butana Project. Both groups have been carrying out extensive survey and test excavations in the Southern Atbai of the East Central Sudan, between the Atbara and Gash Rivers. This work has led to the recognition of a previously unknown culture area and ceramic tradition which spans about 5000 years and, at its peak, probably covered about 100,000 sq. km east of the Nile. This ceramic tradition, the Atbai Tradition, is associated with the development of large villages (over 10 ha) during the 4th millennium bc.
Résumé Le présent article rapporte les résultats préliminaires combinés de la Mission italienne à Kassala et du projet Butana entrepris en commun par les universités de Khartoum et Southern Methodist. Ces deux groupes ont réalisé des reconnaissances archéologiques extensives et des sondages dans le sud de l'Atbai, dans la partie centrale orientale du Soudan, entre les rivières Atbara et Gash. Leur travail a mené à la reconnaissance d'une civilisation et d'une tradition céramique auparavant inconnues qui durèrent quelque 5000 ans et qui couvraient à leur apogée environ 100,000 km2 à l'est du Nil. Cette tradition céramique, la tradition Atbai, est associée au développement des grands villages (de plus de 10 ha) au cours du 4e millénaire avant notre ère.
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6.
Tanzania's endangered heritage: A call for a protection program   总被引:1,自引:0,他引:1  
There is no doubt that heritage resource loss in Tanzania is proceeding at an alarming rate. Natural and human agencies, adverse storage infrastructures and techniques, and lack of trained conservators and curators and of a proper protection program are the major threats that endanger the heritage resources of Tanzania. As our natural and cultural environments bring irreparable damage to the resources that document our human history, we need to preserve and protect them before they vanish. A preservation and protection program for Tanzania should include public education, the establishment of heritage preservation laws, more progress in the inventory and protection of in situ heritage resources, research into preservation and conservation methods, training of staff, and improvements in the curation of collected heritage resources and records. Preservation and protection of heritage resources are collaborative exercises. The scientific and world community need to support and engage in this proposed program both technically and financially, if the preservation and protection of heritage resources in Tanzania are to succeed.
Résumé Il ne fait pas de doute que la perte des ressources du patrimoine historique se poursuit à un rythme alarmant en Tanzanie. Les agents naturels et humains, des techniques et des locaux de conservation inadaptés, el manque de conservateurs bien formés et d'un programme de sauvegarde adéquat sont les principales menaces qui pèsent sur les biens historiques et culturels en Tanzanie. Comme notre environnement naturel et culturel provoque des dommages irréparables aux sources historiques, nous devons les préserver et les protéger avant qu'elles ne disparaissent. Un programme de préservation et de protection pour la Tanzanie devrait inclure l'éducation du public, l'adoption de lois relatives à la sauvegarde du patrimoine, de nouveaux progrès dans l'inventaire et la protection in situdes vestiges, des recherches sur les méthodes de préservation et de conservation, la formation des responsables et l'amélioration des conditions de conservation et de récolte des objets et de la documentation. La préservation et la protection des vestiges du patrimoine impliquent une large collaboration. Pour arriver à la préservation et à la protection des ressources du patrimoine tanzanien, el faut que la communauté scientifique et mondiale s'implique et soutienne ce projet à la fois techniquement et financièrement.
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7.
The external connections of Igbo-Ukwu, in the forest belt of south-eastern Nigeria, around the ninth century AD, are demonstrated by the large numbers of glass beads, apparently of Egyptian manufacture, and are implicit in the rich collection of bronze artwork that lacks known prototypes. Although the metals were mined locally, the labor and the expert alloying and casting of numerous ritual or ornamental objects indicate an accumulation of wealth derived from distant trade of special commodities. The identification of these commodities, however, and the routes by which they—and in the reverse direction the beads—would have traveled, remain unsatisfactorily resolved. A preference is repeated here for an eastern Sahelian routing from Lake Chad to the Middle Nile kingdoms (Alwa and Makuria/Dongola), then at their height, thus avoiding the Sahara. The alternative direction suggested recently (Insoll, T., and Shaw, T. (1997) Gao and Igbo-Ukwu: Beads, interregional trade and beyond. African Archaeological Review, 14:9–23), through Gao on the Niger bend and across the west-central Sahara, seems less likely on grounds of geography and chronology. The essential items of merchandise deriving from Igbo-Ukwu are unlikely to be those commonly assumed for sub-Saharan Africa, notably ivory and slaves, but would have been more local and precious, presumably metals. The bronzes stored and buried at Igbo-Ukwu might be regarded as by-products of this export activity. Demands in the Nile Valley for tin (for bronze alloying) and for silver, both of which occur in the ores exploited, deserve consideration. A call is made for comparative study of metals and their uses between the Middle Nile and West Africa in the first millennium AD—a neglected subject owing to the intellectual gulf that persists between Africanists and Egyptologists.Les contacts extérieurs d'Igbo-Ukwu, dans la région forestière du sud-est du Nigéria, vers le 9e siècle après J. C., sont indiqués par les très nombreuses perles de verre, apparemment de fabrication Égyptienne. Ils sont aussi suggérés par un ensemble remarquable d'objects en bronze dont on ne connaît aucun prototype. Bien que les métaux proviennent de la région, le travail, et aussi l'alliage et la fonte très spécialisés de nombreux objects rituels ou décoratifs, indiquent une accumulation de richesse résultant du commerce à longues distances de produits recherchés. Pourtant, l'identification de ceux-ci, et les itinéraires pour leur transport—et, en sens inverse, ceux des perles—restent hypothétique. Nous réiterons une préférence pour une route est-Sahelien, de Lac Tchad jusqu'aux royaumes du Nil Moyen (Alwa et Makouria/Dongola), à leur apogée à cette époque, et donc évitant le Sahara. L'autre direction, proposée récemment (dans cette revue par Insoll et Shaw), via Gao sur la boucle du Niger et à travers le Sahara ouest-central, semble moins probable pour les raisons géographiques et chronologiques. Les objets principaux de ce commerce qui provenaient d'Igbo-Ukwu ne seraient pas ceux qui sont normalement imaginés pour l'Afrique Sub-saharienne, notamment l'ivoire et les esclaves; ce seraient des produits plus locaux et précieux, vraisemblablement des métaux. Les bronzes enterrés à Igbo-Ukwu pourraient être les sous-produits de cette activité destinée à l'exportation. La demande dans la vallée du Nil pour l'étain (pour l'alliage du bronze) et pour l'argent, qui existent tous les deux dans les minerais du sud-est du Nigéria, mérite considération. Il faut qu'on fasse des recherches comparatives sur les métaux et leurs emplois entre le Nil Moyen et l'Afrique de l'Ouest durant le premier millénaire après J. C.—un sujet négligé à cause du fossé intellectuel qui persiste entre les études Africanistes et Égyptologiques.  相似文献   

8.
The Aterian has a huge geographic extension covering all North Africa, although it was not supposed to exist in the mountain ranges of the central Sahara. Its chronological context is not yet definitively determined and it is still difficult to say whether the Aterian tools are technological, typological, functional, or chronological markers. Recent surveys and excavations at Uan Tabu and Uan Afuda, two rock-shelters located in the central Tadrart Acacus, provide the first chronological, environmental and archaeological indications on this Late Pleistocene human occupation in the area. The lack of organic matter led us to perform OSL and TL analyses on sand. L'Atérien a une énorme extension géographique qui couvre tout le Nord de l'Afrique, tandis qu'on ne pensait pas qu'il existait dans les montagnes du Sahara central. Son contexte culturel n'est pas définitivement déterminé et il est encore difficile de dire si les instruments atériens sont des indicateurs téchnologiques, typologiques, fonctionels ou culturels. Reconnaissances et fouilles récentes à Uan Tabu et Uan Afuda, deux abris situés dans l'Acacous central, fournissent les premières indications sur la chronologie, l'environnement et l'archéologie de l'Atérien dans la région. L'absence de la substance organique, nous a porté à faire des déterminations OSL et TL sur les sables.  相似文献   

9.
The Bariba are the dominant ethnic group in the culturally heterogeneous northern provinces of the modern state of Bénin. Recent decades have witnessed dramatic changes in some aspects of Bariba material culture, while others have remained more stable. An investigation of change and stability in Bariba material culture, with particular attention to containers, reveals that the dynamics of cultural pluralism, an heterogeneous array of innovative and conservative beliefs and practices, register as much in the material as in the non-material domains of Bariba life. Because containers are ubiquitous in late prehistoric and historical societies, they constitute a key monitor of change for archaeologists. Evaluation of container change in this living culture highlights some of the challenges facing archaeologists working exclusively with material remains.
Résumé Les Bariba sont le groupe ethnique qui prédomine dans les provinces culturellement hétérogènes du nord de l'état moderne du Bénin. Pendant les dernières décennies certains aspects de la culture matérielle des Bariba ont changé de façon dramatique, tandis que d'autres sont restés plus stables. Une investigation des changements et de la stabilité dans la culture matérielle des Bariba, avec des recherches spéciales concernant les récipients, révèle que les dynamiques du pluralisme culturel—un étalage hétérogène de croyances et de pratiques innovatrices et conservatrices—sont visibles aussi bien dans les domaines matériels de la vie des Bariba que dans les domaines non-matériels. Puisque les récipients se trouvent partout dans les sociétés historiques et de la fin de la préhistoire, ils constituent pour les archéologues un indice-clef de changements. L'évaluation des changements des récipients dans cette culture vivante met en relief certains des problèmes que doivent affronter les archéologues qui travaillent uniquement sur les vestiges matériels.
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10.
The dominant model of relations between Zhizo- and Leopard's Kopje-ceramic using groups in northern South Africa, southwestern Zimbabwe, and eastern Botswana between AD 1000 and 1300 has been one of hostile invasion by Leopard's Kopje groups, who are thought to have forced Zhizo groups into eastern Botswana (Huffman, 1978, 1986a, 1996). Leopard's Kopje groups are thereupon thought to have set about the process of nascent state formation in the absence of any significant contact, other than violence or intermittent intermarriage (Denbow, 1982, 1983, 1986; Huffman, 1986a, 1996), with their Zhizo (i.e., Toutswe) neighbors to the west. More recently, Denbow (1990) has modified his position to include trade in exotic goods as a regular feature of Leopard's Kopje–Zhizo relations. Radiocarbon and ceramic data from the Iron Age site Leokwe Hill, in combination with the available ceramic data and a reanalysis of the ceramics from the site Schroda, indicate that current interpretations of the relations between Zhizo and Leopard's Kopje groups need to be reconsidered. New hypotheses are presented that posit that the nature and intensity of interaction between these groups was more far-reaching than is currently thought.Le modéle dominant des relations entre les groupes qui ont utilisés les ceramiques Zhizo et ceux qui ont utilisés celles de Leopard's Kopje dans le nord de l'Afrique du Sud, sud-est du Zimbabwe et l'est du Botswana entre AD 1000 et 1300, a été l'invasion hostile par les groupes de Leopard's Kopje, qui, l'on pense avoir forcé les groupes Zhizo dans l'est du Botswana (Huffman, 1978, 1986a, 1996). Les groupes de Leopard's Kopje sont pensés avoir établi le procédée de l'état de formation (nascent) en l'absence de tous contacts significatifis, autre que la violence ou des mariages consanguins intermittents (Denbow, 1982, 1983, 1986; Huffman, 1986a, 1996), avec leur Zhizo (c.à.d. Toutwse) voisins à l'ouest. Récemment, Denbow (1990) a modifié sa position pour inclure le commerce des produits exotics comme une caractéristique réguliere des relations entre Leopard's Kopje et Zhizo. Le radiocarbonne et les données en céramique du site de l'âge de fer Leokwe Hill, en combinaison avec les données de céramiques disponibles et une ré-analyse des céramiques du site Schroda, indiquent que les interprétations des relations entre Zhizo et les groupes de Leopard's Kopje doivent être reconsidêrées. Des nouvelles hypothéses sont présentées qui proposent que la nature et l'intensité des interactions entre ses groupes étaient d'ptune portée bien plus grande que nous le pensons actuellement.Sashi-Limpopo Archaeological Project  相似文献   

11.
The sparse archaeological remains attributed to pastoralists in north-central Kenya include quantities of smelting debris. A preliminary investigation suggests that smelting sites occur in two distinct locations: a majority in the lowlands at mountain bases or plains oases, and a minority on low mountain ridges. Mountain-base sites would offer direct access to the natural and human resources required for smelting ores, forging iron, and exchanging finished implements. At ridge-top sites, however, these resources would be inaccessible. Descendants of the last Maa-speaking smelters suggest that pre-colonial blacksmiths may periodically have resettled in mountains to continue their craft in the face of intense interethnic conflict. The conflict hypothesis is evaluated against oral traditions and archaeological evidence.
Résumé Les vestiges archéologiques attribués aux pastoralistes de la région nord-centrale du Kenya comprennent des quantités de débris de fonte. Une investigation préliminaire suggère que des gisements de fondeurs se trouvent dans deux situations différentes: la plupart sont dans la plaine au pied des montagnes ou dans des oasis, tandis qu'une minorité de gisements se trouve sur de basses crêtes de montagnes. Les gisements au pied des montagnes offriraient un acces direct aux ressources naturelles et humaines necessaires pour fondre les minérais, forger le fer, et échanger des outils achevés. Par contre, dans les gisements de crête, ces ressources seraient inaccessibles. Les descendants des derniers fondeurs de langue Maa suggèrent que des forgerons précoloniaux ont peut-être ré-occupé les montagnes périodiquement et poursuivi leur métier face aux conflits intenses entre différents groupes ethniques. L'hypothèse du conflit est evaluée par rapport aux traditions orales et aux vestiges archéologiques.
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12.
Scholars have attributed the spread of agriculture and pottery technology to the larger part of eastern and southern Africa to Bantu speakers. However, the spread of similar aspects to the Kenya and Tanzania Rift Valley as far south as Eyasi Basin and as far east as Mount Kilimanjaro has been attributed to Cushitic speakers. Whereas the spread of these innovations to the Rift Valley region can be dated back to 3000 BC, the remaining part of eastern and southern Africa is alleged to have received similar innovations only after the BC/AD changeover, when iron technology was introduced. These theories can no longer be sustained. The coast of Tanzania, its immediate hinterland, and the deep sea islands of Zanzibar and Mafia were settled by people who had knowledge of agriculture and pottery making probably from 3000 BC. These innovations are also found to have spread to southern Africa in the last millennium BC. The introduction of iron technology and beveled/fluted pottery, associated with Bantu speakers, was just another stage in the cultural evolution of the people of eastern and southern Africa, but not the beginning of settled, farming/domesticating communities.La diffusion de l'agriculture et la technologie de poterie à la région plus grande de l'Afrique orientale et méridional ont était attribué au parleurs des langues bantou. Cependant, la diffusion des aspects semblables au Rift Valley de Kenya et Tanzania, sud au Bassin d'Eyasi et est au Mont Kilimanjaro ont était attribué au parleurs des langues Cushitic. Tandis qu'on peut dater la diffusion de ces innovations à la région du Rift Valley à 3000 BC, il est prétendu que la région restante d'Afrique orientale et méridional ont reçu les innovations similaires seulement après le changement de BC/AD, au temps que la technologie de fer était indroduit. Il n'est pas possible maintenant à sustenir ces théories. La côte de Tanzania, son hinterland immédiat/les regions près de la mer, et les îles de Zanzibar et Mafia, ont étaient colonisé par les personnes qui avait la connaissance de l'agriculture et de la poterie probablement à partir de 3000 BC. On peut trouver aussi que ces innovations ont diffusé à l'Afrique méridional pendant la dernier millénaire avant J. -C. L'introduction de la technologie du fer et la poterie avec le biseau, liée avec les parleurs des langues bantoues, était seulement un autre étape dans l'évolution culturelle du peuple de l'Afrique orientale et méridional. Il n'était pas le commencement des communautés établis qui ont pratiqué l'agricole et la domestication.  相似文献   

13.
This paper provides a preliminary account of archaeological research on sites of early pottery-using people in the coastal region of the Congo Republic. The results obtained are compared with observations from Botswana and used to amplify archaeological and lingustic data relevant to the transformations in social and productive forces that occurred across the western part of sub-equatorial Africa during the period when food production, metallurgy and long-distance trade were established. Particular attention is paid to evidence for developing economic and social relations between indigenous foragers and immigrant food producers.
Résumé Cet article offre les premiers résultats de recherches sur des sites qui emontent du début de l'utilisation de la potiere par des populations habitant la zone côtière de la République du Congo. Les résultats obtenus sont comparés avec des découvertes au Botswana pour developer les données archéologiques et linguistiques se rapportant à la transformation des forces sociales et productives qui se produisent à travers la partie occidentale de l'Afrique subéquatoriale durant la période où apparutent la production de nourrieture, la métallurgie et le commerce à longue distance. L'article s'attache plus particulièrement aux témoins du dévelopment de relations économiques et socials entre les indigènes, pcheurs/chasseurs, et les populations immigrantes de producteurs de nourriture.
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14.
The future of African archaeology has recently been a major focus of attention by African archaeologists. This article looks at anticipated major advances, and at the expectations and desires of young African archaeologists in the advancement of the discipline. The major constraints to research are identified and solutions to these problems are suggested.
Résumé Le futur de l'archéologie africaine est devenu récemment un sujet de préoccupation majeur pour les archéologues africains. Cet article passe en revue les progrès principaux que l'on peut en attendre ainsi que les espoirs et les souhaits des jeunes archéologues africains en ce qui concerne le développement de la discipline. Les principales contraintes affectant la recherche sont identifiées et des solutions sont proposées à ces problèmes.
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Denmark was one of several European nations which vied for West African trade between the seventeenth and nineteenth centuries. The Danes established more than thirty forts, trading lodges and plantations on the Gold Coast, and they played an important role in the development of African-European relations in the region. Traces of Danish outposts and the results of recent excavations at the Daccubie plantation are briefly surveyed. The available data illustrate the circumscribed nature of African-European interaction on the Gold Coast, providing insight into the context in which culture change occurred within African populations. The archaeological record of European expansion in Africa and elsewhere is used to illustrate the varying nature of European contact.
Résumé Le Danemark était l'une des nombreuses nations européennes qui rivalisaient pour le commerce avec l'Afrique occidentale entre le dix-septième et le dix-neuvième siècles. Les Danois établirent plus de trente forts, comptoirs commerciaux et plantations sur la Côte de l'Or, et jouèrent un rôle important dans le développement des relations afro-européennes dans la région. Des traces de postes coloniaux danois et les résultats d'excavations récentes à la plantation de Daccubie sont brièvement passés en revue. Les données existantes illustrent le caractère limité de l'interaction afro-européenne sur la Côte de l'Or, donnant des indications sur le contexte dans lequel un changement culturel se produisit parmi les populations africaines. Les témoignages archéologiques de l'expansion européenne en Afrique et ailleurs servent à illustrer la nature changeante du contact européen.
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16.
The two type-sites of the Khartoum Mesolithic and Khartoum Neolithic (Khartoum Hospital and Shaheinab), in Central Sudan, were excavated at the end of the 1950s. The ceramics recovered from these sites, characterized by wavy line and dotted wavy line decoration, formed a cornerstone for identifying Mesolithic–Neolithic components along the Central Nile and across the Sahara-Sahel Belt. Moreover, they formed a model for an evolutionary sequence, and suggested a level of cultural uniformity for the Nilo-Sahara-Sahel Belt from the eighth to the fourth millennia BC. This paper examines these and other related issues.L'hôpital de Khartoum et Shaheinab, qui se situe au centre du Soudan, sont les deux sites archéologiques principaux de la civilisation mésolithique et néolithique. Ces deux sites furent découverts et excavés au cours des années 1950s. Les céramiques découvertes dans ces deux sites se caractérisent par leurs lignes continues et ondoyantes, et d'autres ondoyantes mais discontinues. Ces céramiques représentent la pierre angulaire pour les caractéristiques de la période mésolithiqueet néolithique dans le centre de la vallée du Nile et á travers la zone du Sahara-Sahel. De plus, elles ont constitué un modèle pour l'évolution et ont suggéré une certaine uniformité culturelle entre la vallée du Nile, le Sahara et le Sahel de huitième au quatrième millénaires avant J.-C. Cette recherche traite donc de ces points et d'autres aspects s'y rapportant.  相似文献   

17.
East Africa, the region where Merrick Posnansky started his professional career, has long been accepted as the major centre for the study of the origins of hominids and their technological systems. Recently, human geneticists and some palaeoanthropologists have also proposed an African origin for anatomically modern humans (Homo sapiens sapiens), although much of the proof cited is from non-African sources — mainly Europe and the Middle East. Fortunately these models have stimulated reassessment of the sub-Saharan Middle Stone Age (MSA), the archaeological phase between 200,000 and 30,000 years ago which represents the beginnings of regional variation in technology and cultural adaptation as well as the period in which modern humans appeared. Long ignored by East African archaeologists in favour of the earliest cultural record, or, at the other extreme, Neolithic and Iron Age research, the MSA is critical to the evaluation of models of the emergence of our own species. This paper reviews the current arguments concerning the origin and dispersal of modern humans, and the importance of the MSA for the resolution of the problem. It also describes the results from a 1990 survey for MSA sites conducted in southwestern Tanzania within the framework of these current models.
Résumé L'Afrique orientale, où Merrick Posnansky commença sa carrière professionnelle, est depuis longtemps reconnue comme un centre important pour l'étude des origines des hominides et de leurs systèmes technologiques. Récemment, des généticiens et des paléoanthropologues ont aussi suggéré que les humains anatomiquement modernes (Homo sapiens sapiens) auraient des origines africaines, bien qu'un grand nombre des preuves citées proviennent de sources non-africaines, principalement d'Europe et du Moyen-Orient. Heureusement, ces modèles ont encouragé la réévaluation de l'âge de pierre moyen (MSA) sous-saharien, phase archéologique d'il y a 200.000 à 30.000 ans, qui représente les débuts des variations régionales sur le plan de la technologie et de l'adaptation culturelle. C'est aussi la période durant laquelle les étres humains modernes sont apparus. Longtemps ignoré par les archéologues d'Afrique orientale en faveur de témoignages cultures plus anciens ou, à l'autre extrême, des recherches de l'âge néolithique et de l'âge de fer, le MSA est crucial pour l'évaluation de modèles d'émergence de notre propre espèce. Cet article examine les arguments actuels concernant l'origine et la dispersion des humains modernes, et l'importance du MSA pour la résolution de ce problème. Il décrit également les résultats d'une recherche de sites MSA menée en 1990 dans le sud-ouest tanzanien, dans le cadre de ces modèles actuels.
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18.
Ethnoarchaeological studies have constantly emphasized the complexity of pottery distribution and its close ties with other aspects of social life. It is argued here that, among the Dowayo of northern Cameroon, pottery exchange is not regulated by preferential economic relationships between producers and consumers but rather by mechanisms such as fashion or the reputation of the artisans.De récentes études ethnoarchéologiques ont constamment mis en avant la complexité des processus de distribution de la poterie et les liens étroits que ceux-ci entretiennent avec les autres aspects de la vie sociale. Il est démontré dans cet article que, chez les Dowayo du Nord-Cameroun, les échanges de poterie sont structurés par une absence de lien privilégié entre producteurs et consommateurs et sont dès lors régulés par des mécanismes tels que la mode ou la réputation des artisans.  相似文献   

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The Nyanga agricultural complex through its cultivation terraces and ridges represents one of the most intensified agricultural systems in southern African prehistory. In such a well developed system of land management and use, iron tools played a crucial role in clearing the land for cultivation as well as for domestic building purposes. Important to this dimension is the need to understand iron production and use in prehistoric societies. This paper aims for the first time to look at iron technology in the Nyanga agricultural complex through an initial analysis of iron extraction remains such as ore, slag, and furnace fragments. As a result, the technical data obtained will be used to develop hypotheses which future research can engage. This paper is a preliminary statement toward developing an understanding of iron production to meet various purposes from the deeper past to the historical period.Le complexe agricole Nyanga avec ses terrasses et collines cultivées représente un des systèmes agricoles les plus intensifs de la préhistoire de l'Afrique du sud. Dans ce système d'organisation et d'exploitation bien développé les outils en fer jouent un rôle important dans la cultivation du sol et la construction des bâtiments. Il est nécessaire de bien connaître les méthodes de production et d'utilisation du fer dans les sociétés préhistoriques. Cet article traite pour la première fois de la technologie du fer dans le complexe agricole Nyanga en présentant des analyses préliminaires des restes de l'exploitation du fer tels les minerais, les scories et les fragments de fourneaux. Les résultats de l'étude de ces techniques vont servir à développer des hypothèses qui aideront à faire avancer les recherches futures. Cet article représente un essai préliminaire pour développer nos connaisaences sur la production du fer destiné à de multiples usages depuis les temps les plus reculés jusqu à la période préhistorique.  相似文献   

20.
The Phalaborwa region in the Northern Province of South Africa has one of the richest copper- and iron-bearing deposits in southern Africa. These deposits have been worked for 1200 years and are still being worked. The abundance of ore reduction and metal production sites, dating mostly to the Late Iron Age, testifies to the importance of these deposits. Those sites that were excavated provide valuable insight into the industrial processes, economy, rituals, and use of animals by these specialized communities. The faunal remains reflect different lifestyles, but also indicate that animal husbandry was not of primary importance. The communities were focused predominantly on metal production. The soils and climate of the region are not very suitable for herding and agriculture. Subsequently products of the metal working activities such as hoes were used as replacement for cattle in bride wealth. La région Phalaborwa dans la province Nord d'Afrique de Sud constitue l'un des dépôts les plus riches de cuivre et de fer du sud d'Afrique. Ces dépôts ont été exploités pendant 1200 années et le sont toujours. L'importance de la réduction du minerais et de la production de métal de ces sites, datés pour la plupart sur la fin del'Age de Fer, témoignent de la richesse de ces dépôts. Deux sites qui furent fouillés, donnent des renseignements valables à propos des processus industriels, de l'économie, desrites et de l'utilisation des animaux par ces communautes spécialisées. Les ossements de la faune reflètent différents modes de view, mais indiquent également que l'économie animalière n'était pas de la première importance. Les sols et le climat de la région ne sont propices, ni à l'agriculture. D'autres produits issus du travail du fer, comme des houes, ont été utilisées en remplacement de l'élevage.  相似文献   

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